2022-10-13 Lettre InfoFPJQ2022-10-13 Lettre InfoFPJQ
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— LE TRENTE HEBDO —
L'infolettre de la FPJQ

À LA UNE

Impacts psychologiques et émotionnels de la haine en ligne contre les journalistes

Un sondage qui s'adresse aux membres de la FPJQ

Depuis quelques années et particulièrement durant la pandémie, de plus en plus de menaces et de harcèlement ciblent les journalistes, les équipes de nouvelles ainsi que les travailleurs et travailleuses de l'information.

Bien que ce phénomène ait été mis en lumière dans une série de rapports internationaux, aucune étude systématique n'est disponible pour examiner les impacts psychologiques et émotionnels.

Cette consultation est menée par le plus grand centre de traumatologie du Canada à Toronto, le Sunnybrook Health Sciences Centre, et elle est soutenue par CBC/Radio-Canada. Cette étude clinique fournira au milieu des données qui permettront de créer des recommandations pratiques concernant la sécurité psychologique du personnel et le développement d'outils pour protéger la santé mentale des professionnels et professionnelles des médias.

Vous êtes victime de harcèlement en ligne et vous avez besoin de soutien ? Nous vous invitons à en parler à une personne de confiance et à contacter rapidement les ressources à votre disposition. Si la situation devient trop difficile, vous pouvez appeler le 1 833 456-4566 pour une assistance 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, ou accéder au site des Services de crises du Canada pour un soutien par texto ou clavardage.

Vous devez vous connecter à votre profil membre sur le site de la FPJQ pour obtenir le lien et le mot de passe pour répondre au sondage et ensuite cliquer sur le lien suivant. Une infolettre spéciale sera aussi envoyée aux membres avec les informations de connexion en début de semaine prochaine.

POUR RÉPONDRE AU SONDAGE (pour les MEMBREs DE LA FPJQ SEULEMENT)

ÉLECTIONS

Plus que quelques jours pour déposer sa candidature

Élections au conseil d'administration de la FPJQ

La période électorale pour les postes à pourvoir au sein du conseil d'administration de la FPJQ se termine sous peu. Cette année, huit postes sont en élections. Tous les mandats seront d'une durée de deux ans, à l'exception de ceux pour le poste administrateur.trice pigiste (remplacement en cours de mandat) et administrateur.trice associé étudiant qui est renouvelé annuellement.

Voici les postes ouverts :

  • Administrateur.rice (cinq postes) (mandat de deux ans)
  • Administrateur.rice régions (un poste) (mandat de deux ans)
  • Administrateur.rice pigiste (un poste) (mandat d'un an)
  • Administrateur.rice associé étudiant (un poste) (mandat d'un an)

Vous avez jusqu'au mardi 18 octobre à midi pour soumettre votre candidature à l'adresse courriel info@fpjq.org. Vous devez être membre en règle de la FPJQ, remplir le formulaire qui s'applique à votre situation en plus de joindre une lettre de motivation d'un maximum de 300 mots. Chaque candidature doit avoir reçu l'appui de deux membres professionnels pour être validée.

  1. Formulaire de candidature pour les administrateurs.trices membres professionnels.les
  2. Formulaire de candidature pour l'administrateur.trice membre associé.e étudiant.e

Consulter l'ensemble des règlements généraux revisés de la FPJQ.


Vous avez jusqu'à mardi midi pour signifier votre intérêt

Élection des délégués.es de la FPJQ au Conseil de presse du Québec

La FPJQ délègue sept de ses membres professionnels au Conseil de presse du Québec (CPQ). Ces délégués.es collaborent à la déontologie journalistique et évaluent le travail de leurs pairs.

Mécanisme d'autorégulation des médias, le CPQ traite les plaintes du public en fonction du Guide de déontologie du Conseil de presse du Québec. Cette année, quatre postes de délégués au Conseil sont à pourvoir pour des mandats de deux ans.

  • Trois journalistes professionnels,les de la FPJQ (mandat de deux ans)
  • Un journaliste professionnel.le de la FPJQ, sous recommandation de la FNCC (mandat de deux ans)

Télécharger le formulaire de candidature pour les élections au Conseil de presse du Québec

Vous avez jusqu'au mardi 18 octobre à midi pour soumettre votre candidature à l'adresse courriel info@fpjq.org. Vous devez être membre en règle de la FPJQ, remplir le formulaire de candidature en plus de joindre une lettre de motivation d'un maximum de 300 mots.

À NE PAS MANQUER

Dernière chance pour apporter des modifications, si nécessaire

Membres : Est-ce que votre adresse postale est à jour ?

Le magazine Le Trente 2022 est actuellement en préparation chez Atelier 10 et il sera bientôt terminé et envoyé à notre imprimeur. Les membres en règle de la FPJQ recevront une copie à domicile.

Pour s'assurer que les copies arrivent à bon port, il est très important pour les membres de vérifier l'exactitude de l'adresse postale indiquée à leur dossier sur le site de la Fédération.


