— LE TRENTE HEBDO —
L'infolettre de la FPJQ
À LA UNE
Tarif hâtif pour les réservations effectuées d'ici au 3 octobre 2022
La programmation du congrès officiellement dévoilée
Du 4 au 6 novembre prochain, le réputé congrès annuel de la FPJQ fera son retour en présentiel après deux ans de présentation virtuelle. Les activités se dérouleront au Delta Mont-Sainte-Anne, dans la ville de Beaupré, à une quarantaine de minutes de Québec.Ceci n'est pas de la censure sera le thème au centre de la programmation qui est dévoilée officiellement aujourd'hui. Vous avez dans celle-ci la majorité des événements qui seront présentés pendant la fin de semaine du congrès. Des ajouts de panélistes ou des changements mineurs dans les horaires pourraient également être apportés à la programmation d'ici la mi-octobre.
Consulter la programmation 2022 ➡️
Pour les personnes qui procèderont à l'inscription d'ici le lundi 3 octobre 2022, un tarif hâtif est proposé, selon votre statut de membre. Les prix seront ajustés à la hausse après cette date butoir. Les panélistes et différents invités de la FPJQ n'ont pas besoin de s'inscrire ou de réserver l'hébergement, la permanence s'en occupera. Si vous êtes membre actif, vous devez au préalable vous connecter à votre profil :
Inscription au congrès 2022 ➡️
L'inscription inclut l'accès à toutes les activités : panels, débats, ateliers et formations pour le congrès 2022 en présentiel, du vendredi 4 au dimanche 6 novembre, en plus de deux consommations pour l'un des coquetels et deux pauses-café. Les repas, le transport et l'hébergement ne sont pas inclus dans ce tarif.
Pour procéder à la réservation de la chambre d'hôtel au Delta Mont-Sainte-Anne, au tarif préférentiel de 174 $ par nuit plus les taxes applicables, vous devez cliquer sur le lien suivant et indiquer la date d'arrivée et de départ pour effectuer la recherche :
Suivez ce lien pour réserver votre chambre au Delta Mont-Sainte-Anne ➡️
L'hôtel garantit ce tarif pour les réservations effectuées avant le lundi 3 octobre 2022. Pour les réservations après cette date, le tarif régulier de l'hôtel s'appliquera et le montant par nuitée sera ajusté à la hausse par l'établissement hôtelier. Nous vous invitons à réserver rapidement pour vous assurer de la disponibilité des chambres.
POUR PLUS D'INFORMATIONS ET S'INSCRIRE |
Deux activités de la FPJQ section Mauricie pour les membres
AGA et formation en ligne le mardi 18 octobre prochain
La FPJQ-Montérégie n'organise pas une, mais deux activités le mardi 18 octobre 2022. Dès 19 h, elle tiendra son assemblée générale annuelle. Ce sera le moment de présenter le bilan de la dernière année et de procéder à l'élection des membres du conseil d'administration. Les journalistes et photographes qui travaillent dans un média de la Montérégie et qui sont membres de la FPJQ sont invités à soumettre leur candidature et à s'impliquer.
Et à 19h30, Michaël Nguyen (photo), le président de la FPJQ et journaliste judiciaire au Journal de Montréal sera des nôtres. Il présentera une formation judiciaire plus avancée. Il mettra l'accent sur la manière de dénicher les histoires d'intérêt public, d'obtenir les documents judiciaires et de traiter la nouvelle afin non seulement de sortir un reportage, mais aussi pour entretenir ses contacts afin de savoir tout ce qui se passe dans les palais de justice. Les participants pourront poser toutes les questions qui leur passent par la tête!
Quand : 18 octobre, de 19h à 21h30
Où : dans le confort de votre foyer, virtuellement par Zoom
Combien : gratuit
Inscription : fpjqmonteregie.info@gmail.com
Les informations de connexion seront transmises par courriel.
L'événement est réservé aux membres de la FPJQ.
DES PRIX ET DES BOURSES
La période pour déposer une candidature est ouverte jusqu'au jeudi 6 octobre à 17 h
Bourse Arthur-Prévost 2022
La bourse Arthur-Prévost, lancée en 2007 par la FPJQ, vise à souligner et à récompenser la qualité du travail d'un journaliste prometteur en début de carrière en presse écrite. Financée par le legs testamentaire du journaliste Arthur Prévost, la bourse est d'une valeur de 2000 $.
Le jury juge non seulement les œuvres journalistiques produites par les candidats, mais aussi leur engagement et leur passion à l'égard de la profession. Pour participer, vous devez être membre en règle de la FPJQ et pratiquer le journalisme depuis moins de cinq ans. Vous avez jusqu'au jeudi 6 octobre à 17 h pour déposer votre dossier de candidature.
La personne gagnante sera dévoilée le samedi 5 novembre lors du congrès annuel de la FPJQ. Vous avez tous les détails concernant les modalités, les documents à soumettre et les critères de sélection sur notre site Web.
(Photo courtoisie)
LES CONDITIONS DE PARTICIPATION |
EXPOSITIONS
L'entrée est gratuite pour tous
L'exposition Antoine-Desilets à Montréal-Nord jusqu'au 19 octobre
L'exposition Antoine-Desilets, regroupant le meilleur de la photographie de presse au Québec en 2021, se déroule actuellement à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord, située au 12002 boulevard Rolland, jusqu'au mercredi 19 octobre 2022.
