2022-04-14 Lettre InfoFPJQ2022-04-14 Lettre InfoFPJQ
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—  LE TRENTE HEBDO  —
L'infolettre de la FPJQ

À LA UNE

Édition 2021

Le gala de la remise des prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets 

La grande soirée qui récompense les meilleures oeuvres journalistiques et photographies de presse au Québec est de retour en présentiel pour l'édition 202. Le gala aura lieu au Grand Times hôtel à Laval à 19h00. L'événement sera également diffusé en direct sur Zoom. Un cocktail débutera à 18h15. La station de métro Montmorency est à 15 minutes, en autobus, de l'hôtel et il y a un stationnement accessible sur le côté de l'édifice.

Nous avons reçu un grand nombre de candidatures. Puis, comme chaque année, les jurys ont été impressionnés par la qualité des oeuvres. Les finalistes seront dévoilés dès la semaine prochaine, donc restez à l'affût ! Pour participer au gala, il faudra réserver votre place dès la semaine prochaine. Toutes les informations vous seront transmises dans la prochaine infolettre. La programmation de la Semaine de la presse et des médias sera également publiée au courant de la semaine prochaine.

 

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Pour les membres de la FPJQ

Sondage concernant la Loi sur l'accès à l'information

L'année 2022 marque le 40e anniversaire de la Loi sur l'accès à l'information. Son utilité n'a plus à être démontrée, mais elle a grandement besoin d'être ajustée pour que son esprit soit respecté, plutôt que d'être utilisée pour mettre des bâtons dans les roues de tous ceux et celles qui font des demandes.

Dans ce cadre, la FPJQ a lancé un sondage auprès de ses membres afin d'obtenir un portrait plus exact de la situation. Vos réponses nous permettront d'effectuer les représentations adéquates auprès du gouvernement du Québec.

Nous vous invitons à répondre à ce court questionnaire, qui nous donnera l'heure juste et qui nous aidera à mieux vous représenter. Le sondage ne prendra que quelques minutes à remplir et a été envoyé par courriel à tous les membres à la fin du mois de janvier. Si vous n'avez pas reçu le lien, merci d'écrire à info@fpjq.org pour nous aviser.

Nous vous remercions pour votre précieuse collaboration !


Édition 2023, 2024 et 2025

La FPJQ en appel d'offres pour Le Trente

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec lance un appel d'offres pour la production éditoriale et graphique de son magazine Le Trente pour les éditions 2023, 2024 et 2025. Les entreprises ou les individus qui ont une expérience de graphisme ou de l'édition de contenu, ou les deux sont invités à soumissionner. Vous trouverez toutes les informations relatives au mandat sur notre site Internet.

Pour obtenir plus d'informations, écrivez-nous à info@fpjq.org.


Adhérez dès maintenant à la FPJQ

Vous êtes journaliste, photographe de presse, pupitre, graphiste, professeur.e, retraité.e des médias, étudiant.e ou finissant.e dans un programme de journalisme, joignez-vous à la FPJQ en adhérant dès aujourd'hui par l'entremise de notre site web.

Quatre options vous sont offertes, selon votre statut professionnel.

En adhérant à la FPJQ, vous profiterez de multiples avantages en plus de soutenir la liberté de la presse et le droit du public à l'information. 

La carte de presse est valide pour un an à partir de la date de la transaction. Le délai pour l'impression et l'envoi de la carte varie entre deux et quatre semaines.

Pour renouveler ou une première adhésion

Inscrivez-vous d'ici au 15 avril sur le site de Copibec

Droit d'auteur pour les œuvres visuelles

Copibec invite les artistes visuels à inscrire les publications imprimées publiées au Québec, en 2018, 2019 et 2020, dans lesquelles des reproductions de vos œuvres d'art visuel sont incluses.

Pour être admissible au Paiement Arts visuels 2022, au moins une de vos œuvres doit avoir été reproduite dans un ouvrage imprimé, soit un livre, un catalogue d'exposition, un magazine ou un journal, publié au Québec entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2020.

Seules les publications imprimées sont admissibles. Tout autre type de publication comme les publications en ligne, les vidéos, les titres d'articles, les affiches ne seront pas retenus. Pour s'inscrire au paiement, accédez à votre compte en ligne chez Copibec. La période d'inscription est ouverte jusqu'au 15 avril 2022.