Les inscriptions se poursuivent pour le congrès 2022 de la FPJQ

« Ceci n'est pas de la censure »

Du 4 au 6 novembre prochain, le réputé congrès annuel de la FPJQ fera son retour en présentiel après deux ans de présentation virtuelle. Les activités se dérouleront au Delta Mont-Sainte-Anne, dans la ville de Beaupré, à une quarantaine de minutes de Québec.

Ceci n'est pas de la censure sera le thème au centre de la programmation. Vous avez dans celle-ci la majorité des événements qui seront présentés pendant la fin de semaine du congrès. Des ajouts de panélistes ou des changements mineurs dans les horaires pourraient également être apportés à la programmation d'ici la mi-octobre.

➡️ Consulter la programmation 2022

Les panélistes et différents invités de la FPJQ n'ont pas besoin de s'inscrire ou de réserver l'hébergement, la permanence s'en occupera. Si vous êtes membre actif, vous devez au préalable vous connecter à votre profil :

➡️ Inscription au congrès 2022

L'inscription inclut l'accès à toutes les activités : panels, débats, ateliers et formations pour le congrès 2022 en présentiel, du vendredi 4 au dimanche 6 novembre, en plus de deux consommations pour l'un des coquetels et deux pauses-café. Les repas, le transport et l'hébergement ne sont pas inclus dans ce tarif.

Pour les nouvelles réservations d'hébergement au Delta Mont-Sainte-Anne, vous devez communiquer directement avec l'hôtel par téléphone au 418 827-1862. Le tarif régulier de l'hôtel s'appliquera et le montant par nuitée sera ajusté à la hausse par l'établissement hôtelier. Nous vous invitons à réserver rapidement pour vous assurer de la disponibilité des chambres.

POUR PLUS D'INFORMATIONS ET S'INSCRIRE

Le dimanche 6 novembre à 9h

Assemblée générale annuelle des membres de la FPJQ

L'assemblée générale annuelle (AGA) des membres de la FPJQ se déroulera le dimanche 6 novembre 2022, de 9h à midi, lors du congrès au Delta Mont-Sainte-Anne. Votre présence en grand nombre est importante pour respecter le quorum prévu aux règlements généraux. L'AGA de la FPJQ est publique, mais seuls les membres professionnels peuvent voter.

Important : Les personnes qui participent au congrès seront automatiquement inscrites. Ceux et celles qui ne sont pas inscrits.es au congrès seront les bienvenus à l'AGA en présentiel au Delta Mont-Sainte-Anne. Vous n'avez pas besoin de vous inscrire d'avance.

Si vous souhaitez déposer une résolution, vous devez le faire avant le lundi 31 octobre à l'adresse info@fpjq.org. Veuillez noter qu'aucune résolution ou proposition ne sera acceptée sur place.

TOUS LES DÉTAILS et les documents SUR NOTRE SITE WEB

EXPOSITIONS

L'entrée est gratuite pour tous

L'exposition Antoine-Desilets se termine mercredi prochain

L'exposition Antoine-Desilets, regroupant le meilleur de la photographie de presse au Québec en 2021, se termine bientôt à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord, située au 12002 boulevard Rolland. Vous avez jusqu'à mercredi prochain pour la découvrir.

Les heures d'ouverture sont du lundi au jeudi de 9h à 21h, le vendredi de 9h à 17h, ainsi que le samedi et dimanche de midi à 17h. L'entrée est gratuite.

EN MANCHETTE

Une nouvelle raison pour justifier la réforme de la Loi sur l'accès à l'information

L'art de cacher ce qui a déjà été dévoilé

Une étude de la Société de transport de Montréal (STM), déjà publiée en ligne, a été la cause d'une saga judiciaire avec le citoyen Paul-André Bouchard qui tentait de la consulter depuis plusieurs mois. Qu'elle ne fut pas son étonnement, la semaine dernière, quand il a su que l'étude en question était disponible dans son entièreté sur le site Internet des appels d'offres gouvernementaux !  

L'affaire s'était même rendue devant les tribunaux et peu de temps avant la surprenante découverte de M. Bouchard en ligne, la Société montréalaise plaidait que le document était trop « sensible » pour le transmettre au demandeur.

« C'est un exemple flagrant d'une utilisation abusive de la Loi d'accès à l'information. C'était la grosse machine pour empêcher [de donner] quelque chose qui était déjà public », s'est désolé M. Bouchard auprès du journaliste Dominique Cambron-Goulet, du Journal de Montréal

Michaël Nguyen, le président de la FPJQ considère qu'il s'agit à nouveau d'un bel exemple prouvant que le système d'accès à l'information en place depuis 40 ans a besoin d'être revu. « La réforme de la Loi ne peut plus attendre. Par l'absurde, la STM l'a à nouveau démontré. Le gouvernement ne peut pas le nier, et nous l'invitons à prendre des mesures concrètes au bénéfice de la population québécoise ».

