À la une
Un retour sur celles et ceux qui nous ont quitté
Le risque d'oublier des disparu·es de l'année 2024 dans la rétrospective de l'infolettre du 26 décembre était bien grand.
Comme on nous l'a signalé, il manquait notamment dans cette liste Ubald Bernard, décédé le 9 septembre 2024 à l'âge de 71 ans. La nouvelle avait circulé sur les réseaux sociaux.
Longtemps affecté aux Affaires municipales, le journaliste retraité de Radio-Canada était un collègue très apprécié dans la communauté journalistique, comme nous le souligne Line Pagé.
On nous a également reproché l'absence de journalistes anglophones dans la rétrospective. Bien évidemment, il ne s'agissait pas d'un choix éditorial. Plutôt d'une des conséquences de l'impossibilité, pour la très petite équipe de la permanence, de consacrer le temps qu'il faudrait à la veille attentive d'une plus grande diversité de sources et à la rédaction des contenus des infolettres.
À cet égard, les contributions des membres sont précieuses et essentielles. N'hésitez pas à nous signaler des nouvelles pertinentes, qu'elles concernent votre carrière, celle de vos collègues, un média, etc. Vous pouvez aussi nous proposer des textes sur un sujet lié au journalisme, aux médias, à la liberté de presse, à l'accès à l'information, etc.
Il suffit de nous écrire à infolettre@fpjq.org
Un rappel aux finissant·es
Vous êtes un·e journaliste de la relève dont les derniers cours se terminaient à la session d'automne? Vous pourriez devenir membre professionnel·le de la FPJQ et obtenir votre carte de presse professionnelle au tarif étudiant. Votre demande d'adhésion doit se faire dans les quatre mois suivant la fin de vos cours.
Si vous y êtes éligible de par votre programme d'études, vos stages, vos occupations professionnelles, ce membership vous offre :
- des avantages financiers offerts par les partenaires de la FPJQ;
- l'accès gratuit ou à tarif réduit à des formations et autres activités professionnelles;
- l'admissibilité à des programmes de prix et bourses.
La FPJQ défend les droits et le statut de ses membres; elle est leur voix et un lieu de réflexion sur l'avenir du journalisme.
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Conseil de presse du Québec
Trois nouvelles décisions du Conseil de presse
Le 8 janvier, le Conseil de presse du Québec a publié trois nouvelles décisions. Il a retenu deux plaintes qui lui avaient été soumises et en a rejeté une.
Allégations graves
La plainte retenue, faite par Ève Sasseville, concernait l'article « Pères violents : des mères se font retirer la garde de leur enfant » de la journaliste Florence Lamoureux publié dans le Journal de Montréal le 15 janvier 2024. Le Conseil de presse retient le grief de manque d'équilibre et blâme la journaliste ainsi que le journal. Sa décision souligne la nécessité de tenter d'obtenir la version des faits d'une personne ou d'une organisation lorsque celles-ci font l'objet d'allégations graves.
« Alors que des décisions prises par des intervenantes de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) étaient vivement dénoncées, l'article ne présentait pas la version des faits de la principale intéressée, la DPJ, ni du ministère responsable », peut-on lire dans le sommaire.
Des griefs d'information inexacte et de manque de fiabilité des informations transmises par les sources ont cependant été rejetés.
Information incomplète
Une plainte de Kaven Benoit visait l'article « Que faut-il savoir sur les inhibiteurs de puberté, qui font débat en Alberta? », de La Presse Canadienne, publié sur le site web de Radio-Canada le 11 février 2024. Le grief d'information incomplète a été retenu. Le Conseil de presse a notamment examiné une phrase du texte pointée par M. Benoit : « Les effets des inhibiteurs de puberté sont réversibles si le traitement est interrompu ». On n'y mentionnait pas la possibilité d'effets secondaires irréversibles.
« Dans ce contexte précis, où les études à long terme font défaut et les spécialistes ne sont pas tous d'accord, l'affirmation sur les "effets réversibles" manquait de nuances essentielles », peut-on lire dans le sommaire de la décision.
Le Conseil de presse a rappelé que « [c]ertaines données sur les effets indésirables potentiels des inhibiteurs de puberté étaient disponibles dans l'espace public au moment de la publication de l'article en cause. » En omettant de les fournir, on laisse entendre que tous ces effets sont réversibles, ce qui porte les lecteurs et lectrices à croire qu'un tel traitement ne comporte pas de risques pour la santé.