Tous les détails

DES PRIX ET DES BOURSES

LES DÉTAILS

CONFÉRENCES, PANELS ET FORMATIONS

PLUS DE DÉTAILS


Formations offertes par le Barreau du Québec le mercredi 20 avril 2022

Droit des médias et des communications

Le Barreau du Québec présente une journée de formation au Palais des congrès de Montréal sous le thème « Droit des médias et des communications », le mercredi 20 avril 2022. Il est possible d'y assister en présentiel ou en webdiffusion.

Quatre formations seront présentées pendant la journée :

  • Les ordonnances de non-publication et autres restrictions au principe de la publicité des débats judiciaires
  • Le droit à l'oubli
  • La diffamation
  • La couverture des affaires judiciaires dans les palais de justice
Les membres de la FPJQ peuvent s'inscrire au même tarif que ceux du Barreau du Québec. Vous avez tous les détails sur la page Web de l'événement.
 
PLUS D'INFORMATIONS ET INSCRIPTION

Rectificatif 

La manchette intitulée « Une étude américaine démentie» parue dans l'Infolettre du 7 avril était erronée. Contrairement à ce qui était indiqué, les résultats de l'étude du MIT de 2018 concernant la vitesse de propagation des fausses nouvelles sur les réseaux sociaux ont bel et bien été confirmés par une nouvelle étude de 2021. Plusieurs auteurs, dont celui du magazine The Atlantic, cité dans la manchette, ont d'ailleurs fait leur mea culpa pour avoir tweeté erronément que l'étude du MIT avait été réfutée. Pour avoir l'heure juste sur la question, vous pouvez consulter le texte de l'Agence Science-Presse qui revient sur l'étude et ses suites.

BILLET

Les propos reproduits ici n'engagent que l'auteur. La FPJQ ne cautionne ni ne condamne ce qui est écrit dans ces textes.

Ceux qui racontent la guerre

Par William Thériault, étudiant finissant à l'École supérieure en Art et technologie des médias ATM à Jonquière et stagiaire à la FPJQ

williamtheriault1@gmail.com

La guerre frappe, tue, déchire et torture des populations entières. Elle rase des villes, détruit des existences. Elle nourrit le désespoir, répand quotidiennement la peur. Mais pour que la guerre soit imagée, pour qu'elle soit racontée, il faut que quelqu'un se tienne derrière la caméra.

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EN MANCHETTE

Huit nouvelles décisions rendues par le Conseil de presse du Québec

Les intervenants ne sont pas obligés​ d'appuyer leur propos « par des données empiriques »


Le Conseil de presse du Québec (CPQ) a émis son avis concernant huit nouvelles plaintes portées à son attention. Au nombre de celles-ci, seules deux plaintes ont été retenues en partie, notamment au sujet d'un manque d'identification des sources, faute prévue à l'article 12 du Guide de déontologie journalistique du Conseil de presse du Québec. La Presse canadienne et Radio-Canada ont été blâmés pour ne pas avoir précisé qui étaient exactement les experts dans la dépêche publiée sur Internet « Sans suppléments de palme, les producteurs laitiers écoperont, selon des experts ». Selon le Conseil de presse, les experts en science animale auraient dû être identifiés par leur nom et leur titre professionnel.

Le plaignant Philippe Drolet a également présenté un deuxième grief d'information incomplète concernant un passage de l'intervenant Daniel Lefevre affirmant que les critiques à l'endroit de l'utilisation de l'huile de palme par l'industrie laitière sont "non fondées". La décision a été rejeté selon l'argument suivant : « Les intervenants d'un article journalistique peuvent prendre position dans un débat public sans avoir à justifier leur propos par des données empiriques ou à citer des sources appuyant leurs dires ».

Mentionnons également, dans le dossier du plaignant Yves Laberge, une faute retenue par le Conseil, à l'égard d'une inexactitude dans l'information rapportée par une journaliste de La Presse, Suzanne Colpron, quant au nombre de cas relevé durant la pandémie. On peut lire dans l'article de Mme Colpron, Champion du couvre-feu – Pourquoi le Québec y a adhéré, l'information suivante : « Au retour du congé de Noël, le nombre de cas fracassait les records chaque jour ». Sur la base de l'article 9 du Guide, le Conseil a déclaré que la mise en cause a manqué à son devoir d'exactitude puisque dans les faits seul le 29 décembre 2020, il y a eu un record dans le nombre de cas relevé. Il aurait alors été fidèle à la réalité d'écrire que le nombre de cas a fracassé des records le 29 décembre 2020. Étant donné, que le média a reconnu son erreur et a corrigé les faits, il ne reçoit pas de blâme dans ce dossier.