Les heures d'ouverture sont du lundi au jeudi de 9h à 21h, le vendredi de 9h à 17h, ainsi que le samedi et dimanche de midi à 17h. La bibliothèque sera fermée le lundi 10 octobre pour la fête de l'Action de grâce. L'entrée est gratuite.
Un tarif réduit pour les membres de la FPJQ
L'expo World Press Photo présentée à Montréal jusqu'au 2 octobre
La 15e édition de l'Expo World Press Photo Montréal se déroule actuellement jusqu'au 2 octobre 2022 au Marché Bonsecours. Les 15 photos gagnantes du premier prix des 15 dernières années et les lauréats des différentes catégories en 2022 sont présentés au public en plus de six autres expositions.
Les membres de la FPJQ profitent d'un tarif réduit à 12 $ plus les taxes sur présentation de la carte de presse.
(Photo Vladimir Encina, courtoisie World Press Photo)
LES DÉTAILS |
DERNIÈRE HEURE
Une décision qui touche neuf journaux de Postmédia au Canada
Plus d'édition papier pour The Gazette le lundi
Le groupe de presse canadien Postmedia Network qui publie notamment des quotidiens, des journaux communautaires et des magazines a indiqué, hier, qu'elle allait cesser l'impression papier et la distribution de neuf de ses publications à partir du lundi 17 octobre prochain. Des journaux de quatre provinces sont touchés par cette décision.
Phyllise Gelfand, porte-parole de l'entreprise, a indiqué que les publications touchées étaient The Gazette à Montréal, l'Ottawa Sun, l'Ottawa Citizen, l'Edmonton Sun, l'Edmonton Journal, le Calgary Sun, le Calgary Herald, The Province et le Vancouver Sun. Les quotidiens en question publieront désormais une édition électronique le lundi et poursuivront la mise à jour de leurs sites Web respectifs. « Postmedia a une robuste offre numérique et veut s'appliquer à aller là où (ses) lecteurs se trouvent », a mentionné la porte-parole de Postmedia.
Selon Mme Gelfand, aucune perte d'emploi ne découlerait de cette décision qui a été prise, principalement, en raison de changements dans les habitudes du lectorat.
Dans l'ensemble du Canada, il ne reste désormais qu'une minorité de quotidiens qui publient une édition papier sept jours sur sept.
LES pRÉCISIONS |
EN MANCHETTE
Utilisation du « mot commençant par un N »
Divergence d'opinions entre les directions de CBC et Radio-Canada
Selon une enquête publiée hier par La Presse, le torchon brûle entre les services français et anglais du diffuseur public. Plusieurs raisons expliquent cette divergence, comme les enjeux de diversité et d'inclusion à CBC/Radio-Canada, mais aussi, la contestation de la décision du CRTC pour le blâme à Radio-Canada Première d'avoir mentionné dans une chronique le titre du livre de Pierre Vallière « Nègre blanc d'Amérique ».
Pour justifier la décision de porter la cause en appel, la direction des services français de la Société d'État a argumenté que le CRTC n'avait « ni l'autorité ni la juridiction pour rendre cette décision » et « a ignoré la liberté de la presse que garantissent la Charte canadienne des droits et libertés et la Loi sur la radiodiffusion ». Même si elle a contesté cette décision de l'organisme fédéral, le diffuseur a toutefois exprimé ses excuses à Ricardo Lamour qui avait déposé la plainte en question.
Selon des sources à l'interne contactées par La Presse, il n'a pas été facile d'en arriver à une position de compromis entre les services français et anglais à ce propos. La direction anglophone ne désirait pas contester l'autorité du CRTC.
« La pression [de porter la décision en appel] est en effet venue des Services français de Radio-Canada », a précisé à La Presse le vice-président principal des Services français Michel Bissonnette. Il a indiqué que des « points de vue différents ont été exprimés », mais que l'ensemble « s'est rallié au comité de direction et au conseil d'administration pour avoir un consensus ».
La portion québécoise du diffuseur public a aussi fait parvenir une note à son personnel pour préciser sa politique sur le « mot commençant par un N », qui était entre autres signée par la directrice générale de l'information, Luce Julien et la directrice générale audio et radio, Caroline Jamet. « Exceptionnellement, il sera pertinent d'en faire usage sur nos plateformes pour citer un extrait ou un titre d'œuvre ou encore pour donner du contexte par une référence culturelle ou historique. Chaque cas doit être évalué avec une grande sensibilité, en tenant compte du fait que ce mot a une charge négative très forte, et qu'il heurte et humilie ». Certains ont perçu cette communication comme un soutien aux inquiétudes des têtes d'affiche de Radio-Canada, qui avait fait paraitre une lettre ouverte au début juillet qui demandait « de contester vigoureusement [cette] décision » du CRTC. L'ancien ombudsman de Radio-Canada Guy Gendron et 13 autres personnes ont également réagi en lien avec cette polémique.Plusieurs journalistes de Radio-Canada au Québec craignent désormais de perdre une partie de leur indépendance si la CBC s'interpose dans les salles de nouvelles francophones.