Les médias visés ayant apporté la correction nécessaire, il n'y a pas eu de blâme, mais plutôt absolution par le Conseil de presse du Québec.
Modération des contributions du public
La plainte rejetée par le Conseil de presse du Québec ciblait des commentaires du public sous deux articles publiés sur le site web Espaces autochtones de Radio-Canada : « Touchées par un taux de criminalité élevé, des communautés autochtones s'organisent » (8 novembre 2023) et « L'économie autochtone pourrait atteindre 100 milliards $, selon une leader » (23 novembre 2023). La plainte faite par Michèle Fiset impliquait des griefs d'absence de modération d'une contribution du public et de refus injustifié de publier des contributions du public.
« Étant donné que Radio-Canada a mis en place les moyens raisonnables qu'on peut exiger d'un média pour modérer les contributions du public et que le Guide prévoit une obligation de moyens et non de résultats, le Conseil rejette le grief d'absence de modération d'une contribution du public », mentionne notamment la décision.
On retrouve les sommaires ainsi que les liens vers les décisions sur le site du Conseil de presse du Québec.
Commission d'appel du Conseil de presse : deux décisions infirmées, deux décisions maintenues
La commission d'appel du Conseil de presse du Québec a rendu quatre décisions relativement à des demandes de révision lui ayant été soumises. Deux décisions du comité des plaintes ont été maintenues, deux autres ont été en partie infirmées.
Puisque les décisions de la commission d'appel sont finales, ces quatre dossiers sont ainsi clos. La commission d'appel rappelle que son rôle « est de s'assurer que les principes déontologiques ont été appliqués correctement par le comité des plaintes, en première instance ».
Pas de préjugés dans les termes
La commission d'appel infirme la décision concernant deux griefs de discrimination entretenant les préjugés retenus en première instance et retire le blâme au chroniqueur Christian Rioux et au Devoir dans le dossier lié à la chronique d'opinion « Solitude française », publiée dans Le Devoir le 14 juillet 2023.
Le plaignant François Gosselin Couillard et le comité des plaintes avaient vu dans l'utilisation et l'association des termes « djihadistes » et « vandales » un amalgame pouvant entretenir des préjugés envers les jeunes arabes. La commission d'appel conclut plutôt que, dans le passage visé, Christian Rioux décrivait des faits. Le comité des plaintes avait également perçu l'utilisation de l'expression « de visu » comme une façon d'attribuer l'origine des émeutes aux minorités visibles. Or la commission d'appel conclut que le chroniqueur rapporte un fait constaté « après l'avoir vu », et se base sur celui-ci pour développer son opinion.
Correction inexacte, absolution annulée
Dans le cas du dossier lié à l'éditorial « Dernière chance pour les ambulances » de Philippe Mercure, publié dans La Presse le 3 mars 2023, la commission d'appel a annulé l'absolution accordée par le comité des plaintes. L'éditorialiste et le média reçoivent ainsi un blâme pour le grief d'information incomplète, désormais retenu.
Le plaignant en première instance avait fait appel de la décision d'absoudre l'éditorialiste et le média, prise vu le correctif apporté au passage qui mentionnait le montant de la facture des entreprises ambulancières privées. La commission d'appel conclut que « la correction apportée par le média le 2 novembre 2023 était inexacte » alors que les données permettant la correction exacte « étaient publiquement accessibles, entre autres dans l'Étude des crédits du ministère de la Santé ».
Pas de discrimination
La commission d'appel a maintenu la décision du Conseil de presse du Québec dans le dossier lié à une intervention du chroniqueur Mathieu Bock-Côté à l'émission « La Joute », diffusée sur LCN le 5 décembre 2022. Un grief de discrimination avait été rejeté, le comité des plaintes jugeant que le plaignant Quentin Condo attribuait à Mathieu Bock-Côté des propos qu'il n'avait pas tenus, et les interprétait en associant un problème de trafic d'armes à de la discrimination envers les communautés autochtones.
Le plaignant a porté la décision en appel. La commission d'appel est parvenue au même constat que le comité des plaintes. « Mathieu Bock-Côté s'en tient à désigner les réserves comme lieu de transit des armes à feu illégales, sans jamais prétendre que tous les Autochtones sont des trafiquants d'armes et des criminels », a-t-elle souligné.