Projet de loi sur les nouvelles en ligne 

Le CRTC reçoit 8,5 M$ pour soutenir son mandat

Dans la foulée du dépôt du projet de loi visant à soutenir les médias canadiens face aux géants du Web, Ottawa a accordé 8,5 M$ au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) pour élaborer un régime réglementaire sur l'utilisation du contenu journalistique par les géants du numérique.

Cette nouvelle réglementation vise à forcer les entreprises technologiques telles que Google et Meta à indemniser les organes de presse canadiens pour la réutilisation de leur travail sur leurs lateformes. Si le projet fédéral est adopté, les entreprises auront six mois pour négocier des accords privés, à défaut de quoi elles seront forcées de parvenir à un accord. Le CRTC surveillera la non-conformité des plateformes en ligne et veillera à ce que l'indépendance des médias ne soit pas minée par les ententes.

Si le projet de loi a été dans l'ensemble bien accueilli par les principaux acteurs de l'industrie la semaine dernière, le rôle central accordé au CRTC dans l'application de la nouvelle réglementation a été mis en doute. Certains experts se demandent si le CRTC a l'expertise ou l'expérience nécessaire pour réglementer les géants du Web. « Le CRTC n'a absolument aucun antécédent en matière d'édition ou de modèles commerciaux de contenu généré par les utilisateurs, ce qui en fait absolument la mauvaise organisation à impliquer dans la surveillance », a lancé Peter Menzies, ancien vice-président de l'organisme.

Laura Scaffidi, attachée de presse du ministre du Patrimoine Pablo Rodriguez, a précisé que les 8,5 M$ du budget aideraient le CRTC « à administrer cette législation rapidement et à renforcer les capacités là où c'est nécessaire ».


Le NY Times s'interroge

Les journalistes sont-ils trop dépendants à Twitter ?

« Tweetez moins, tweetez de manière plus réfléchie et consacrez plus de temps aux reportages, » c'est l'invitation que le rédacteur en chef du New York Times, Dean Baquet, (photo) a faite à ses journalistes, après avoir remarqué qu'ils étaient dépendants des informations relayées par le réseau social.

Dans une série de notes de service adressées à son adjoint Cliff Levy, Baquet a clairement indiqué qu'il aimerait que ses employés chassent le petit oiseau bleu de leur téléphone, ou du moins qu'ils ne le nourrissent pas aussi souvent. « Je pense que si vous observez certains journalistes du New York Times, à quelle fréquence ils tweetent, ce qu'ils tweetent et combien de temps ils consacrent à tweeter, vous devez vous demander : si mon rôle était de découvrir des faits importants et de les révéler au monde, est-ce comme ça que je voudrais passer ma journée ? » a illustré le rédacteur en chef en entrevue au site NiemanLab

Selon les nouvelles directives édictées par la rédaction, les journalistes peuvent toujours demeurer sur Twitter, mais ils sont encouragés « à réduire de manière significative le temps qu'ils passent sur la plateforme ». Le New York Times soutient que les journalistes perdent trop de temps sur Twitter, que leurs reportages peuvent être biaisés et que le réseau social constitue une source importante de harcèlement et d'abus. En outre, les mauvais tweets peuvent nuire à la réputation du quotidien et de ses employés. 

Le Times renforce également l'équipe responsable de la protection des journalistes contre les abus en ligne et investit davantage dans la formation à la sécurité et les ressources en santé mentale. « Ce n'est pas une attaque contre Twitter, a expliqué Baquet. Twitter a une grande valeur. […] Je pense que son influence est devenue démesurée. Je pense que certains journalistes se tournent vers Twitter pour valider leur couverture. Et je pense que cela a donné à Twitter plus de pouvoir que, franchemen​t, il ne le méritait. »

(Photo courtoisie Wikipédia)

L'ENTREVUE DE NIEMAN LAB

World Press 

Un prix en mémoire de​s enfants autochtones décédés

Une photojournaliste canadienne s'est particulièrement distinguée la semaine dernière en remportant le premier prix du prestigieux concours World Press Photo pour son cliché évoquant le drame des enfants autochtones décédés au pensionnat de Kamloops, en Colombie-Britannique. 