L'étude en question portait sur le service rapide par bus (SRB) que la STM voulait implanter sur l'avenue du Parc dans Outremont. M. Bouchard, ne pouvant la consulter, a fait une demande d'accès pour l'obtenir, mais la société des transports a évoqué les renseignements confidentiels s'y trouvant et a refusé de la partager, même en partie.

M. Bouchard n'a jamais baissé les bras. Il a choisi de se présenter devant la Commission d'accès à l'information (CAI) pour demander une révision. La cause a finalement été entendue la semaine dernière, 16 mois après la demande initiale.

« Deux jours avant l'audience, les avocats de la STM ont dit qu'ils m'enverraient l'étude, mais je me suis aperçu qu'elle était caviardée », a indiqué le demandeur, insatisfait de cette proposition.

Il a préféré en débattre devant le juge, lors d'une audience que M. Bouchard a qualifiée de « rocambolesque ». « L'avocat de la STM disait qu'il y avait des informations très sensibles. Il a dit au juge qu'il pourrait lui donner des informations plus détaillées si je n'étais pas présent. Et ils m'ont déconnecté pendant 30 minutes ».

En sortant de l'audience, le représentant du Journal de Montréal a indiqué à M. Bouchard que l'étude complète était disponible sur le Web depuis deux ans.

« La STM étant un organisme d'envergure de plus de 10 000 employés avec plus de 40 directions, il arrive parfois un manque de communication entre celles-ci ainsi qu'un travail en silo qui mènent malheureusement à une situation comme la présente », a indiqué Me Étienne Shareck, dans une lettre datée de vendredi dernier. L'avocat de la STM s'est également excusé auprès du demandeur et du magistrat « pour l'ensemble des inconvénients que cette situation a causés ».

Les explications

Hausse de la désinformation lors de la campagne électorale provinciale 2022

Le problème est remarqué chez certains groupes en ligne

Le chercheur Mathieu Lavigne (photo) du Centre pour les médias, la technologie et la démocratie de l'Université McGill a étudié la désinformation en ligne lors de la dernière campagne électorale au Québec. Selon ses observations, la publication de fausses nouvelles était en hausse en comparaison avec les scrutins précédents, mais elles auraient été principalement partagées par des groupes spécifiques en ligne.

Parmi les publications recensées, certaines ont mis en doute l'intégrité du processus électoral, d'autres mentionnaient que le vote au crayon de plomb permettait de modifier les résultats après coup ou que la réélection de la Coalition avenir Québec (CAQ) allait entraîner le retour de mesures sanitaires strictes, certains allant même jusqu'à parler de camp de concentration en lien avec le coronavirus.

Un sondage réalisé au début de la campagne relatait que 44% des électeurs et électrices qui avaient l'intention de voter pour le Parti conservateur du Québec (PCQ) prévoyaient de la « fraude électorale » qui pourrait changer le résultat du scrutin. Chez les quatre autres partis principaux, le pourcentage de réponse pour la même question se situait entre 24% et 27%.

Interrogé par Le Journal de Montréal, le professeur en science politique à l'Université de Montréal Simon Thibault croit que le phénomène « est à prendre au sérieux ». Selon ses propos, l'influence de Donald Trump, qui a contesté l'élection présidentielle américaine de 2020, s'étend dans la province.

« Avec la présidence de Trump, on voit, semble-t-il, les effets dans un contexte québécois de ces discours-là, notamment au sein des mouvances conservatrices. On est dans un contexte plus large que le Québec où il y a une politisation des médias et une polarisation plus grande des débats politiques. Il faut s'y attarder parce que c'est clair qu'on ne souhaite pas que ces phénomènes-là s'accentuent », a précisé M. Thibault.

D'autre part, certaines firmes de sondage n'ont pas eu la vie facile lors de la dernière campagne, car plusieurs personnes approchées par les sondeurs étaient méfiantes ou mettaient en doute leur intégrité. La firme Léger est du lot. Son président-directeur général Jean-Marc Léger a mentionné avoir reçu plusieurs messages agressifs pendant la dernière campagne, souvent en lien avec les prévisions des intentions de votes au PCQ.

D'ailleurs, une autre consultation réalisée par Léger à la fin du mois d'août a révélé que près d'une personne sur deux au Québec avait de la difficulté à déterminer le vrai du faux dans les contenus informatifs.

(Photo courtoise Université McGill)

L'article du Journal de Montréal

Projet de loi C-18 : Le directeur parlementaire optimiste dans ses prévisions

Jusqu'à 330 millions pour les médias, selon un rapport

Le Directeur parlementaire du budget (DPB) a publié jeudi dernier le document « Estimation des coûts liés au projet de loi C-18 : Loi sur les nouvelles en ligne ». Cette analyse du DPB s'attend à ce que « les entreprises de nouvelles reçoivent au total des plateformes numériques une indemnisation d'environ 329,2 millions par an » à la suite de la négociation des ententes avec les géants numériques, tels Google et Facebook.