Un résumé et non une citation
Le quatrième dossier concerne l'article de Cédric Bélanger « Le Doc Mailloux s'éteint à 74 ans » publié le 12 janvier 2024 sur les sites web du Journal de Montréal et du Journal de Québec. Le plaignant Kaven Benoit considérait que le journaliste déformait les propos tenus par le Doc Mailloux à l'émission Tout le monde en parle du 25 septembre 2005. Le comité des plaintes avait rejeté le grief d'information inexacte, expliquant qu'il ne s'agissait pas d'une citation directe mais d'un résumé de la portée générale, des propos controversés.
Parvenant à la même lecture des faits, la commission d'appel maintient la décision de première instance. Elle indique que « l'information que déplore le plaignant n'est pas présente dans le passage du texte visé par la plainte » et que « le journaliste se contente d'y résumer une des controverses ayant marqué la carrière médiatique du Doc Mailloux ».
On retrouve le sommaire ainsi que les liens pour accéder aux décisions de la commission d'appel sur le site du Conseil de presse du Québec.
En manchette
Boucherville : fin de la diffusion des avis publics dans les journaux imprimés
La Ville de Boucherville a adopté un règlement modifiant la diffusion de ses avis publics : ils ne seront plus diffusés dans les journaux imprimés et distribués, et il en ira de même des avis relatifs à la loi sur l'aménagement et l'urbanisme, rapportait en début de semaine Benoît Normand du FM103,3.
Le site web de la Ville de Boucherville et la vitrine physique de l'hôtel de ville sont les canaux de diffusion privilégiés par la municipalité, qui « estime que cette décision lui permettra de diffuser les avis publics plus rapidement sans devoir attendre les délais de publication et distribution des journaux ».
La Ville de Boucherville se reserve toutefois la possibilité de diffuser certains avis dans des médias écrits.
Charlie Hebdo, 10 ans plus tard : deux caricaturistes québécois lauréats du concours #rirededieu
Comme le rapportait Lila Dussault dans La Presse le 7 janvier, des caricatures de deux artistes québécois comptent parmi les lauréates du concours #rirededieu mis en place par le média français Charlie Hebdo en mémoire du massacre qui a coûté la vie à huit membres de son équipe.
Les deux lauréats sont le peintre montréalais Hubert Neault et le caricaturiste lévisien Fleg (Christian Daigle). On retrouve leurs dessins dans le dernier numéro de Charlie Hebdo, qui commémore le dixième anniversaire de la tuerie. Ils illustrent également l'article de Lila Dussault dans La Presse.
Publié le même jour dans La Presse, le texte « Où est Charlie? » que signe Isabelle Hachey jette un regard sur ces dix années écoulées depuis l'attaque terroriste du 7 janvier 2015 dans les bureaux de Charlie Hebdo.
« Le choc a été planétaire. Le monde entier semblait alors soudé. Contre la barbarie. Pour le droit de rire de tout, de tout dire, de tout écrire.
Dix ans plus tard, on se demande : que reste-t-il de l'esprit Charlie ? Que reste-t-il de l'indignation des quatre millions de personnes qui ont défilé dans les rues de Paris, le 11 janvier 2015, pour défendre la liberté de la presse ? »
Lire la chronique dans La Presse
Cinq menaces au droit d'être informé
Dans Le Devoir, le professeur Pierre Trudel, qui enseigne le droit des médias et des technologies de l'information à l'Université de Montréal, signait lui aussi le 7 janvier une chronique inspirée par le dixième anniversaire de l'attaque terroriste contre l'équipe de Charlie Hebdo.
« L'état de la liberté de presse et du droit à l'information ne s'est pas amélioré depuis », constate-t-il en évoquant la récente démission de la dessinatrice du Washington Post suivant la censure de sa caricature montrant les patrons des grandes plateformes numériques agenouillés devant Donald Trump.
Pierre Trudel identifie cinq menaces contre le droit à l'information : les agressions contre les journalistes; les menaces contre les médias de service public; l'absence de responsabilisation des plateformes en ligne; les délais d'accès aux documents publics; le réflexe de censure.
Lire la chronique dans Le Devoir
Fin de la vérification des faits par Meta aux États-Unis : l'avis d'experts d'ici
Suivant l'annonce, faite mercredi, de la fin de la vérification des faits par Meta aux États-Unis, le journaliste Vincent Desbiens du Journal de Québec a notamment consulté l'expert en communications numériques Bruno Guglielminetti et le professeur en journalisme à l'école des médias de l'UQAM Patrick White.
Tous deux s'entendent sur le fait que « "le moment choisi pour cette décision fondamentale" coïncide drôlement bien avec l'arrivée imminente au pouvoir du président Donald Trump ».
