2023-04-13 Lettre InfoFPJQ2023-04-13 Lettre InfoFPJQ
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— LE TRENTE HEBDO —
L'infolettre de la FPJQ

À LA UNE

Prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets 2022

La période de mise en candidatures est maintenant ouverte

La période des mises en candidature pour les prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets 2022 débute aujourd'hui pour se terminer le lundi 15 mai prochain.

Les œuvres journalistiques et photographiques réalisées entre le 1er janvier 2022 et le 31 mars 2023 seront exceptionnellement acceptées pour cette édition.

Les prix seront attribués lors du prochain congrès annuel, qui sera présenté du 10 au 12 novembre au Manoir Saint-Sauveur.

Prix Judith-Jasmin 2022

Le prix Judith-Jasmin 2022 récompense les meilleures œuvres journalistiques de l'année au Québec. Un prix de 500$ est attribué dans chacune des 10 catégories et un Grand prix de 2 000$ couronne la meilleure œuvre, toutes catégories confondues.

Conditions de participation :

  • Être membre de la FPJQ. Toutes les personnes dont le nom figure sur le formulaire de mise en candidature doivent être membres. Devenir membre.
  • Vous pouvez déposer un maximum de six candidatures, incluant les oeuvres conjointes signées par plusieurs journalistes.
  • Un même reportage ne peut-être soumis dans plusieurs catégories.
  • L'œuvre soumise doit avoir été publiée ou diffusée entre le 1er janvier 2022 et le 31 mars 2023.
  • Une œuvre signée par plusieurs journalistes est acceptable dans la mesure où on ne peut dissocier les contributions de chacun. Les candidatures conjointes doivent être incluses dans le maximum de six candidatures déposées.
  • L'œuvre doit être soumise par son auteur ou par la direction de l'information du média qui l'a publiée ou diffusée.
  • Si un reportage est présenté comme une enquête journalistique, il devra obligatoirement être déposé dans cette catégorie, même si le sujet traite, par exemple, d'environnement.
  • Un reportage pourra être changé de catégorie par les membres du comité des prix et bourses et/ou du préjury, s'ils le jugent approprié.
  • Une série peut être considérée comme une seule œuvre. Le terme « série » désigne une œuvre journalistique sur un même sujet qu'on fait paraître en plusieurs tranches. Ce n'est pas le suivi d'un événement. Il s'agit d'une idée de reportage qui sera explorée sous quelques angles précis déterminés à l'avance. Un journaliste qui ferait une série de portraits ne peut soumettre tous ses articles, une saison de podcast n'est pas une seule oeuvre et la COVID-19 ne peut être considérée comme un seul sujet. Nous vous demandons de soumettre un texte principal, celui sur lequel vous serez évalué. Dans la lettre de présentation, vous pourrez expliquer le contexte ou le concept dans lequel l'œuvre s'inscrit. Vous pouvez ajouter les hyperliens pour les autres articles en complément au besoin.
  • Un membre du conseil d'administration de la FPJQ n'est pas autorisé à poser sa candidature.

-> Remplir le formulaire d'inscription pour le prix Judith-Jasmin 2022 (connexion préalable avec votre profil membre pour y accéder)

Prix Antoine-Desilets 2022

Le prix Antoine-Desilets 2022 récompense les meilleures photographies de presse de l'année au Québec. Un prix de 250$ est attribué dans chacune des sept catégories et un Grand prix de 1 000$ couronne la meilleure œuvre, toutes catégories confondues.

Conditions de participation :

  • Être membre de la FPJQ. Toutes les personnes dont le nom figure sur le formulaire de mise en candidature doivent être membres. Devenir membre.
  • Les œuvres doivent avoir été publiées ou commandées par une entreprise de presse.
  • Les dossiers complets de candidature doivent être remplis en ligne. Les dossiers incomplets ou remis en retard seront refusés.
  • Un photographe peut soumettre jusqu'à dix photos ou photoreportages, dans les catégories de son choix. Une même photo ne peut pas être soumise dans plusieurs catégories. Un photoreportage est considéré comme une seule photo.
  • Les photos doivent avoir été publiées/commandées entre le 1er janvier 2022 et le 31 mars 2023.
  • Un jury peut changer une photographie de catégorie, s'il le juge approprié.
  • Un membre du conseil d'administration de la FPJQ n'est pas autorisé à poser sa candidature.