Basée à Edmonton, la photojournaliste indépendante Amber Bracken s'était rendue en juin 2021 à Kamloops quelques semaines après la découverte de plus de 200 sépultures anonymes à proximité de l'ancien pensionnat autochtone, dont la nouvelle avait fait le tour du monde. La photo gagnante montre des robes rouges accrochées à des croix de bois le long d'une route de Colombie-Britannique, en mémoire des enfants décédés. L'image a initialement été publiée dans les pages du New York Times.

Le jury du concours a affirmé que le cliché de la photojournaliste albertaine incarnait parfaitement « le réveil d'une histoire honteuse » au Canada et forçait une réflexion sur l'héritage mondial de la colonisation et de l'exploitation. La présidente du jury mondial, Rena Effendi, a ajouté qu'elle pouvait « presque entendre le silence dans cette photo, un moment silencieux de reconnaissance mondiale de l'histoire de la colonisation, non seulement au Canada, mais partout ».

Plus de 4000 photographes du monde entier avaient soumis quelque 64 000 images pour cette 65e édition du World Press Photo. Après deux ans d'absence en raison de la pandémie de COVID-19, l'événement sera de retour à Montréal, au Marché Bonsecours, du 31 août au 2 octobre.

(Photo courtoisie Instagram)

LE TEXTE DU DEVOIR

Bras de fer entre la CAQ et Facebook

Un faux candidat ferme finalement sa page

Un étudiant de Brossard qui se faisait passer pour un candidat de la Coalition avenir Québec (CAQ) dans La Pinière sur une page Facebook qu'il avait créée en janvier l'a finalement supprimée la semaine dernière, même si les règles du réseau social sur la satire lui permettaient de continuer à la publier.

Le parti de François Legault tentait en vain depuis plusieurs semaines de faire fermer la fausse page politique de Maxym Croteau (photo). Celle-ci semblait en effet authentique à première vue : sa photo de couverture reproduisait soigneusement la signature visuelle des images de candidats de la CAQ, et plusieurs des publications ressemblaient en tout point à celles des communications officielles du gouvernement du Québec sur les réseaux sociaux. « Faire comme si on était un candidat d'un parti politique, c'est problématique, souligne la directrice des communications du parti, Claude Potvin. Pour nous, c'est de la désinformation. » 

La maison mère de Facebook, Meta, a toutefois estimé que le profil et le contenu de la page de Maxym Croteau ne violaient pas ses standards de communauté concernant la désinformation. « Nous autorisons l'humour, la satire ou le commentaire social, et nous pensons que lorsque les gens utilisent leur véritable identité, ils sont plus responsables au moment du partage de ce type de contenu », a déclaré un porte-parole de l'entreprise.

Maxym Croteau a affirmé qu'il avait créé cette page pour « niaiser les complotistes et prouver qu'ils étaient capables de croire à n'importe quoi. »

La popularité de sa page commençait toutefois à l'inquiéter. « Il y avait beaucoup trop de gens qui partageaient et voyaient mes publications en pensant que j'étais un vrai candidat et la CAQ avait raison de dire que ça nuisait à son image, alors j'ai cru que le mieux était de supprimer ma page pour que ça puisse faire l'affaire de tout le monde », a expliqué l'étudiant. 

(Photo courtoisie Twitter)

LA NOUVELLE

Le Monde lance une édition numérique en anglais

Le Monde a lancé le 7 avril une édition numérique quotidienne en anglais. Elle propose aux internautes anglophones des versions traduites (par l'intelligence artificielle) de nombreux articles publiés sur Lemonde.fr. 

Le journal a indiqué qu'il débutait la publication d'une large gamme de contenus en anglais dans le cadre d'une mission visant à doubler son nombre d'abonnés, espérant atteindre le cap du million d'ici 2025. L'idée de développer une version numérique du Monde en anglais avait déjà été évoquée il y a quelques années par la direction, mais le choix de s'implanter davantage dans le monde francophone avait été privilégié. 

L'équipe est composée de huit journalistes, six à la rédaction parisienne du Monde et deux au bureau du journal à Los Angeles. Elle est chargée de sélectionner les articles à traduire, de les valider après traduction et de gérer la page d'accueil du site en anglais. La traduction est assurée par deux agences américaines avec l'aide d'un outil d'intelligence artificielle. Le travail d'édition et de validation des articles est réalisé par des journalistes dont la langue maternelle est l'anglais.

« Le défi est ambitieux : faire une place au Monde dans un monde anglophone où les médias de qualité ne manquent pas », a déclaré le journal dans un communiqué. Une sélection d'articles est gratuite mais la plupart sont payants, tout comme le modèle élaboré par l'édition française.