Pour M. Guglielminetti, « la modération du contenu a toujours été une roche dans le soulier de Meta, même si elle était faite par un sous-traitant » en raison des ressources qu'elle demande. M. White croit quant à lui que « la nouvelle est à prendre avec un grain de sel, puisque la vérification des faits est "une pratique marginale qui n'apporte pas de solution concrète à la désinformation" ».
Patrick White souligne néanmoins les enjeux de faillibilité et de légitimité qui se posent quand on laisse à la bonne volonté des usagers et usagères la responsabilité de la vérfication des faits, comme c'est déjà le cas sur X, duquel Meta veut s'inspirer.
Lire l'article dans le Journal de Québec
Nael Schiab lance Codez comme un journaliste
Le journaliste de données à CBC/Radio-Canada Naël Schiab a lancé mardi la plateforme Codez comme un journaliste, une initiative visant à outiller les journalistes à cette pratique encore peu explorée.
Ce cours bilingue en ligne, gratuit et en code ouvert, enseignera l'analyse et la visualisation de données avec TypeScript. Le tout est rendu possible grâce à une bourse de la Fondation des Prix Michener.
Visiter la plateforme : https://www.code-like-a-journalist.com/fr
Caroline Jamet quitte Radio-Canada pour la présidence de Cogeco Média
Après avoir été à la tête de l'audio à Radio-Canada depuis 2017, Caroline Jamet devient présidente de Cogeco Média. Elle intégrera officiellement ses nouvelles fonctions le 3 février, deux semaines après la date fixée pour son départ de Radio-Canada, comme le précise Étienne Paré dans La Presse.
Mme Jamet succède ainsi à Caroline Parent, congédiée au mois d'août. Après que Martin Spalding ait été pressenti puis écarté par Cogeco Média pour prendre sa relève à la présidence de l'entreprise, le poste était demeuré vacant.
Lire l'article dans La Presse
Google verse les 100 millions $
C'est confirmé, écrivait La Presse canadienne le 3 janvier : « Google a envoyé les 100 millions de dollars qu'elle avait accepté de verser aux médias canadiens en échange d'une exemption de la loi sur les nouvelles en ligne ».
La somme a été transférée au Collectif canadien de journalisme, l'organisme sans but lucratif sélectionné pour en assurer la distribution. Celui-ci avait indiqué en décembre qu'il s'affairerait à distribuer la première tranche de ces fonds d'ici la fin janvier aux éditeurs admissibles, et que ceux-ci recevraient « environ 13 798 $ par journaliste équivalent à temps plein qu'ils emploient sur une année de 2000 heures » alors que les diffuseurs recevraient « environ 6806 $ par travailleur admissible ».
À l'international
Google : des enquêtes journalistiques supprimées sur demande
« De nombreux médias sont visés par des demandes de déréférencement de leurs articles sur Google, invisibilisant ainsi leur travail », peut-on lire dans La revue des médias, sous la plume de Thibaut Schepman.
Thibaut Schepman relate le cas d'un article coécrit par les journalistes Fanny Ruz-Guindos et Anne Jouan pour Le Canard enchaîné. Leur enquête concernant « le chirurgien esthétique Olivier Gerbault accusé d'avoir charcuté des patients » a tout bonnement « disparu de Google », sauf pour les personnes disposant déjà du lien exact de l'article.
Fanny Ruz-Guindos a consulté la Lumen Database, une base de données gérée par un centre de recherche de l'Université Harvard qui recense et rend publiques les demandes de suppression de contenus en ligne sur certaines plateformes. C'est ainsi qu'elle a su qu'une demande de suppression de son enquête avait été faite, invoquant une fausse infraction.
« La pratique vous semble particulièrement retorse ? Elle n'est pourtant pas nouvelle et bon nombre de personnes ayant en général des choses graves à se reprocher (ce qui recoupe des affaires criminelles, de la corruption et des scandales financiers) y ont déjà eu recours. Dès 2021, l'ONG suédoise Qurium documentait comment cette méthode avait permis de passer sous silence une enquête consacrée à l'un des volets de l'affaire des Panama Papers », écrit Thibaut Schepman, avant de citer d'autres exemples, dans d'autres pays.
Lire l'article dans La revue des médias
Reuters Institute for Journalism : prévisions pour le journalisme en 2025
Dans son infolettre du 9 janvier, le Reuters Institute for Journalism partage son rapport annuel sur les enjeux qui façonneront le journalisme au cours de cette nouvelle année bien amorcée.