Le DPB est arrivé à cette estimation en calculant le coût de production des contenus d'informations et non en se fiant aux revenus publicitaires engrangés par les superpuissances numériques. « Nous supposons que les paiements annuels aux entreprises de nouvelles représenteront 30 % du coût de création du contenu » pour les entreprises de presse qui seront reconnues.

Basée sur le modèle australien, cette estimation des revenus a créé un certain étonnement. « J'ai été surpris, honnêtement, quand j'ai vu ce montant-là. Agréablement surpris, mais quand même surpris », a indiqué Jean-Hugues Roy (photo), professeur de l'École des médias de l'UQAM, à la Presse Canadienne.

« On parle ici de l'argent que ces entreprises font, grâce au journalisme. Ce n'est pas 100 % de ça dans mon esprit qui doit être retourné. C'est une position de négociation. Si les géants du Web en retournent la moitié aux entreprises de presse, pour moi c'est déjà gros. Mais ça voudrait dire entre 100 et 150 millions par année et le DPB arrive au double de ça et même plus que le double », a-t-il ajouté.

M. Roy a étudié dans les dernières années les revenus que les Google et Facebook de ce monde obtiennent avec le partage de contenu informatif. « J'ai essayé d'estimer combien d'argent Facebook pouvait gagner grâce aux contenus journalistiques sur sa plateforme et j'arrivais toujours, bon an mal an, à peu près à 200 millions par année », a indiqué le professeur.

Le projet de loi C-18 a pour but d'obliger les superpuissances du Web à conclure des ententes avec les médias canadiens pour le partage de leurs contenus informatifs sur les plateformes de ses géants en lignes ».

(Photo courtoisie UQAM)

LIRE LA SUITE

Après Postmedia, au tour de SaltWire Network en Atlantique de couper

Les éditions papier cessent le lundi pour quatre journaux

À partir de lundi prochain, quatre quotidiens du groupe de presse SaltWire Network en Atlantique vont arrêter la publication des éditions papier du lundi afin de prioriser les versions numériques.

Les quatre publications touchées sont le Chronicle Herald et le Cape Breton Post en Nouvelle-Écosse, le Guardian à l'Île-du-Prince-Édouard ainsi que Telegram à Terre-Neuve-et-Labrador. L'entreprise prévoit toutefois augmenter sa présence sur ses plateformes en ligne en plus d'offrir davantage de contenus multimédias en complément, une version audio des articles et des options de traductions.

« Notre audience en ligne est beaucoup plus grande pour l'édition du lundi. De plus, c'est l'édition de la semaine avec le moins de contenu », a précisé Ian Scott, le chef des opérations de SaltWire Network qui a aussi mentionné les coûts de production causée par l'augmentation du prix du papier pour justifier la décision. D'après ses propos recueillis par Radio-Canada, cette transition vers le numérique ne devrait pas entraîner de coupures dans le personnel.

« Ils s'inscrivent dans le courant généralisé de ce qui se passe au pays, déjà, depuis une dizaine d'années. Ils sont à peu près les derniers à prendre une telle mesure. Depuis un an, les coûts de distribution ont augmenté de 32 %. C'est énorme », souligne Marie-Linda Lord, professeure en information-communication à l'Université de Moncton.

Selon les estimations de David Swick, professeur de journalisme de l'Université King's College à Halifax, près de quatre Canadiens et Canadiennes sur cinq consultent dorénavant les nouvelles sur Internet plutôt que de lire les journaux papier.

Depuis le début de l'année 2022, L'Acadie Nouvelle, trois journaux de l'entreprise Brunswick News et neuf quotidiens de Postmedia Network ont également abandonné la publication papier de l'édition du lundi pour se concentrer sur des versions numériques.

EN SAVOIR PLUS

Le monde des affaires sous la loupe du Soleil

Un nouveau magazine voit le jour à Québec

Dédié à l'économie, les finances et l'entrepreneuriat, le magazine Le Soleil Affaires a été présenté en première, la semaine passée, devant des personnalités du milieu au Carré des affaires de l'Université Laval.

« Ç'a été clair pour moi qu'on devait se lancer dans un projet phare comme celui-là. Un magazine qui permet de faire des reportages en profondeur, d'aller à la rencontre et de faire des portraits des membres de la communauté d'affaires de Québec », a précisé Éric Trottier, le directeur général du quotidien Le Soleil. Il ajoute que cette publication répond à un besoin dans la région.

D'un peu plus de cinquante pages, la première édition du magazine se consacre aux entreprises de la grande région de Québec rayonnant un peu partout sur la planète. De la Californie à la Beauce, en passant par le Texas ou Sainte-Foy, Le Soleil Affaires a rencontré les personnalités derrière le succès des entreprises d'ici.

Le nouveau magazine est disponible sur le site Web et l'application mobile du journal. Le premier numéro a également été encarté avec l'édition papier de samedi dernier.