L'ARTICLE DU GUARDIAN

Romancière et journaliste 

Les lecteurs de Micheline Lachance en deuil

L'ancienne journaliste et pionnière du renouveau du roman historique Micheline Lachance (photo) est décédée la semaine dernière laissant en héritage une vingtaine de livres, dont certains mettent en lumière la destinée de grandes femmes québécoises.

« Mettre les femmes à l'avant-plan de mes romans est un geste politique et féministe, avait déclaré Mme Lachance en entrevue à Radio-Canada il y a quelques années. Les femmes, dans notre histoire, ont été très influentes, mais ce fait est largement méconnu. » Son Roman de Julie Papineau, vendu à des centaines de milliers d'exemplaires, a relancé dans les années 1990 le genre du roman historique et redonné sa place dans l'histoire à la femme du chef du Parti patriote Louis-Joseph Papineau.

La romancière a aussi publié Lady Cartier, sur la femme du père de la Confédération George-Étienne Cartier, et des ouvrages sur le frère André et le cardinal Léger. Son travail d'historienne lui a valu en 2017 une médaille décernée par la Société historique de Montréal pour sa contribution à l'histoire. Avec son compagnon, Pierre Godin, elle formait un duo de journalistes-écrivains d'envergure. Pierre Godin, lui aussi passionné d'histoire, est notamment le biographe de René Lévesque. 

Micheline Lachance a été journaliste pendant plusieurs années à Châtelaine, Québec-Presse et L'Actualité. Son dernier roman, plus personnel, a été publié en 2021. Cet ultime texte, Ne réveillez pas le chagrin qui dort, s'inspirait d'ailleurs de l'exercice de son métier de journaliste dans les années 1980.

La FPJQ tient à envoyer ses condoléances à la famille et aux proches de Micheline Lachance. 

(Photo courtoisie Facebook)

LES DÉTAILS

Professeur et journaliste 

Une grande figure nous quitte 

Le journaliste et professeur Paul-André Comeau (photo) est décédé des suites de la COVID-19 dans sa maison en Belgique à 82 ans. Ce grand intellectuel a marqué le Québec grâce à sa connaissance incommensurable de la politique internationale. Après un baccalauréat et une maîtrise en science politique, M. Comeau se dirige vers Paris pour parfaire sa formation universitaire. C'est durant ces années-là qu'il fait la rencontre de sa femme et devient père d'un jeune garçon. 

Il commença sa carrière comme correspondant en Belgique et en Angleterre pour la télévision de Radio-Canada. Quelques années après, le Devoir vient frappé à sa porte pour lui offrir un poste de rédacteur en chef, ce qu'il accepta jusqu'au retour de Lise Bissonnette. Contactée par le Devoir, Mme Bissonnette avait quelques mots à l'égard de son ancien collègue. « Paul-André Comeau avait une culture personnelle étendue qui le servait bien. Et il avait un sens de l'histoire. C'était, je dirais, un être d'équilibre. Dans le journalisme, on l'oublie trop vite, la culture personnelle est majeure, fondamentale. Et Paul-André Comeau était sans conteste quelqu'un d'une grande culture. »

Homme de lettres, il a également publié certains ouvrages dont L'Action nationaleLangue et sociétéCap-aux-Diamants et l'International Journal of Canadian Studies. Parmi ses nombreux emplois prestigieux, M. Comeau a occupé la fonction de président de la Commission d'accès à l'information, en plus, d'être enseignant invité en science politique à l'Université Laval. 

La FPJQ tient à envoyer ses condoléances à la famille de M. Comeau.

(Photo courtoisie Québec-Amérique)

L'ARTICLE DU DEVOIR

 

GUERRE EN UKRAINE

Aide aux journalistes en Ukraine

Le Centre pour la liberté de la presse s'active à Lviv

Reporters sans frontières (RSF) intensifie son soutien logistique en Ukraine en faisant parvenir à son Centre pour la liberté de la presse à Lviv des équipements de protection, des guides de sécurité et des kits de premiers soins destinés aux journalistes opérant sur le terrain depuis bientôt deux mois.Ouvert le 11 mars à Lviv, dans l'ouest du pays, ce centre connaît maintenant une activité soutenue et les équipes de RSF qui le composent sont sur tous les fronts pour répondre aux demandes et aux besoins urgents des reporters qui couvrent cette guerre au péril de leur vie. Malgré toute l'aide qui a déjà été apportée, on déplore pour le moment sept morts parmi les professionnels des médias. 