« C'est une décision totalement incohérente à sa face même. L'enjeu fondamental dans cette histoire est l'indépendance du secteur français par rapport à la CBC », a analysé le journaliste et ancien président de la FPJQ Alain Gravel. « J'ai confiance en la direction française, mais j'ai moins confiance en la CBC. Beaucoup de gens dans notre groupe se méfient énormément de la direction anglaise », a-t-il ajouté.
De son côté, la CBC croit qu'il faut interdire certains mots ou expressions, peu importe le contexte dans lequel il est utilisé. « Avec nos journalistes, le point de départ est d'éviter d'utiliser le mot à tout prix, car nous comprenons parfaitement le mal qu'il peut causer », a précisé le chef des affaires publiques de la CBC Chuck Thompson, lors de l'observatoire numérique sur le journalisme J-Source.
L'enquête révèle également que l'interprétation des Normes et pratiques journalistiques (NPJ) est un autre sujet propice à la discorde entre les services français et anglais de la Société d'État.
L'enquête de la presse |
Poursuite de Québecor contre le Conseil de presse du Québec
Le bras de fer s'est poursuivi
Le procès opposant des médias de Québecor au Conseil de presse du Québec (CPQ) s'est poursuivi à Montréal avec la présentation, jeudi dernier, des plaidoiries finales de la part des avocats des deux parties. Il est reproché au CPQ d'enfreindre le droit de ne pas s'associer en plus de porter atteinte à la réputation des médias de Québecor, qui ne sont plus membres de l'organisme depuis 2010. Québecor aimerait que le CPQ cesse aussi de publier des décisions concernant ses médias.
Dans son plaidoyer, Me François Fontaine, l'avocat des médias de Québecor soutient que « chaque fois que le CPQ se saisit d'une plainte, il nous impose son processus, son guide et l'interprétation subjective et arbitraire qu'il en fait, il nous impose ses valeurs et son opinion de ce qui constitue du bon journalisme. Ceux qui veulent soumettre leur comportement journalistique à l'examen du CPQ peuvent le faire, même les non-membres. Mais nous, on n'accepte pas ça ».
Me Fontaine a aussi plaidé, entre autres, que « ses décisions du CPQ heurtent les médias et les journalistes qui les subissent. [Elles] ont un impact sur leur crédibilité » pour justifier la réclamation en dommage de plus de 425 000 $ pour atteinte à la réputation de Québecor.
Le tribunal d'honneur des médias, par l'entremise de son avocat Me Lahbib Chetaibi (photo) s'est défendu en argumentant que « le CPQ a fait des démarches de bonne foi pour modifier des choses pour les satisfaire [Québecor] et qu'ils redeviennent membres après leur départ. Le fait de courir après les demandeurs montre que le CPQ n'avait pas l'intention de les forcer. Aucune preuve n'a été administrée par [Québecor] selon lesquelles on les forçait à adhérer à des valeurs contradictoires aux leurs » a ajouté le représentant du Conseil, rappelant que l'adhésion y est volontaire et qu'aucune législation n'oblige les médias québécois à devenir membre.
Le verdict du juge Bernard Jolin est attendu dans les prochaines semaines, mais la cause pourrait être portée en appel par l'une ou l'autre des parties impliquées, si elle n'obtient pas gain de cause.
(Photo courtoisie Tremblay Bois Avocats)
LES PRÉCISIONS DU DEVOIR |
Du nouveau à La Voix de l'Est
Membre de la Coopérative nationale de l'information indépendante (CN2i), le quotidien La Voix de l'Est s'est doté d'un tout nouveau studio photo et vidéo à la fine pointe de la technologie dans ses locaux à Granby. Conçu pour être polyvalent, le studio servira à la fois aux journalistes pour les entrevues filmées qu'aux représentants publicitaires.
Pour l'inauguration de ce studio, jeudi dernier, des candidats et candidates aux élections provinciales de 2022 dans les circonscriptions de Granby et Brome-Missisquoi ont répondu à quelques questions de journalistes devant la caméra. Vous pourrez visionner ses entrevues dans les prochaines journées sur le site du journal.
(Photo courtoisie La Voix de l'Est)
EN SAVOIR PLUS |
Sondage auprès des élèves d'ATM
Le contenu local boudé en information et en culture
Une consultation sur les habitudes de consommation médiatique et culturelle a été menée à l'automne 2021 auprès de 600 élèves de l'École supérieure en Art et technologie des médias (ATM) du Cégep de Jonquière. Les résultats ont été dévoilés la semaine dernière et indiquent que les collégiens et collégiennes consomment davantage de contenu étranger que celui produit localement.
Réalisé conjointement par ATM et le Centre d'étude des conditions de vie et des besoins de la population (ÉCOBES), ce sondage révèle que pour s'informer, les élèves d'ATM choisissent dans plus de 80% des cas les médias sociaux, suivi de près par les applications et les sites Internet des médias traditionnels québécois. De plus, moins de 5% des personnes répondantes ont mentionné lire les nouvelles locales publiées par des médias régionaux.