LES PRÉCISIONS

Soirée électorale provinciale du 3 octobre dernier

Pierre Bruneau le plus écouté

Diffusée sur les ondes de TVA et de la chaîne spécialisée LCN, la soirée électorale animée par Pierre Bruneau (photo) et ses analystes a été le choix de plus d'un million de Québécois et Québécoises (695 000 à TVA et 348 000 à LCN). Le réseau enregistre toutefois une baisse de près de 350 000 téléspectateurs et téléspectatrices, en comparaison avec la soirée présentée lors du scrutin provincial de 2018, qui avait obtenu un record d'écoute pour ce type d'émission.

Pour sa part, le diffuseur public Radio-Canada a augmenté son auditoire, comparativement à 2018, avec plus de 920 000 auditeurs et auditrices qui ont suivi Patrice Roy et son équipe à ICI Radio-Canada Télé (698 000) et sur la chaîne d'information en continu RDI (223 000).

Du côté de Noovo Info, qui présentait sa toute première soirée électorale provinciale, le public à l'antenne était moins nombreux. Un peu plus de 60 000 personnes ont syntonisé cette émission spéciale qui était animée par Michel Bherer et Marie-Christine Bergeron.

(Photo courtoisie TVA)

L'ARTICLE COMPLET

Participation à un projet de recherche doctoral

Journalistes québécoises recherchées

Vous êtes une femme journaliste et avez déjà tenté de produire ou déjà produit un reportage, une enquête, un podcast sur des enjeux spécifiquement liés aux femmes ou sur des questions d'inégalités de genre ? Ce projet de recherche collaboratif est pour vous ! 

Marie-Claude Dupont, journaliste de formation, chargée de cours au DESS en journalisme à l'Université de Montréal et candidate au doctorat en communication, est à la recherche d'une dizaine de journalistes québécoises. Le but ? Documenter les enjeux vécus par les femmes journalistes et trouver des pistes de solution pour améliorer la production d'information sur les femmes et les inégalités de genre.

Le projet de recherche collaboratif se déroule en trois étapes :

  • Réaliser des entretiens individuels avec des journalistes d'ici la fin novembre/décembre 2022;
  • Réaliser un entretien de groupe avec les participantes intéressées pour trouver ensemble des solutions (facultatif);
  • Les journalistes qui le désirent peuvent contribuer à enrichir un site Web sur l'information journalistique sexospécifique.

Pour plus d'informations, vous pouvez contacter directement par courriel Mme Dupont à l'adresse courriel marie-claude.dupont@umontreal.ca.

À L'INTERNATIONAL

Six personnalités dont Sir Elton John, le Prince Harry et Liz Hurley contre-attaque

Action en justice contre l'éditeur du Daily Mail

Sir Elton John (photo), David Furnish, les actrices Liz Hurley et Sadie Frost, Doreen Lawrence ainsi que le Prince Harry font partie d'une liste de personnalités qui poursuivent l'Associated Newspapers Limited (ANL), l'éditeur du Daily Mail, pour violation présumée de leurs vies privées.

Leurs avocats ont publié une déclaration affirmant qu'ils disposent de « preuves irréfutables » qui démontrent que leurs clients sont « victimes d'une activité criminelle odieuse et de violations flagrantes de la vie privée ». Après le dépôt des documents juridiques à la Haute Cour de Londres jeudi dernier, les avocats ont indiqué qu'il pourrait s'agir de la « pointe de l'iceberg » et que d'autres victimes pourraient s'ajouter.

Les allégations d'activités illégales du groupe impliquant l'éditeur du Mail, du Mail on Sunday et du MailOnline comprennent notamment :

  • L'embauche de détectives privés pour placer secrètement des dispositifs d'écoute dans les voitures et les maisons des gens.
  • Le recrutement de personnes chargées d'écouter et d'enregistrer subrepticement des appels téléphoniques privés en direct pendant qu'ils ont lieu.
  •  Le paiement de fonctionnaires de la police, ayant des liens prétendument corrompus avec des détectives privés, pour obtenir des informations internes sensibles.
  • L'usurpation de l'identité de personnes pour obtenir par la ruse des informations médicales auprès d'hôpitaux, de cliniques et de centres de traitement privés.
  • L'accès à des comptes bancaires, à des historiques de crédit et à des transactions financières par des moyens illicites et la manipulation.

Associated Newspapers Limited a démenti avec véhémence les allégations par l'entremise d'un porte-parole. « Nous réfutons totalement et sans ambiguïté ces diffamations grotesques qui ne semblent être rien d'autre qu'une tentative planifiée et orchestrée pour entraîner les titres du Mail dans le scandale des écoutes téléphoniques concernant des articles vieux de 30 ans. Ces allégations non fondées et hautement diffamatoires, basées sur aucune preuve crédible, semblent être simplement une expédition de pêche par les demandeurs et leurs avocats, dont certains ont déjà engagé des poursuites ailleurs ».