En date du 6 avril, 158 gilets pare-balles et 100 casques avaient pu être livrés à Lviv malgré les difficultés rencontrées à la frontière polonaise. Un manuel de référence à l'intention des reporters opérant dans les environnements à haut risque a été traduit en ukrainien. Près de 80 journalistes ukrainiens ont également pu bénéficier de formations portant sur la sécurité physique et psychologique. Les journalistes sur le terrain devraient aussi recevoir des kits de premiers secours, 1100 sont présentement en route. Enfin, 65 reporters et 15 médias ukrainiens ont pu bénéficier d'une aide financière d'urgence.

« Les journalistes sont une cible de choix pour le régime de Poutine - chaque geste compte pour résister, et dire au monde la cohorte d'horreur qui déferle sur l'Ukraine actuellement, affirme Alexander Query, coordinateur du Centre de Lviv pour RSF. Le moindre gilet, le moindre casque, le moindre kit qui gardent en vie un journaliste qui raconte ce qui se passe ici est déjà un rempart contre les adversaires d'une presse libre. »

(Photo courtoisie RSF)

EN SAVOIR PLUS

La presse encore ciblé en Russie 

Un journaliste réputé subit une agression dans un train

L'intimidation et le harcèlement des journalistes se poursuivent dans le pays de Vladimir Poutine. Cette fois, c'est le rédacteur en chef du journal indépendant Novaya Gazeta, et prix Nobel de la paix 2021, qui s'est fait agresser à bord d'un train en partance pour Samara jeudi dernier à la gare de Moscou. Deux individus sont entrés dans le compartiment dans lequel prenait place Dmitry Muratov (photo) et l'ont aspergé de peinture rouge mélangée avec de l'acétone, le blessant gravement aux yeux. Le journaliste a déclaré que les assaillants lui ont crié : « Muratov, voilà pour nos gars ! » avant de s'enfuir. En soirée, le ministère de l'Intérieur a déclaré que la police recherchait activement les deux hommes après avoir étudié les caméras de surveillance de la gare.

Une déclaration publiée sur la chaîne Telegram revendiquant la responsabilité de l'attaque a été supprimée peu de temps après sa publication. Selon Novaya Gazeta, les deux assaillants pourraient faire partie des « parachutistes de l'Union Z », groupe fondé pour commémorer la mémoire de Pavel Yakovlevich Popovskikh, l'ancien chef de l'Organisation publique interrégionale des vétérans des forces aéroportées et des forces spéciales. Popovskikh a été traduit en justice en 1998 dans l'affaire du meurtre de Dmitry Kholodov, journaliste pour Moskovsky Komsomolets. Il a finalement été acquitté.

Novaya Gazeta avait annoncé le 28 mars qu'il suspendait ses activités jusqu'à la fin de la guerre en Ukraine après avoir reçu un deuxième avertissement du Service fédéral russe de surveillance des communications. « Nous condamnons avec la plus grande fermeté cet acte manifeste d'intimidation à l'encontre de Dmitry Muratov, un journaliste russe très respecté, a déclaré le secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes (FIJ), Anthony Bellanger. Nous exhortons les autorités russes à cesser de prendre pour cible la presse et à respecter les principes fondamentaux de la liberté de la presse. »

(Photo courtoisie Twitter)

LES DÉTAILS

Après avoir dénoncé la guerre à la télé 

La journaliste russe embauchée par un média allemand 

Marina Ovsiannikova, (photo) qui a dénoncé la guerre en Ukraine durant un bulletin de nouvelles à la télévision d'État russe, a accepté cette semaine une offre de la chaîne d'information allemande Welt. Elle agira comme correspondante en Ukraine et en Russie.

Productrice à Pervy Kanal, la plus puissante chaîne télévisée de Russie, Mme Ovsiannikova a fait la manchette à la mi-mars en faisant irruption derrière la présentatrice en plein bulletin télévisé, brandissant une pancarte sur laquelle on pouvait lire : « Arrêtez la guerre. Ne croyez pas la propagande. Ils vous mentent ici. » Rapidement arrêtée, elle a été condamnée à payer une amende de 30 000 roubles (un peu moins de 350 $), mais elle risque toujours des poursuites passibles de peines d'emprisonnement.