-> Remplir le formulaire d'inscription pour le prix Antoine-Desilets 2022 (connexion avec votre profil membre pour y accéder)


Les semaines de la presse et des médias 2023

La programmation sera dévoilée le jeudi 20 avril


Conseil d'administration de la FPJQ

Un administrateur ou une administratrice région est recherché

À la suite de la démission d'un membre du conseil d'administration, qui a quitté le métier pour de nouveaux horizons professionnels, la FPJQ cherche à pourvoir le poste de représentant des régions qui s'est libéré. Comme il s'agit d'un remplacement en cours de mandat, le C.A. peut coopter un administrateur ou une administratrice pour terminer le mandat en cours, jusqu'aux prochaines élections, en novembre prochain.

Selon les règlements généraux, trois membres professionnels représentant des régions différentes doivent siéger au conseil. L'administrateur ou l'administratrice ne pourra être de la région de Québec ou de la Montérégie, car elles sont déjà représentées.

Pour les intéressés, vous êtes invité à écrire une courte lettre de motivation (300 mots maximum), à remplir le formulaire de mise en candidature, à obtenir la signature de deux membres professionnels en appui et à retourner les documents, par courriel, à l'adresse info@fpjq.org.

Le conseil d'administration va se rencontrer le vendredi 21 avril prochain. Vous avez jusqu'au mercredi 19 avril, à 17 heures, pour nous faire part de votre intérêt.

tÉLÉCHARGER LE FORMULAIRE DE MISE EN CANDIDATURE

PRIX ET BOURSES

FPJQ Section Outaouais

Bourse de la relève journalistique Marthe Blouin 2023

Pour la troisième année consécutive, la FPJQ Outaouais remettra la Bourse Marthe Blouin pour le meilleur reportage étudiant. Assorti d'une bourse de 500 $ et d'une adhésion étudiante d'une année à la FPJQ, le concours s'adresse aux étudiant(e)s de la grande région d'Ottawa-Gatineau et de l'Outaouais. Comme nouveauté pour cette édition, les candidatures d'étudiant(e)s francophones et anglophones seront acceptées !

COMMENT PARTICIPER

  • Les reportages écrits ne doivent pas dépasser 1 000 mots;

  • Les reportages visuels et audio ne doivent pas dépasser 10 minutes;

  • Pour participer, il faut être étudiant dans un établissement postsecondaire de la région (à temps plein ou à temps partiel);

  • Le reportage doit avoir été produit dans le contexte d'un cours ET/OU avoir été publié dans un média étudiant dans la dernière année.

Vous avez jusqu'au lundi 24 avril 2023, à 23h59, pour soumettre votre reportage, accompagné d'un court paragraphe de présentation, au fpjq.outaouais07@gmail.com.

Tous les reportages seront évalués par un jury composé de journalistes de différents médias de la région qui travaillent en radio, en télévision et en presse écrite. La remise aura lieu durant le mois de mai.

Les détails

Prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets

La FPJQ recherche des jurys pour l'édition 2022

Prix Judith-Jasmin

La FPJQ est à la recherche de professionnels et professionnelles des médias pour composer le préjury et le jury du prestigieux prix Judith-Jasmin.

La crédibilité de ce prix repose en grande partie sur la valeur de la trentaine de juges qui vont soupeser la qualité journalistique de chaque œuvre soumise.

Si l'expérience vous intéresse et que vous êtes membre professionnel, retraité ou enseignant en journalisme, merci d'écrire à info@fpjq.org afin de proposer votre candidature en y ajoutant les catégories que vous désirez juger.

Prix Antoine-Desilets

Vous aimeriez participer à la sélection de la photo de presse de l'année ?

C'est votre chance pour soumettre votre candidature comme jury pour le prix Antoine-Desilets. Nous recherchons actuellement au moins six juges bénévoles qui détermineront les gagnants et gagnantes de chacune des catégories.

Si vous êtes membre professionnel, retraité ou enseignant et que la photographie vous passionne, votre candidature est la bienvenue !

Écrivez à info@fpjq.org pour signifier votre intérêt.

Informations importantes à savoir

Pour l'un ou l'autre des jurys, vous devez avoir des disponibilités entre le jeudi 18 mai et le vendredi 16 juin 2023 pour les délibérations. Les personnes retenues pour composer les jurys seront contactées vers la fin avril. Les jurys doivent évidemment éviter de se placer en situation de conflit d'intérêts.

(Photos de courtoisies)

CONFÉRENCES, FORMATION ET PANELS

Un atelier du réalisateur Bruno Carrière et de l'ingénieur du son Pierre Bouchard

Introduction aux techniques de prise de son pro

Vous voulez approfondir vos connaissances et votre pratique de la prise de son pour la vidéo légère, la réalisation de contenu avec téléphones intelligents, la production de baladodiffusion ou de webséries ? Vous souhaitez vous maintenir à la page avec les nouveaux équipements et/ou trouver des solutions économiques ?