L'enquête met en lumière le peu d'intérêt des étudiants et étudiantes pour les journaux imprimés, avec moins de 7% des répondants et répondantes qui mentionnent les consulter. La télévision demeure le média traditionnel le plus regardé devant la radio, mais sa popularité est deux fois moindre que les réseaux sociaux, selon les résultats de l'étude.
« Encore récemment, les étudiantes et les étudiants d'ATM possédaient des connaissances générales sur les médias et la culture québécoise, et cela permettait d'avoir une base de référence commune dans le cadre de l'enseignement. Selon la perception de plusieurs enseignantes et enseignants, ça ne semble plus être le cas. C'est ce que nous avons voulu aller vérifier avec cette recherche », a précisé Caroline Savard, enseignante et chercheuse.
Elle ajoute que « paradoxalement, les jeunes sont très ouverts à la découverte de divers contenus étrangers. On le constate avec la variété des titres nommés lorsqu'on les interroge. Cependant, malgré la qualité et l'accessibilité des contenus québécois, il semble que ceux-ci n'atteignent pas un public plus jeune ».
La nouvelle DANS LE qUOTIDIEN |
Du 2 au 8 octobre 2022
La semaine nationale des journaux
La Semaine nationale des journaux est une occasion annuelle de souligner le rôle que jouent les journaux et leurs sites dans la diffusion de nouvelles crédibles et factuelles aux Canadiens et Canadiennes en plus de mettre en lumière les raisons pour lesquelles les médias continuent d'être une source fiable d'information essentielle à notre démocratie.
Elle est aussi l'occasion de réfléchir au service essentiel qu'offrent les journaux en proposant un contenu diversifié, local et original qui n'est, dans bien des cas, accessible nulle part ailleurs. Cette année, les personnes qui se cachent derrière les journaux seront mises à l'avant-plan sous le thème « Champions de la vérité : les vrais superhéros ».
Pour l'édition 2022, qui se déroulera du 2 au 8 octobre, Médias d'Info Canada a créé une police de caractères personnalisée intitulée « Champions », qui pourra être téléchargée gratuitement. Conçue pour l'imprimé et les plateformes numériques, cette police de caractères rend hommage à l'histoire des journaux tout en se tournant vers un avenir brillant et multiplateforme.
Comme par les années précédentes, Médias d'Info Canada a également mis au point une campagne publicitaire pour les publications imprimées et numériques. Le matériel publicitaire et la police « Champions » peuvent être téléchargés à partir de la trousse de l'éditeur.
LEs détails |
En-retrait.com va célébrer son premier anniversaire
Un an déjà ! C'était le 13 octobre 2021. En Retrait voyait le jour grâce à une douzaine de journalistes « nés au temps de l'imprimerie ». Leur but ? Disséquer tous les mois l'actualité avec le recul nécessaire pour mieux répondre à la quête de sens d'un lectorat avide de mieux comprendre les complexités d'ici et d'ailleurs.
Après plus de 150 articles accompagnés de caricatures et d'illustrations de toutes sortes, ce site de journalistes bénévoles prépare un dossier spécial sur le populisme. Il sera en ligne dès le 13 octobre.
Consulter le site En-retrait.com |
Global souligne ses 25 ans à Montréal
En 1997, la société CanWest Global devenait le propriétaire principal de la station CKMI-TV, une filiale de la CBC située à Québec et débutait la construction d'un studio situé dans l'édifice de TVA à Montréal. Un nouveau réseau national anglophone était né. Global a ensuite été rachetée par Shaw Communications avant d'être absorbé par Corus Entertainment, en 2016.
« Nos reporters ont grandi dans les quartiers qu'ils couvrent, qu'il s'agisse de l'Ouest-de-l'Île, de la Rive-Sud ou de l'Est », a mentionné la directrice de la station, Karen Macdonald (photo), qui, avec la vidéojournaliste Karol Dahl et le reporter national Mike Armstrong, était de l'aventure dès la création de Global Montreal. « Avec le recul, nous pouvons tous être très fiers des histoires que nous avons racontées et de la différence positive que nous avons pu faire dans notre communauté ».
À ses débuts, Global Montreal diffusait une émission du matin et un bulletin de nouvelles à l'heure du souper. Aujourd'hui, la station anglophone diffuse toujours une émission matinale en direct en plus de deux bulletins de nouvelles locales qui sont présentés à 17 h 30 et à 18 h 30.
« Ces 25 dernières années ont été extrêmement difficiles pour l'industrie des médias et en particulier pour les stations de télévision traditionnelles comme Global. Notre station est désormais disponible, non seulement hors antenne et sur les services de câble ou de satellite, mais aussi en streaming (diffusion en continu) via des services comme Amazon Prime et Roku. Nous avons même notre propre application où vous pouvez regarder Global News Montreal », a indiqué la directrice de la station.
(Photo courtoisie Global News)
LA NOUVELLE |
Lancement de Périphérie
Un nouveau magazine culturel voit le jour
De l'architecture à la bédé, en passant par les arts culinaires, la création est un monde infiniment vaste que Périphérie prend le pari de redéfinir avec un nouveau magazine imprimé qui célèbre l'éclectisme de la création.