Welt « défend ce qui est défendu avec tant de véhémence par les personnes courageuses sur le terrain en Ukraine en ce moment : la liberté », a déclaré Marina Ovsiannikova après l'annonce de son embauche par le média allemand, propriétaire entre autres de Die Welt, l'un des grands quotidiens du pays. Dans un communiqué, le rédacteur en chef du groupe, Ulf Porschardt, s'est dit « enthousiaste à l'idée de travailler avec elle », estimant qu'elle avait « défendu l'éthique journalistique la plus importante, malgré la menace de répression de l'État » russe.

De son côté, le régime de Vladimir Poutine n'a pas tardé à dénoncer cette embauche d'une journaliste russe par un média occidental. « Maintenant, elle va travailler pour un pays de l'OTAN, justifier les livraisons d'armes aux néonazis ukrainiens, l'envoi de mercenaires étrangers pour combattre nos soldats et défendre les sanctions contre la Russie », a déclaré Viatcheslav Volodine, chef de la Douma, sur la plateforme de discussion en ligne cryptée Telegram, proposant de déchoir de leur nationalité les « traîtres » opposés à l'offensive en Ukraine.

(Photo courtoisie Facebook)

L'ARTICLE COMPLET

À L'INTERNATIONAL

Enquête sur le ciblage électoral

Le report d'une émission fait controverse à France 2

La société des journalistes de France 2 (SDJ) a dénoncé avec véhémence la déprogrammation, par la direction de la chaîne, d'une enquête consacrée au ciblage électoral, qui devait être diffusée trois jours avant le premier tour de l'élection présidentielle. 

Cet épisode du magazine Complément d'enquête mettait en lumière les techniques auxquelles s'adonnent les candidats pour récupérer des données d'électeurs et en tirer parti pour leur campagne. Et même si les douze candidats apparaissaient au cours de l'émission, et leur temps de parole était strictement respecté, cela n'a pas suffi. « On peine à comprendre la pertinence de cette décision », a pesté une journaliste de la rédaction.

La direction a expliqué qu'il était impossible de diffuser l'émission à quelques jours du premier tour de l'élection présidentielle. L'émission aurait dû être diffusée au début de l'année, mais l'actualité, notamment la guerre en Ukraine, a engendré deux reports. Quand la date du 7 avril est fixée, ils n'ont « pas prêté attention à la proximité avec celle du scrutin », affirme Germain Dagognet (photo), directeur des magazines de l'information chez France Télévisions. Et ont réalisé, en début de semaine, que cela « risquait de poser problème ».

De plus, la direction de la chaîne publique « ne voulait pas offrir aux candidats l'occasion de s'emparer de cette enquête pour en faire un argument de campagne ». Une justification rejetée du revers de la main par le syndicat. « Nous insistons sur le fait que cette déprogrammation, elle, ne manquera pas d'être instrumentalisée à coup sûr. Elle l'est déjà », a affirmé la SDJ dans un communiqué. Germain Dagonet soutient que la direction n'a subi « aucune pression extérieure » et que l'émission devrait être diffusée pendant l'entre-deux tours, « si on trouve la place ».

(Photo courtoisie Twitter)

LA NOUVELLE DE LIBÉRATION

Antenne de France Inter piratée

La soirée électorale perturbée pendant plus d'une heure

Alors que la soirée électorale battait son plein en France dimanche soir, les ondes radiophoniques du diffuseur public France Inter ont été brouillées pendant plus d'une heure sur son réseau FM Paris-Est.Au moment des résultats et analyses traditionnels du premier tour de l'élection présidentielle française, un « émetteur pirate a soufflé la fréquence de la station », une technique interdite, a précisé la radio. Un discours de quelques minutes dirigé contre les politiciens, les fonctionnaires et les journalistes a été diffusé en boucle pendant plus d'une heure. France Inter « n'a pas pu identifier le contenu de ce discours ». La radio a précisé que « seul le réseau couvrant le 20e arrondissement de Paris a été concerné ». « On l'a découvert par un tweet » d'un auditeur, a ajouté la radio, qui n'a reçu aucune revendication.

Nous « sommes absolument désolés et faisons tout pour comprendre ce qui s'est passé et éviter que cela se reproduise », a tweeté Laurence Bloch, directrice de France Inter, à la suite de ces perturbations.