Découvrez un éventail de trucs et d'astuces pour améliorer votre efficacité en plus de conseils et de solutions en matière de prise de son pour votre prochaine réalisation.  Cet atelier, proposé par Bruno Carrière, réalisateur ARRQ et directeur photo AQTIS, et Pierre Bouchard, ingénieur du son AQTIS, est conçu pour vous.

Il se déroulera le samedi 29 avril de 9h à 17h à la Maison de la réalisation de l'ARRQ, au 5154 rue Saint-Hubert à Montréal.

Pour s'inscrire :

  1. Envoyer d'abord un courriel à b.carriere@sympatico.ca pour confirmer votre présence;

  2. Après réponse de sa part, un virement Interac sera requis pour payer les frais d'inscription.

L'atelier s'adresse aux personnes de niveau débutant ou intermédiaire. Le coût est de 130$ et une limite de 18 inscriptions est permise.


Partager votre expertise avec les membres de la Fédération

Vous êtes une personne captivante qui travaille dans le domaine de l'information ou qui enseigne dans un programme en journalisme ? Vous aimez partager votre savoir et dévoiler des astuces ? La FPJQ vous propose de devenir formatrice ou formateur sur une base occasionnelle.

Nous recherchons des professionnels qualifiés de divers horizons (judiciaire, BD informative, photographie de presse, politique, réseaux sociaux, données, etc.), passionnés par leur métier et désirant instruire par le biais d'ateliers en lien avec l'univers journalistique.

Pour soumettre un projet de formation pour le printemps et l'automne 2023, écrivez sans tarder à info@fpjq.org.

SECTIONS RÉGIONALES

La section Est-du-Québec de la FPJQ dénonce la situation

Tentative d'intimidation d'une journaliste à Saint-Jean-de-Cherbourg

Une journaliste de Radio-Canada a subi les foudres d'élus municipaux et de citoyens lors de la séance publique du conseil municipal de Saint-Jean-de-Cherbourg, le 3 avril.

La journaliste Marguerite Morin de la station Gaspésie-Îles-de-la Madeleine était affectée à couvrir une bisbille dans cette municipalité de La Matanie qui a été le théâtre de quelques démissions depuis le début de l'année, dont celle de la mairesse et de la directrice générale. 

Alors que la séance était bien entamée, des citoyens ont remarqué que la journaliste prenait des notes et enregistrait les discussions. Mme Morin s'est alors fait crier des injures, y compris par un conseiller municipal, prétextant qu'elle n'avait pas le droit d'enregistrer la séance publique. Des citoyens l'ont également prise à partie, la menaçant même de lui faire perdre son travail si elle persistait… à faire son travail !

Malgré les explications fournies par la journaliste selon lesquelles la loi permet aux professionnels de l'information d'enregistrer et de diffuser le contenu des échanges lors d'une séance publique d'un conseil municipal, les élus et certains citoyens lui ont demandé d'effacer l'enregistrement, soumettant même la théorie qu'elle ait été dépêchée sur place à la demande de l'ancienne directrice générale. 

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ), section Est-du-Québec, tient à rappeler aux élus et aux citoyens de Saint-Jean-de-Cherbourg que les séances des conseils municipaux sont publiques et que, par conséquent, elles peuvent être filmées, enregistrées et diffusées. Ainsi, toute tentative d'empêcher leur enregistrement et leur diffusion est un accroc à la liberté de la presse et un acte illégal. De plus, contrairement à ce qui a été mentionné par certains élus, un journaliste n'a pas à s'annoncer d'avance et n'a besoin d'aucune invitation pour se présenter à une séance publique. La FPJQ somme donc le conseil municipal de Saint-Jean-de-Cherbourg de ne plus intimider les représentants de la presse et de les laisser faire leur travail.

« L'interdiction d'enregistrer une séance publique d'un conseil municipal va à l'encontre du droit du public à l'information, indique la présidente de la section Est-du-Québec de la FPJQ, Johanne Fournier. Les journalistes effectuent un travail essentiel en filmant les assemblées publiques. Leur rôle consiste à fournir aux citoyens tous les éléments d'information pertinents afin qu'ils puissent forger leur propre opinion. Les extraits vidéo et d'enregistrement des débats ainsi que de la période de questions font partie de ces éléments d'information. Les élus doivent se rappeler qu'ils ont un devoir de transparence à l'égard des contribuables et que les journalistes agissent comme les témoins de l'intérêt public. »