Son terrain de jeu ? L'émergence, l'ombre et l'alternatif. Périphérie sonde les marges des mondes créatifs via des portraits subjectifs, des narrations immersives et des entrevues intimistes. La publication s'intéresse à la création sous toutes ses formes (surtout ses plus insoupçonnées) dans toute la francophonie.
Le magazine indépendant sera distribué chez plusieurs libraires indépendantes à Montréal, à Québec et au Bas-Saint-Laurent et paraitra deux fois par année. La première édition est disponible en prévente du 20 septembre au 13 novembre 2022 et sera en kiosque à la fin du mois de novembre.
Son équipe, principalement basée à Montréal et Québec, est formée d'une quinzaine de jeunes des milieux du journalisme, des communications et des lettres, sous la supervision de la fondatrice et rédactrice en chef Florence La Rochelle, membre de la FPJQ. Leur contenu prend vie dans un narratif visuel intelligent grâce à une étroite collaboration avec des photographes et des graphistes de talent.
Le magazine fait également une campagne de sociofinancement du 20 septembre au 13 novembre sur La Ruche.
Le site Web de Périphérie |
Le jeudi 29 septembre à 19 h sur Facebook
Remise des Prix d'excellence de la presse francophone 2022
Sous la direction artistique de Marcel Aymar et la production de Jean-Michel Ouimet, Réseau.Presse vous convie à l'Anti-Gala virtuel des Prix d'excellence de la presse francophone 2022, le jeudi 29 septembre à 19 h (HAE), qui sera diffusé sur la page Facebook de l'organisation.
Chaque année, les Prix d'excellence reconnaissent et mettent en valeur le travail des journaux membres de Réseau.Presse en remettant 14 distinctions :
- Dix prix d'excellence;
- Trois prix d'excellence générale;
- Prix du Journal de l'année.
Cette année, deux prix hors catégories seront aussi décernés pour reconnaitre le travail des artisans de Francopresse :
- Prix reconnaissance pour l'article Francopresse de l'année;
- Prix reconnaissance pour la chronique Francopresse de l'année.
Réseau.Presse tient à souligner le travail des 35 membres du jury 2022 qui ont mis à profit leurs expertises afin d'évaluer les 190 candidatures soumises.
Découvrir les finalisteS 2022 |
À L'INTERNATIONAL
Préservation de l'indépendance et de la liberté des médias en Europe
L'Union européenne pourrait légiférer
« Les entreprises médiatiques ne peuvent pas être traitées comme les autres. Leur indépendance est essentielle. L'Europe a besoin d'une législation qui préserve cette indépendance et la Commission présentera une loi sur la liberté des médias au cours de l'année prochaine », a promis Ursula von der Leyen (photo), la présidente de la Commission européenne.
Vendredi dernier à Bruxelles, l'Union européenne (UE) a présenté la proposition de l'Acte européen pour la liberté des médias qui suggère de nouvelles règles pour protéger le pluralisme et l'indépendance des entreprises médiatiques.
La Commission a également proposé de mettre en place un nouveau conseil européen indépendant composé d'autorités nationales chargées des médias. Ce conseil encouragera l'application efficace et cohérente du cadre législatif européen relatif aux organes de presse.
L'UE considère que les médias d'information libres sont un pilier essentiel de toute démocratie et qu'ils sont indispensables à une économie de marché saine. Pourtant, des tendances de plus en plus inquiétantes ont été observées et ont débouché sur un certain nombre de mesures afin de permettre aux entreprises de ce secteur, public et privé, de fonctionner plus facilement au-delà des frontières dans le marché intérieur de l'UE, sans pression indue et en tenant compte de la transformation numérique de l'espace médiatique.
La loi sur la liberté des médias vise, entre autres, à atteindre les objectifs suivants :
- Aucune interférence dans les décisions éditoriales
- Pas de logiciels espions contre les journalistes
- Des médias de service public indépendants et financés de manière adéquate
- Transparence de la propriété des entreprises de presse
- Protection accrue contre la suppression injustifiée de contenus en ligne
(Photo courtoisie Wikipédia)
LES explications |
Presse française
Encore du travail à accomplir pour obtenir l'équité
Une étude publiée la semaine dernière a révélé un manque d'équilibre à plusieurs niveaux entre les hommes et les femmes dans la presse française, même si la situation tend à s'améliorer tranquillement.
Portant sur l'évolution de la parité entre 2010 et 2021 dans la production audiovisuelle, cinématographique, la télé, la radio et la presse écrite, cette enquête constate que les femmes œuvrant dans le milieu sont moins bien payées, qu'elles ont souvent des statuts d'emploi précaire et qu'elles sont minoritaires dans les postes d'autorité.
Même si leur salaire moyen a augmenté plus rapidement que celui des hommes depuis 2010, les femmes travaillant dans les médias « demeurent globalement moins rémunérées ». Elles représentent 44,1 % des effectifs, mais seulement 41 % de la masse salariale.
Elles sont également plus exposées à la précarité de l'emploi, car elles sont plus souvent engagées à temps partiel ou par contrat à durée déterminée que leurs homologues masculins. Sans oublier les difficultés à obtenir des promotions, car moins du quart des postes de chefs d'entreprises du secteur sont occupés par des femmes.
L'étude a été réalisée conjointement par Audiens, un groupe de protection sociale des médias et de la culture ainsi que par l'Association pour les femmes dans les médias.
