InfoDécembre2023
Linked in

LE MOUVEMENT QUÉBEC INDÉPENDANT

vous souhaite

Fêter Noël n'est pas de la "discrimination religieuse systémique" !

N'en déplaise à la Commission des droits de la personne du Canada


INVITATION

Pour bien démarrer la nouvelle année 2024 dans une ambiance indépendantiste festive, mettez à votre agenda la date du dimanche 14 janvier prochain,  pour participer au prochain rendez-vous social et politique du MQI 

La rencontre aura lieu de 13h à 15h, ponctuée des évènements suivants:

Lancement du tout nouveau magazine OUI Je le Veux ! (vol3, no4) ; avec la participation de plusieurs de ses artisans et de l'auteur-compositeur-interprête ALEXANDRE BELLIARD qui en est la tête d'affiche.

Discussion politique aux tables avec brioches et café: orientations et prochaines activités indépendantiste et activité de sociofinancement du magazine et du MQI

Conférence de clôture: Perspectives et convergences indépendantistes par la présidente de la SSJB,  MARIE-ANNE ALEPIN.

 

Une belle occasion de débuter l'année 2024 en relançant l'action pour  l'indépendance.

Votre présence est importante! Invitez vos amis !


PRISE DE POSITION DU MQI

POUR LA CONVERGENCE INDÉPENDANTISTE

Depuis l'élection du 3 octobre 2022, nous revoilà à plus de 40% d'appuis à l'indépendance dans le plus récent sondage, en incluant un tiers des indécis. C'est plus que dans l'année précédant le référendum 1995. 

Le schéma ci-contre montre aussi que parmi les sympathisants de tous les partis, il y a des indépendantistes. Il sont  majoritaires au PQ et à QS et  29% à la CAQ. Plutôt qu'attendre un mythique référendum sur la souveraineté, nous avons trois ans devant nous pour recréer un Alliance pour le OUI en vue de la prochaine élection de 2026 qui doit enclencher la réalisation de la souveraineté.

Lors de cette élection, les candidats des différents partis adhérant au Pacte du OUI s'engageraient à faire campagne pour l'indépendance et à la réaliser s'ils sont majoritaires après la prochaine élection. Les candidats de ces partis continueraient à s'affronter dans les comtés, mais en additionnant leurs appuis, l'indépendance pourrait atteindre un appui majoritaire dans la population. Un tel résultat à l'élection vaudra bien un OUI à un référendum. S'ils sont majoritaires, les députés indépendantistes pourront adopter une Constitution initiale de la République du Québec qu'il auront proposé pendant l'élection, mettant en route par la suite la démarche d'accession à l'indépendance.

Le MQI lance un appel aux membres et à la direction des partis  indépendantistes, PQ, QS et Climat Québec, pour la création d'une Alliance pour le OUI transpartisane dès 2024.

Le Québec peut devenir un pays en 2026 !


Pas d'indépendance sans majorité dans la population !
Pas de majorité à l'Assemblée nationale sans promotion de l'indépendance!
La promotion de l'indépendance nécessite du financement !

Notre campagne de socio-financement doit atteindre son objectif. Pour ceux et celles qui le peuvent, nous vous invitons à faire au don de 100 $ et plus ou un un don mensuel de 10$.

JE CONTRIBUE

NOUVELLES DU MQI

5ème anniversaire du MQI.

Le 28 octobre dernier, le MQI a célébré le cinquième anniversaire de sa fondation au Pub Brouhaha à Montréal où le mouvement a été fondé en 2018. Les membres ont été nombreux à répondre à l'appel pour discuter des orientations du mouvement. Martine Ouellet, Gilbert Paquette, Sylvie Legault et Jean-Pierre Émond, membres du Conseil de coordination du mouvement, ont pris la parole au cours de la rencontre.

À cette occasion, Jean-Pierre Charbonneau, président du Mouvement démocratie nouvelle, a prononcé une conférence sur le mode de scrutin, dénonçant le recul du gouvernement Legault qui s'était formellement engagé en 2018 à mettre en place un mode de scrutin proportionnel.


Le 12ème numéro (vol 3, No 4) du magazine OUI Je le veux! est en montage graphique et il paraitra en janvier 2024. Il contient un dossier sur l'Intelligence artificielle au Québec, des interview avec le chansonnier Alexandre Belliard et l'auteur et comédien Sylvain Laramée, ainsi que des chroniques sur l'environnement, le français, la culture, la géopolitique, l'économie et l'histoire du Québec.


Campagne d'abonnement et de sociofinancement. La direction du MQI a participer à des rencontres au cours de l'automne pour faire connaître le MQI et son magazine, notamment à Saguenay, Gantineau, Saint-Ours-sur-Richelieu et Montréal. Merci à tous ceux qui nous aident à maintenir les actions du mouvement.


L'ACTUALITÉ POLITIQUE DANS NOS MAGAZINES

Actualité

Le Canada qualifié d'hypocrite climatique.

Dans un rapport publié en septembre dernier, le Canada s'est vu qualifié d'« hypocrite climatique » par l'organisme Oil Change International. Selon les analyses de ce groupe de recherche international, le Canada pourrait devenir le deuxième pays en importance en matière de hausse de la production de pétrole et de gaz d'ici 2050, devancé uniquement par les États-Unis.