(Photo courtoisie Twitter)​

L'ARTICLE DU MONDE

RSF lance un appel à l'ONU

La peur règne dans les salles de presse afghanes

Devant la multiplication des arrestations arbitraires en Afghanistan, Reporters sans frontières (RSF) demande au nouveau rapporteur spécial de l'ONU sur la situation des droits de l'homme en Afghanistan​ une action urgente pour ramener la sécurité dans les salles de rédaction du pays. Le Conseil des droits de l'homme des Nations unies a annoncé, le 27 mars, la nomination du chercheur britannico-néo-zélandais Richard Bennett (photo) au poste de Rapporteur spécial sur la situation des droits de l'homme en Afghanistan. « Les arrestations de journalistes par le régime se poursuivent, les pressions du régime sur les médias aussi, la situation de la liberté de la presse en Afghanistan ne doit pas passer sous les radars de l'attention internationale, souligne Antoine Bernard, directeur du plaidoyer et de l'assistance de RSF. Nous attendons du nouveau Rapporteur spécial de l'ONU sur l'Afghanistan, Richard Bennett, une mobilisation maximum pour soutenir le journalisme libre, pluraliste et indépendant. »

Malgré la promesse du régime taliban que la loi sur la presse promulguée en mars 2015 resterait en vigueur et applicable, de nouvelles restrictions ont rapidement été imposées aux médias et aux journalistes. Par exemple, un décret du ministère de l'Information et de la Culture interdit la rediffusion du journal télévisé des médias internationaux VOA, BBC, et DW en langue locale par les chaînes privées.

Les menaces et arrestations arbitraires ont augmenté et les différents services de sécurité, en particulier les agents des services de renseignement peuvent interdire les émissions et les programmes ou intervenir directement dans les locaux des rédactions pour arrêter les journalistes ou les employés des médias. Entre le 15 août 2021 et le 4 février 2022, une cinquantaine de professionnels au moins ont ainsi été arrêtés par la police afghane et les services de renseignement.

(Photo courtoisie Facebook)

L'APPEL DE RSF

Éminent journaliste arrêté

Autre coup dur pour la liberté de presse à Hong Kong

La répression de la presse libre a connu un autre triste épisode lundi à Hong Kong. Le journaliste chevronné Allan Au (photo) a été arrêté à l'aube par des policiers de la sécurité nationale et aurait été inculpé, selon une source policière, d'avoir conspiré en vue de publier des documents séditieux.

Le professeur de journalisme âgé de 54 ans était aussi chroniqueur au Stand News, plateforme d'information en ligne qui a été fermée en décembre après que les autorités eurent gelé les actifs du média en vertu d'une loi sur la sécurité nationale. Deux autres cadres de Stand News ont déjà été inculpés de sédition lors de leur arrestation en décembre. 

Peu de temps après la fermeture du site, Allan Au a commencé à saluer ses abonnés à tous les jours sur sa page Facebook pour signifier qu'il était en sécurité. Le journaliste  - un des chroniqueurs les plus respectés de Hong Kong - a étudié à l'Université de Stanford, en Californie, et a obtenu un doctorat de l'Université chinoise de Hong Kong.

Cette nouvelle arrestation s'inscrit dans la campagne de répression menée par les autorités chinoises à l'endroit des dissidents hongkongais. L'une des figures du camp pro-démocratie, le magnat des médias Jimmy Lai, a été incarcérée l'an dernier et les actifs de son tabloïd emb​lématique, l'Apple Daily, ont été gelés. Un millier d'employés ont perdu leur travail, dont 700 journalistes.

(Photo courtoisie School of Journalism and Communication)

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20 avril 2022 à 19h30

Formation d'Améli Pineda et Me Justine Fortin - Quel savoir-être à adopter auprès des personnes victimes et survivantes de violences sexuelles et conjugales ?

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Causerie en présentiel de la FPJQ section Québec dans le cadre de la Semaine de la presse et des médias : Les journalistes et la guerre : histoires de couverture en temps de crise (informations et inscriptions à venir)

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Annonce des lauréats et lauréates 2021 du Concours canadien de journalisme

7 mai 2022

Panel en présentiel dans le cadre de la Semaine de la presse et des médias : Comment favoriser la diversité culturelle au sein des groupes de presse et des médias québécois ? (informations et inscriptions à venir)

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Gala en présentiel de la remise des prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets au Grand Times hôtel à Laval (informations et inscriptions à venir)

9 mai 2022

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Pupitreur surnuméraire | Le Devoir

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Journaliste au pupitre numérique | Le Soleil

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Journaliste au pupitre numérique | Les Affaires

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Date limite : Vendredi 29 avril 2022

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Stagiaire en journalisme | L'Aurore boréale

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Envoyé par Yapla