L'Article de Libération |
Myanmar
Une journaliste condamnée à au moins trois ans de prison
Après plus d'un an passé en détention provisoire, la journaliste indépendante Htet Htet Khine (photo), ancienne présentatrice de la BBC, a été condamnée à une peine de réclusion criminelle de trois ans de travaux forcés, qui pourrait à nouveau s'alourdir.
Emprisonnée pour avoir témoigné de la violence dans son pays, le Myanmar, elle a été condamnée la semaine dernière par un tribunal de Rangoun, la plus grande ville du pays. Elle avait été arrêtée pour « incitation à la haine et la violence contre l'armée », a indiqué Reporters sans frontières (RSF).
« Il est insupportable qu'une journaliste croupisse en prison alors qu'elle ne fait que son travail, qui consiste à informer librement ses concitoyens. Nous appelons le rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de la personne au Myanmar, Tom Andrews, à agir pour mettre fin au cycle de condamnations pénales qui s'abattent actuellement sur les journalistes du pays à un rythme effréné », a demandé le bureau Asie-Pacifique de RSF.
Htet Htet Khine était emprisonnée depuis le 15 août 2021 dans l'attente de son procès. Après le verdict, son avocat a tenu à souligner le courage de la journaliste, et a fustigé une condamnation prononcée « en l'absence de toute preuve ».
Dans une publication sur son site Web, la Fédération internationale des journalistes (FIJ) estime que « les accusations illégales portées contre Htet Htet Khine constituent une nouvelle tentative flagrante de faire taire les voix critiques et d'étouffer la liberté de la presse au Myanmar. La FIJ exhorte l'armée à la libérer immédiatement et à respecter le droit de tous les journalistes de rapporter des informations sans crainte de persécution ».
Accusée dans une autre affaire pour avoir prétendument enfreint la « loi sur les associations illégales », la journaliste pourrait voir sa peine de prison s'alourdir de trois autres années. Son travail pour Federal FM, une radio interdite par le régime militaire lui est reprochée dans cette autre cause en plus d'avoir hébergé un journaliste recherché par les autorités du pays.
(Photo courtoisie myanmar-now.org)
Les PRÉCISIONS de RSF |
Channel 4 et BBC en Grande-Bretagne
Privatisation et redevances scrutées à la loupe
Les ministres britanniques réévaluent actuellement les décisions, prises par le gouvernement précédent de Boris Johnson, de privatiser la chaîne gratuite publique Channel 4 et de supprimer les redevances versées à la BBC en Grande-Bretagne.
Lors de l'émission Today, à BBC Radio 4, Michelle Donelan (photo), la secrétaire d'État à la culture a indiqué qu'elle jetterait un regard neuf sur les avantages et les coûts de la privatisation de Channel 4. Selon le radiodiffuseur, cette décision nuirait à de nombreuses sociétés de production de plus petite envergure.
« Je suis le type de politicienne qui fonde ses décisions sur des preuves, sur l'écoute, et c'est ce que je ferai au cours des prochaines semaines. J'adopterai cette approche en ce qui concerne Channel 4 et tous les aspects de mon mandat », a-t-elle mentionné.
De plus, le dossier de la redevance versée à BBC sera « réexaminé dans son ensemble », même si Mme Donelan a refusé de se prononcer sur le retrait définitif de celle-ci. « Ce n'est un secret pour personne que je suis depuis longtemps sceptique concernant la redevance ». Elle a précisé que les services concurrents tels Netflix et Amazon soulevaient des questions et la secrétaire d'État à la culture veut déterminer si « le modèle actuel utilisé par la BBC est réellement viable à long terme et s'il offre cet élément de choix au grand public ».
Mme Donelan a également déclaré qu'elle réévaluait prochainement le projet de loi sur les préjudices en ligne. L'une des principales préoccupations concerne la liberté d'expression en raison d'une disposition qui encadre les « discours légaux, mais nuisibles ». « Nous le présenterons à nouveau à la Chambre. Il nécessite un peu de travail, mais pas en ce qui concerne la protection des enfants en ligne. Nous voulons nous assurer que nous avons trouvé le bon équilibre en termes de liberté d'expression par rapport aux adultes », a-t-elle précisé lors d'un entretien avec Sky News.
(Photo courtoisie Wikipédia)
EN SAVOIR PLUS |
La deuxième édition présentée à New York aujourd'hui
Sommet pour l'information et la démocratie
Le second sommet du Partenariat pour l'information et la démocratie se déroule aujourd'hui à New York en marge de l'Assemblée générale de l'ONU. Les ministres des États membres du Partenariat et des figures de la société civile, telle la journaliste Maria Ressa, récipiendaire du prix Nobel de la paix 2021, y participent.
En rassemblant les démocraties autour de recommandations et de solutions concrètes, le sommet veut permettre une meilleure coordination des efforts pour bâtir un espace numérique démocratique.
Pour l'instant, le Partenariat pour l'information et la démocratie a été signé par 45 pays, mais d'autres États doivent annoncer publiquement qu'ils vont y adhérer pendant le sommet.