L'organisme note que l'industrie pétrolière canadienne prévoit investir 40 milliards de plus cette année au Canada, énumérant les mesures du gouvernement du Canada favorisant la croissance de la production, dont l'octroi de nouveaux permis d'exploration pétrolière et gazière, le feu vert à des projets comme Bay du Nord, la place croissante de la fracturation dans l'exploitation et le soutien financier au secteur des énergies fossiles, sans compter l'expansion du réseau de pipelines Trans Mountain.

Ottawa a annoncé qu'il cessera les subventions au pétrole… sauf celles qui sont efficaces. Le gouvernement veut parler ici des projets de captage et de stockage du carbone, une technologie au stade expérimental pour laquelle l'industrie a reçu et recevra des milliards de dollars en financement public tout en augmentant son exploitation des énergies fossiles alors qu'il faudrait les réduire.

Nos impôts financent les énergies fossiles.  Pour cela seulement nous devons cesser d'envoyer nos taxes et impôts à Ottawa,  en devenant un pays indépendant.

Actualité

La filière batterie et l'arrosage des plantes

Encore une fois, le Québec se fait damer le pion par l'Ontario grâce à l'intervention d'Ottawa. En effet, Volkswagen devait initialement établir au Québec son usine de fabrication de batteries, l'étape avec la plus grande valeur ajoutée. Mais le gouvernement d'Ottawa a allongé 13 milliards de dollars pour convaincre Volkswagen de s'établir en Ontario. Au Québec, nous obtenons un prix de consolation avec 4,44 milliards de dollars de la part d'Ottawa pour Northvolt.

Pendant ce temps, le ministre Pierre Fitzgibbon, soutient qu'il aurait été superflu pour son gouvernement d'obliger les entreprises de la filière batterie à s'approvisionner chez des fournisseurs québécois, car cela se fait naturellement et il nous invite à « comprendre comment fonctionnent les projets industriels ».

Justement, nous comprenons très bien que les entreprises prendront leur ressources, matérielles, énergétiques, humaines là où elles contribueront à maximiser leurs profits. Dans une économie mondialisée en constante évolution, rien ne garanti que ce qui peut être avantageux maintenant pour une entreprise qui s'implante au Québec le sera dans deux, cinq ou dix ans. 

Le ministre se justifie ainsi : « Une plante, on est mieux de l'arroser, pour qu'elle pousse, que de tirer dessus. » En d'autres mots, le gouvernement ne veut pas exiger un minimum de contenu québécois aux entreprises de la filière batterie de crainte de les brusquer et de perdre les projets  Le ministre Fitzgibbon l'ignore peut-être mais il utilise la même expression que Claude Morin, le père de l'étapisme. On a tellement bien arrosé la plante de l'indépendance pendant 25 ans que celle-ci était presque noyée jusqu'à tout récemment.

Actualité

Le bilinguisme continue de régresser à Ottawa. 

Plus de 50 ans après l'adoption de la Loi sur les langues officielles, quelque 60 000 plaintes et des centaines de recommandations plus tard, « on n'a pas réussi à changer les comportements des institutions fédérales. […] Le français continue d'être le parent pauvre des langues officielles au Canada, une langue secondarisée », constate une fois encore le commissaire aux langues « officielles », Raymond Théberge, dans son dernier rapport annuel.

Le commissaire compte sur les nouveaux pouvoirs que lui confèrera le projet de loi C-13 adopté le printemps dernier par la Chambre des communes. La nouvelle loi lui donne le pouvoir de rendre des ordonnances, mais il n'a pas encore celui d'imposer des amendes si ses ordonnances sont bafouées. Le commissaire espère que la perspective de se voir imposer des amendes aura un effet sur une entreprise comme Air Canada, championne des contraventions reçues relativement à la Loi sur les langues officielles. On peut en douter.

Pour le moment, le bilinguisme régresse dans la fonction publique canadienne. « Les langues officielles n'ont plus, de nos jours, le caractère prioritaire qu'elles revêtaient auparavant », déplore le commissaire. Il note que le sondage statutaire effectué auprès des fonctionnaires fédéraux ne leur demande plus, depuis 2017, s'ils se sentent libres de rédiger leurs documents dans la langue officielle de leur choix.

C'est que l'on connaît très bien la réponse. Le Canada des deux peuples fondateurs est plus que jamais une fumisterie!

Actualité

Logements sociaux : six mois de perdu en chicane Ottawa-Québec

Alors que le logement social est clairement un champ de compétence du Québec selon la Constitution canadienne, le gouvernement d'Ottawa a retenu pendant six mois un montant de 900 millions de dollars dédié au logement social en voulant imposer au gouvernement du Québec toutes sortes de conditions sur la gestion des fonds.

Crise du logement: des Sherbrookois se rendent à Québec pour manifester |  Noovo Info

 

Pendant ce temps-là, la crise du logement, que ce soit pour les itinérants, pour les familles ou pour l'adaptation aux changements climatiques, elle, n'a fait que s'amplifier. Il a fallu un ultimatum du premier ministre du Québec en octobre dernier pour qu'Ottawa finisse par entendre raison et signe une entente sans condition.

Est-ce que le Québec va continuer longtemps à aller quémander l'argent que les contribuables québécois envoient à Ottawa?

Il serait grand temps que le Québec s'occupe de toutes ses affaires en rapatriant ses budgets et tous ses pouvoirs législatifs.


OFFREZ-VOUS et OFFREZ EN CADEAU UN ABONNEMENT AU MAGAZINE

Par virement Interact, par carte ou chèque par la poste.

 

INSCRIVEZ-VOUS  AU MQI POUR RECEVOIR CETTE INFOLETTRE MENSUELLE

  S'INSCRIRE 




Envoyé par Yapla