(Photo courtoisie Wikipédia)

LES explications du Guardian

Prix Bayeux des correspondants de guerre 2022

La couverture du conflit en Ukraine primée

La 29e édition du prix Bayeux des correspondants de guerre 2022 s'est déroulée samedi dernier et la majorité des reportages primés ont traité du conflit en Ukraine.

Evgeniy Maloletka de l'Associated Press (AP) est le lauréat du prix en photographie pour son reportage sur la maternité bombardée de Marioupol. « Ma ville natale, Berdiansk, est occupée, je rentre du front et cette zone est détruite, il y a déjà eu trop de sang versé, il est temps de mettre fin à ce conflit », a-t-il déclaré en recevant la distinction.

Pour la catégorie « Image vidéo », Mstyslav Chernov a remporté la palme et a tenu à s'adresser à la population ukrainienne. « Il ne s'agit pas ici tant de journalisme que des victimes. Le journalisme sera toujours moins important que les gens qui souffrent ».

Parmi les autres récompenses accordées lors de la soirée, le prix photo du public a également été attribué à un photoreporter de l'AP, Vadim Ghirda. Dans la catégorie presse écrite, le premier prix du jury international a été décerné à Mariam Ouedraogo pour son reportage au Burkina Faso « Axe Dablo-Kaya : la route de l'enfer des femmes », qui décrit le voyage de femmes violées.

Le prix Bayeux des correspondants de guerre a été créé en 1994 pour rendre hommage aux journalistes qui exercent dans des conditions périlleuses afin de transmettre des informations neutres de ce qui se passe sur le terrain.

VOIR TOUS LES LAURÉATS ET LAURÉATES

Le journalisme sportif marqué par la pandémie

La COVID a considérablement changé la pratique du journalisme sportif dans les premiers mois de la pandémie en 2020. Une étude exploratoire a examiné l'impact du coronavirus en s'entretenant avec 12 journalistes de terrain, qui sont tous affectés à la couverture de l'une des quatre principales ligues sportives nord-américaines (NFL, MLB, NBA et LNH).

La majorité des ligues sportives en activité, professionnelles ou amateurs, ont été forcées de réagir rapidement pour s'adapter aux règles sanitaires. Certaines ont reporté une partie de leur calendrier, d'autres ont annulé la saison et la plupart ont restreint les accès qu'avaient les journalistes.

Les résultats démontrent que certaines tendances observées avant la pandémie se sont exacerbées avec celle-ci. Les organisations sportives pouvaient contrôler le message plus aisément en limitant l'accès aux joueurs et aux entraîneurs, obligeant les travailleurs et travailleuses de l'information à se tourner davantage vers les sources officielles des équipes. Devant l'évolution des circonstances, la profession devait se réinventer en proposant à son lectorat plus d'articles de fond ou à partir d'analyses.

Cette étude offre aussi un aperçu de la manière dont les conditions de la pandémie pourraient contribuer à façonner l'avenir du secteur.

les détails

Conseil des droits de la personne des Nations Unies

Un rapporteur spécial nommé pour la Russie

La Press Emblem Campaign (PEC) salue la nomination d'un rapporteur spécial sur la Russie par le Conseil des droits de la personne des Nations Unies. La résolution en ce sens a été présentée par l'Union européenne et a été adoptée à Genève, la semaine dernière. Pas moins de 24 pays se sont abstenus lors du scrutin, 17 ont voté en faveur de la résolution et six s'y sont opposées (Russie, Chine, Cuba, Érythrée, Kazakhstan et Venezuela).

« Ce soutien international, malgré le grand nombre d'abstentions parmi les pays d'Afrique et d'Amérique latine, montre que la Russie ne peut échapper à l'examen de la communauté internationale. Un suivi indépendant de la situation en Russie est impératif en raison de la détérioration rapide de la situation des droits de la personne dans le pays. Il sera important pour la société civile russe d'avoir un point de contact aux Nations Unies », a indiqué le président de la PEC, Blaise Lempen (photo).

La résolution adoptée exprime notamment des préoccupations au sujet des « fermetures massives et forcées d'organisations de la société civile ainsi que de médias indépendants, dont des chaînes de radio et de télévision, des médias en ligne de même que des journaux ».

« Les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies ne sont pas au-dessus des lois. Le droit de veto au Conseil à New York ne leur permet pas d'arrêter arbitrairement des opposants, de fermer des médias indépendants et de commettre des crimes de guerre », a ajouté M. Lempen.

(Photo courtoisie PEC)

LE COMMUNIQUÉ De la pec (en anglais)

Trois ans de prison ferme pour un journaliste au Myanmar

Reporter et commentateur pour la presse au Myanmar et à l'international, Sithu Aung Myint (photo) a été condamné à trois ans de prison ferme avec travaux forcés par un tribunal militaire spécial, la semaine dernière, après avoir passé 14 mois en détention provisoire.

Selon l'accusation, M. Myint a prétendument « incité des fonctionnaires du gouvernement à commettre des crimes », selon les termes de l'article 505 (a) du Code pénal. L'avocat du journaliste a indiqué qu'il ferait appel de la sentence.