Les sujets suivants sont à l'agenda de la deuxième édition :
- Les recommandations du rapport « Pour mettre fin aux infodémies » (2020);
- La proposition d'un « New Deal pour le journalisme »(2021);
- La publication des recommandations du groupe de travail sur les régimes de responsabilité des réseaux sociaux et de leurs utilisateurs;
- La création d'un groupe de travail sur le pluralisme dans les algorithmes d'indexation et de curation.
Les détails |
BABILLARD
Bureau à partager à Montréal
Bureaux modernes fermés ou ouverts dans une ambiance agréable près du pont Jacques-Cartier et à proximité du métro Papineau. Un endroit idéal pour les pigistes ou pour de la production télévisuelle (monteur, journaliste, réalisateur, etc.).
➡️ Pour information, contacter le 514 795-1454.
(Photos courtoisie Yves Bernard)
LE COIN LECTURE
« Le délire de l'empire américain » d'Alexandre Couture Gagnon et d'Alexandre Sirois
L'ouvrage en librairie dès aujourd'hui
Quand Donald Trump est devenu président, on a compris que les États-Unis étaient gravement malades. Et le soupir de soulagement poussé après l'élection de Joe Biden a été interrompu par... une tentative de coup d'État. Rien pour nous rassurer sur l'état de santé de la première puissance mondiale. Au chevet des États-Unis, la politologue québécoise Alexandre Couture Gagnon et l'éditorialiste de La Presse Alexandre Sirois établissent leur diagnostic dans le livre « Le délire de l'empire américain ».
À la manière d'un échange épistolaire, ils nous offrent une série de réflexions éclairantes sur le passé, le présent et l'avenir de la première puissance mondiale. Ils explorent tous les enjeux majeurs auxquels est confronté le pays : du déclin de la démocratie à la polarisation extrême, en passant par les inégalités et, bien sûr, le cauchemar du trumpisme.
« Un dialogue passionnant, un tour d'horizon exhaustif d'un pays qui influence le Canada. [...] Le monde a encore beaucoup d'attentes face aux États-Unis. On en arrive à souhaiter, en lisant ce livre, que les élites américaines en prennent davantage conscience », indique Jean-François Lépine, l'auteur de la préface
« Le délire de l'empire américain » est une lecture incontournable à l'approche des élections de mi-mandat de novembre aux États-Unis, mais également essentielle pour comprendre où s'en vont les Américains et évaluer quel sera l'impact de ce délire de ce côté-ci de la frontière.
Journaliste au quotidien La Presse depuis 20 ans et membre de la FPJQ, Alexandre Sirois a été correspondant à Washington au début des années 2000 et occupe le poste d'éditorialiste depuis 2015. Il est l'auteur de trois essais sur la politique américaine (dont deux rédigés avec son collègue Richard Hétu) et coauteur de l'essai « 80, 90, 100 à l'heure ! paru en 2021 ».
Alexandre Couture Gagnon est professeure agrégée à l'Université du Texas Rio Grande Valley aux États-Unis. Elle se spécialise dans l'analyse des politiques américaines. Ses travaux ont été publiés dans plusieurs revues universitaires.
Pour acheter le livre |
DES NOUVELLES DE LA FÉDÉRATION
Membres de la FPJQ
L'infolettre est votre porte-voix
Vous avez une nouvelle vous concernant, n'hésitez pas à nous transmettre l'information et des photos afin qu'elle soit publiée dans notre infolettre, Le Trente hebdo.
Que ce soit pour une nomination, la parution d'un livre, un changement d'affectation ou encore pour une distinction reçue, vous n'avez qu'à écrire à l'adresse infolettre@fpjq.org pour nous en aviser. Les informations doivent parvenir au plus tard le mardi avant 17 heures pour la parution du jeudi suivant.
Les infolettres parues depuis janvier 2021 |
Adhérez dès maintenant à la FPJQ
Vous êtes journaliste, photographe de presse, pupitre, graphiste, professeur.e, retraité.e des médias, étudiant.e ou finissant.e dans un programme de journalisme, joignez-vous à la FPJQ en adhérant dès aujourd'hui par l'entremise de notre site Web. Quatre options vous sont proposées, selon votre statut professionnel.
En vous inscrivant à la FPJQ, vous profiterez de multiples avantages en plus de soutenir la liberté de la presse et le droit du public à l'information.
La carte de presse est valide pour un an à partir de la date de la transaction. Le délai pour l'impression et l'envoi de la carte varie entre deux et quatre semaines.
Pour renouveler ou une première adhésion |
CONFÉRENCES, PANELS ET FORMATIONS
Vous avez une formation professionnelle pertinente à proposer ?
Partager votre expertise avec les membres de la Fédération
Vous êtes une personne captivante qui travaille dans le domaine de l'information ou qui enseigne dans un programme en journalisme ? Vous aimez partager votre savoir et dévoiler des astuces ? La FPJQ vous propose de devenir formatrice ou formateur sur une base occasionnelle.
Nous recherchons des professionnels qualifiés de divers horizons (judiciaire, BD informative, photographie de presse, politique, réseaux sociaux, données, etc.), passionnés par leur métier et désirant instruire par le biais d'ateliers en lien avec l'univers journalistique.
Pour soumettre un projet de formation pour l'hiver 2023, écrivez sans tarder à info@fpjq.org.