Signé par l'associé de recherche principal Nic Newman, le rapport intitulé « Journalism, media, and technology trends and predictions 2025 » est le fruit d'une enquête menée auprès de 326 gestionnaires de médias de 51 pays.
On peut télécharger le rapport en format pdf ou en faire la lecture en ligne sur le site du Reuters Institute for Journalism
Une résidence pour le journalisme scientifique
Chaque année, le programme Knight Science Journalism du Masschusetts Institute of Technology, aux États-Unis, offre à dix journalistes scientifiques de différents pays une résidence (fellowship). Pour la durée d'une année académique, les journalistes en résidence bénéficient d'un contexte et de ressources leur permettant de se consacrer à de la recherche et de l'exploration en science et en technologie et de bonifier leur pratique journalistique.
La date limite pour soumettre une candidature est fixée au 15 janvier; tous les détails sur le programme sont accessibles en ligne.
Al Jazeera suspendue dans les territoires palestiniens par l'Autorité palestinienne suspend
Le 1er janvier, l'Agence France Presse rapportait la décision de l'Autorité palestinienne de « suspendre la diffusion et les activités de la chaîne qatarie Al Jazeera dans les territoires palestiniens, l'accusant notamment d'"incitation à la sédition" et d'"ingérence" dans ses affaires.
Lire l'article sur le site de Radio-Canada
À vos agendas
9 au 15 janvier 2025
Dates limites pour soumettre des candidatures dans les différentes catégories du Concours canadien de journalisme.
10 janvier 2025
Date limite pour soumettre une candidature aux Prix du magazine canadien en profitant des tarifs hâtifs d'inscription.
13 janvier 2025, midi
Date limite pour soumettre une candidature au R. James Travers Foreign Corresponding Fellowship 2025
14 janvier 2025
Date limite pour soumettre une candidature aux Prix de l'Association canadienne des journalistes.
15 janvier 2025
Date limite pour soumettre une candidature au Knight Science Journalism Academic-Year Fellowship.
17 janvier 2025
Date limite pour soumettre une candidature à la nouvelle Bourse en journalisme CDC-ABC
Date limite pour soumettre une candidature hâtive aux Prix d'excellence en publication numérique
Date limite finale pour soumettre une candidature aux Prix du magazine canadien.
24 janvier 2025
Date limite finale pour soumettre une candidature aux Prix d'excellence en publication numérique
Date limite pour soumettre une candidature aux prix et bourses de la Fondation canadienne pour le journalisme.
17 février 2025
Date limite pour soumettre une candidature aux Prix de la liberté de la presse 2025.
15 mars 2025
Date limite pour soumettre sa candidature au Concours pour les étudiantes et étudiants en journalisme et communication du CQÉMI en collaboration avec la Fondation René-Lévesque.
VOS AVANTAGES FINANCIERS
IRIS
IRIS, le groupe visuel offre le Programme des avantages IRIS à tous les employés et membres de la FPJQ ainsi qu'à leur famille immédiate résidant à la même adresse avec le code promotionnel.
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Un rabais de 20% sur les impressions et les commandes en magasin sur tout achat de 25$ et plus chez Photolab Yves Thomas.
Société des musées du Québec
L'entrée gratuite dans plusieurs musées québécois et certains établissements à l'étranger, comme le Louvre et les musées nationaux de France.
Strøm spa
Le Strøm spa propose aux membres de la FPJQ une page d'offres exclusives variées et mise à jour régulièrement pour profiter de l'expérience thermale, des massages et des soins, ainsi que pour l'achat de cartes-cadeaux ou de forfaits pour l'un des ses quatre établissements. Certains rabais peuvent représenter une économie allant jusqu'à 35% sur le prix régulier.
Une offre aux finissants en journalisme
En tant que finissant en journalisme vous pouvez devenir membre professionnel de la FPJQ et obtenir la carte de presse au tarif étudiant, en faisant votre demande d'adhésion au cours des quatre mois qui suivent la fin de vos cours en journalisme si, bien sûr, vous n'avez pas d'occupations incompatibles avec le journalisme.
Consulter la liste des avantages financiers
offerts aux membres de la FPJQ
OFFRES D'EMPLOI
Journaliste pigiste | Éditions du Journal de l'Assurance
Poste : Journaliste
Statut : Pigiste à temps partiel
Lieu de travail : Télétravail
Responsable éditorial | Médias ténois
Type d'emploi : contrat de 2 ans renouvelable, temps plein. 40 h par semaine
Lieu : Yellowknife, TNO, télétravail occasionnel
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