Selon le baromètre de RSF, M. Myint est le 29e journaliste à être condamné en moins de deux ans.

Journaliste d'expérience, Sithu Aung Myint a notamment travaillé pour le magazine birman Frontier Myanmar et comme commentateur politique pour la radio américaine Voice Of America (VOA). Les deux organes de presse ont été interdits après le coup d'État militaire du 1er février 2021, ce qui avait forcé le journaliste à la clandestinité.

Reporters sans frontières (RSF) a demandé sa libération inconditionnelle et que de lourdes sanctions internationales soient mises en place pour empêcher la junte militaire de poursuivre son cycle de répression. « Les condamnations de journalistes à de lourdes peines de prison au Myanmar tombent à un rythme tel qu'il donne la nausée. Le monde ne peut pas regarder le Myanmar s'enfoncer ainsi dans la terreur sans rien faire», s'est désolé Daniel Bastard, le responsable du bureau Asie-Pacifique de RSF.

La Fédération internationale des journalistes (FIJ) a aussi condamné l'arrestation et la sentence imposée à Sithu Aung Myint dans un communiqué sur son site Web en plus de demander sa libération. « Sous la junte militaire du Myanmar, les journalistes sont confrontés à une censure de plus en plus stricte, à des attaques, à du harcèlement, à des détentions arbitraires et à des emprisonnements pour leurs reportages indépendants et critiques ».

Deux jours avant cette condamnation, le documentariste japonais Toru Kubota a, pour sa part, écopé de dix ans de réclusion criminelle.

(Photo courtoisie Committee tu Protect Journalists)

LA POSITION DE RSF

SECTIONS RÉGIONALES

Deux activités de la FPJQ section Mauricie pour les membres

AGA et formation en ligne mardi prochain

La FPJQ-Montérégie n'organise pas une, mais deux activités le mardi 18 octobre 2022. Dès 19 h, elle tiendra son assemblée générale annuelle. Ce sera le moment de présenter le bilan de la dernière année et de procéder à l'élection des membres du conseil d'administration. Les journalistes et photographes qui travaillent dans un média de la Montérégie et qui sont membres de la FPJQ sont invités à soumettre leur candidature et à s'impliquer.

Et à 19h30, Michaël Nguyen (photo), le président de la FPJQ et journaliste judiciaire au Journal de Montréal sera des nôtres. Il présentera une formation judiciaire plus avancée. Il mettra l'accent sur la manière de dénicher les histoires d'intérêt public, d'obtenir les documents judiciaires et de traiter la nouvelle afin non seulement de sortir un reportage, mais aussi pour entretenir ses contacts afin de savoir tout ce qui se passe dans les palais de justice. Les participants pourront poser toutes les questions qui leur passent par la tête!

Quand : 18 octobre, de 19h à 21h30

Où : dans le confort de votre foyer, virtuellement par Zoom

Combien : gratuit

Inscription : fpjqmonteregie.info@gmail.com

Les informations de connexion seront transmises par courriel.

L'événement est réservé aux membres de la FPJQ.


FPJQ section Abitibi-Témiscamingue

Deuxième édition de la bourse Gilles-Hamel

La rentrée étant complétée, il est temps d'attribuer la bourse de la relève en communications Gilles-Hamel-FPJQ-Abitibi-Témiscamingue/RNC Média afin de continuer à honorer le souvenir de notre estimé collègue, décédé à la veille de ses 75 ans au printemps de 2021.

Assorti d'une bourse annuelle de 1000$ et d'une adhésion étudiante d'une année à la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), le concours s'adresse aux étudiants et étudiantes en communications originaires de l'Abitibi-Témiscamingue.

L'identité de la personne gagnante sera annoncée le lundi 5 décembre 2022.

EN SAVOIR PLUS

CONFÉRENCES, PANELS ET FORMATIONS

INFORMATIONS ET INSCRIPTION


Vous avez une formation professionnelle pertinente à proposer ?

Partager votre expertise avec les membres de la Fédération

Vous êtes une personne captivante qui travaille dans le domaine de l'information ou qui enseigne dans un programme en journalisme ? Vous aimez partager votre savoir et dévoiler des astuces ? La FPJQ vous propose de devenir formatrice ou formateur sur une base occasionnelle.

Nous recherchons des professionnels qualifiés de divers horizons (judiciaire, BD informative, photographie de presse, politique, réseaux sociaux, données, etc.), passionnés par leur métier et désirant instruire par le biais d'ateliers en lien avec l'univers journalistique.

Pour soumettre un projet de formation pour l'hiver 2023, écrivez sans tarder à info@fpjq.org.

DES NOUVELLES DE LA FÉDÉRATION

Membres de la FPJQ

L'infolettre est votre porte-voix

Vous avez une nouvelle vous concernant, n'hésitez pas à nous transmettre l'information et des photos afin qu'elle soit publiée dans notre infolettre, Le Trente hebdo.