À VOS AGENDAS
Du 14 septembre au 19 octobre 2022Exposition Antoine-Desilets 2021 à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord
2 octobre 2022
Fin de l'exposition World Press Photo à Montréal
2 au 8 octobre 2022
Semaine nationale des journaux
3 octobre 2022
Fin des inscriptions au tarif hâtif pour le congrès 2022 de la FPJQ
Date limite pour profiter du tarif spécial pour l'hébergement au congrès 2022 de la FPJQ
4 octobre 2022
Début des inscriptions au tarif régulier pour le congrès 2022 de la FPJQ
6 octobre 2022 à 17 h
Fin de la période de mise en candidature pour la bourse Arthur-Prévost 2022
10 octobre 2022
Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la fête de l'Action de grâce
18 octobre 2022
Assemblée générale annuelle de la FPJQ section Montérégie
Formation judiciaire en ligne de Michaël Nguyen proposée par la FPJQ section Montérégie
19 octobre 2022
Fin de l'exposition Antoine-Desilets 2021 à la bibliothèque de la Maison culturelle et communautaire de Montréal-Nord
2 novembre 2022
Fin des inscriptions au tarif régulier pour le congrès 2022 de la FPJQ
4 au 6 novembre 2022
Congrès annuel de la FPJQ au Delta Mont-Sainte-Anne
5 novembre 2022
Remise du prix hommage Judith-Jasmin et de la bourse Arthur-Prévost
6 novembre 2022 à 9 h
Assemblée générale annuelle de la FPJQ et présentation du plan stratégique quinquennal au Delta Mont-Sainte-Anne
7 novembre 2022
Fermeture exceptionnelle des bureaux de la FPJQ en raison du congrès
23 novembre 2022 à 19 h
Formation de Valérian Mazataud : Le photoreportage à l'international
30 novembre 2022 à 19 h
Atelier d'introduction sur l'écriture inclusive par Geneviève Bergeron (proposée par les 3 sex* et Club Sexu)
7 décembre 2022 à 19 h
Formation de Judith Olivier : Journalisme dessiné : quand le 9e art se saisit de l'actualité, Atelier 2 (scénario)
15 décembre 2022
Dernière parution de l'infolettre hebdomadaire en 2022
23 décembre 2022 au 3 janvier 2023
Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la période du Temps des fêtes de fin d'année
12 janvier 2023
VOS AVANTAGES FINANCIERS
Best Western Hôtel Universel Drummondville
Le Best Western Hôtel Universel à Drummondville offre un rabais de 15 % sur le tarif régulier des chambres pour les membres de la FPJQ sur la présentation de la carte de presse.
Expo World Press Photo Montréal
Les membres de la FPJQ profitent d'un tarif réduit à 12 $ plus les taxes sur présentation de la carte de presse pour assister à l'Expo World Press Photo Montréal, qui se déroule jusqu'au 2 octobre 2022 au Marché Bonsecours.
Hôtel Vacances Tremblant
L'Hôtel Vacances Tremblant dans les Laurentides offre ses tarifs corporatifs en semaine pour les membres de la FPJQ sur la présentation de la carte de presse.
Société des musées du Québec
L'entrée gratuite dans plusieurs musées québécois et certains établissements à l'étranger, comme le Louvre et les musées nationaux de France.
OFFRES D'EMPLOI
Journaliste – réseaux sociaux et communauté numérique | La Tribune
Type d'emploi : Permanent, temps plein
Lieu : Sherbrooke, Estrie
Date limite : Mercredi 5 octobre à 16 h
Journaliste | Icimédias (Saint-Georges)
Type d'emploi : Permanent, temps plein
Lieu : Saint-Georges (Beauce)
Journaliste | Icimédias (La Tuque)
Type d'emploi : Permanent, temps plein
Lieu : La Tuque
Rédacteur.trice en chef | In Médias - Outaouais
Type d'emploi : Permanent, temps plein
Lieu : Buckingham, Outaouais (possibilité de télétravail partiel)
Journalistes (2 postes) | Finance et Investissement / Magazine Conseiller
Type d'emploi : Temps plein (1 poste permanent et 1 poste contractuel pour un an)
Lieu : Montréal
Journaliste | Nouvelles d'Ici
Type d'emploi : Contractuel, temps plein ou temps partiel
Lieu : Sud-ouest de Montréal (arrondissements de Lachine, LaSalle et Verdun)
Journaliste au développement documentaire | Hyperzoom
Type d'emploi : Pige ou temps partiel
Lieu : Au Québec (la boîte est basée à Montréal sans présence bureau nécessaire)
Pupitreur.e numérique | Le Devoir
Type d'emploi : Contractuel (1 an), temps plein
Lieu : Montréal
Date limite : Jeudi 22 septembre 2022
Journaliste | In Médias – L'info de la Vallée
Type d'emploi : Temps plein
Lieu : Vallée-de-la Gatineau
ANNONCER UNE OFFRE D'EMPLOI EN JOURNALISME
Découvrez nos tarifs et forfaits publicitaires, ainsi que les spécifications techniques demandées et
contactez-nous à infolettre@fpjq.org pour placer votre offre d'emploi ou obtenir plus d'informations.
- 30 -