Que ce soit pour une nomination, la parution d'un livre, un changement d'affectation ou encore pour une distinction reçue, vous n'avez qu'à écrire à l'adresse infolettre@fpjq.org pour nous en aviser. Les informations doivent parvenir au plus tard le mardi avant 17 heures pour la parution du jeudi suivant.

Les infolettres parues depuis janvier 2021

Adhérez dès maintenant à la FPJQ

Vous êtes journaliste, photographe de presse, pupitre, graphiste, professeur.e, retraité.e des médias, étudiant.e ou finissant.e dans un programme de journalisme, joignez-vous à la FPJQ en adhérant dès aujourd'hui par l'entremise de notre site Web.

Quatre options vous sont proposées, selon votre statut professionnel. La carte de presse est valide pour un an à partir de la date de la transaction.

En vous inscrivant à la FPJQ, vous profiterez de multiples avantages en plus de soutenir la liberté de la presse et le droit du public à l'information.

Le délai pour l'impression et l'envoi de la carte varie entre une et trois semaines.

Pour renouveler ou une première adhésion

À VOS AGENDAS

Du 14 septembre au 19 octobre 2022

Exposition Antoine-Desilets 2021 à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord

18 octobre 2022

Date butoir pour déposer sa candidature comme administrateur ou administratrice au conseil d'administration de la FPJQ

Date butoir pour déposer sa candidature pour devenir délégué ou déléguée de la FPJQ au Conseil de presse du Québec

Assemblée générale annuelle de la FPJQ section Montérégie

Formation judiciaire en ligne de Michaël Nguyen proposée par la FPJQ section Montérégie

19 octobre 2022

Fin de l'exposition Antoine-Desilets 2021 à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord

31 octobre 2022

Date butoir pour déposer une résolution pour l'assemblée générale annuelle

2 novembre 2022

Fin des inscriptions au tarif régulier pour le congrès 2022 de la FPJQ

Date butoir pour s'inscrire à l'Assemblée générale annuelle de la FPJQ (pour les personnes qui ne seront pas présentes au congrès)

4 au 6 novembre 2022

Congrès annuel de la FPJQ au Delta Mont-Sainte-Anne

5 novembre 2022

Remise du prix hommage Judith-Jasmin et de la bourse Arthur-Prévost

6 novembre 2022 à 9 h

Assemblée générale annuelle de la FPJQ et présentation du plan stratégique quinquennal au Delta Mont-Sainte-Anne

7 novembre 2022

Fermeture exceptionnelle des bureaux de la FPJQ en raison du congrès

23 novembre 2022 à 19 h

Formation de Valérian Mazataud : Le photoreportage à l'international

30 novembre 2022 à 19 h

Fin de la période de mise en candidature pour la bourse Gilles-Hamel de la FPJQ section Abitibi-Témiscamingue

Atelier d'introduction sur l'écriture inclusive par Geneviève Bergeron (proposée par les 3 sex* et Club Sexu)

15 décembre 2022

Dernière parution de l'infolettre hebdomadaire en 2022

23 décembre 2022 au 3 janvier 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la période du Temps des fêtes de fin d'année

12 janvier 2023

Reprise de la parution de l'infolettre hebdomadaire

VOS AVANTAGES FINANCIERS

Impéria Hôtel et Suites

L'Impéria Hôtel et Suites offre un rabais de 10 % sur le tarif régulier en hébergement pour les membres de la FPJQ sur la présentation de la carte de presse.

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Quality Hôtel Saint-Jean-sur-Richelieu

Le Quality Hôtel Saint-Jean-sur-Richelieu offre un tarif à 125 $ plus les taxes pour la location d'une chambre Standard ou Affaires (1 lit ou 2 lits queen) pour les membres de la FPJQ sur la présentation de la carte de presse.

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Société des musées du Québec

L'entrée gratuite dans plusieurs musées québécois et certains établissements à l'étranger, comme le Louvre et les musées nationaux de France.

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OFFRES D'EMPLOI

Journalistes / créateurs.trices de balados (2 postes) | L'Express

Type d'emploi : Temps plein

Lieu : Drummondville

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Analyste en déontologie | Conseil de presse du Québec

Type d'emploi : Permanent, temps plein

Lieu : Montréal

Date limite : Lundi 7 novembre 2022

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Journaliste | La Tribune

Type d'emploi : Permanent, temps plein

Lieu : Sherbrooke (mode de travail hybride)

Date limite : Vendredi 21 octobre 2022 à 16h

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Secrétaire de rédaction (régional) (services français) | CBC/Radio-Canada

Type d'emploi : Permanent, temps partiel

Lieu : Trois-Rivières, Mauricie

Famille d'emplois : Programmation (TV-Radio-Internet)

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Journaliste parlementaire | ONfr+ Groupe Média TFO

Type d'emploi : Temps plein

Lieu : Toronto, Ontario (mode de travail hybride)

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Envoyé par Yapla