« S'en prendre à une journaliste dans une séance municipale publique est inacceptable et contraire aux principes démocratiques les plus élémentaires, s'est indigné Michaël Nguyen, le président de la FPJQ. Il est déplorable qu'en 2023, il soit encore nécessaire de rappeler le rôle des professionnels et professionnelles des médias qui sont les yeux et les oreilles du public. La majorité des citoyens n'ont pas le temps d'assister aux séances des conseils municipaux, la présence des journalistes est donc essentielle afin d'informer la population adéquatement sur les décisions qui les concernent. Les menaces et l'intimidation n'ont pas leur place en société, et pour le bien de la démocratie, les élus ont le devoir de donner l'exemple. »

LA RÉACTIOn complète

EN MANCHETTE

Poursuite en diffamation contre le Conseil de presse du Québec

Québecor ne portera pas la cause en appel

Québecor n'en appellera pas de la décision de la Cour supérieure du Québec, confirmant la légitimité du Conseil de presse du Québec (CPQ) à traiter les plaintes du public concernant les médias d'information propriétés de l'entreprise, indique un communiqué émis la semaine dernière.

La Cour supérieure avait rejeté la demande d'injonction du Journal de Montréal et du Groupe TVA, ainsi que les dommages réclamés, en février 2023. Dans sa décision, le juge Bernard Jolin a statué que « le Conseil jouit de la liberté d'expression protégée par la Charte et les décisions rendues au terme de son processus de traitement des plaintes sont le fruit de l'exercice de cette liberté ».

À la lumière de ce jugement, le CPQ espère que les médias de Québecor profiteront de l'occasion, qui leur a toujours été offerte, pour répondre aux plaintes déposées au tribunal d'honneur des médias, afin qu'il puisse expliquer leur démarche journalistique.

LE COMMUNIQUÉ DU CONSEIL DE PRESSE DU québec

Pierre Poilievre demande que CBC soit étiquetée « média d'État sur Twitter »

Il invoque la « désinformation » pour justifier sa requête

« Nous devons protéger les Canadiens contre la désinformation et la manipulation par les médias d'État. C'est pourquoi je demande à Twitter de qualifier CBC de média financé par le gouvernement. C'est un fait. Et les Canadiens méritent de connaître les faits », a tweeté lundi Pierre Poilievre, chef du parti conservateur canadien.

Avec sa publication, il a également partagé une lettre adressée au siège social de la compagnie américaine (voir image). La missive précise que le gouvernement canadien a financé CBC pour 1,24 G$ en 2021-2022.

M. Poilievre s'est d'ailleurs engagé à couper dans le financement public de CBC, s'il accède à la fonction de premier ministre du Canada. Le penchant francophone du diffuseur public, Radio-Canada, n'est pas mentionné dans la requête du chef conservateur.

Propriété d'Elon Musk, Twitter a décidé récemment d'accoler une étiquette aux organisations médiatiques affiliées à un État. La plateforme les définit « comme des médias dont le contenu éditorial est contrôlé par cet État par le biais de ressources financières, de pressions politiques directes ou indirectes et/ou d'un contrôle sur la production et la distribution. Les organisations de médias financées par un État et dotées d'une indépendance éditoriale, comme la BBC au Royaume‑Uni ou NPR aux États‑Unis, ne sont pas définies comme des médias affiliés à un État aux fins de cette politique ».

Toutefois, Twitter n'a pas respecté ses propres règles mises en place, car la station radiophonique NPR et la chaîne BBC ont été étiquetées récemment comme des médias financés par le gouvernement sur le réseau social. Après avoir été affublée de cette étiquette, la radio NPR a d'ailleurs cessé d'utiliser la plateforme.

L'organisation internationale Reporters sans frontières (RSF) a aussi réagi à la suite de l'annonce de Twitter concernant NPR. « Le Twitter d'Elon Musk continue sa transformation en univers nihiliste où les mots n'ont plus de sens. La confusion entre service d'intérêt général et média de propagande est dangereuse. Une preuve supplémentaire que les plateformes ne sont pas compétentes pour désigner ce qui relève du journalisme ou non. Ce libellé doit être immédiatement retiré du compte Twitter de la radio NPR », a revendiqué Vincent Berthier, responsable du bureau technologies de RSF.

(Image de courtoisie : Twitter)

LA NOUVELLE

Facebook et Twitter

Des publications qui ne plaisent pas à Ottawa

Un directeur des communications à Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada a demandé à Facebook et Twitter de retirer des publications liées à un article du Toronto Sun, en septembre 2021, jugeant que celles-ci contenaient des erreurs factuelles. Une demande qui a été rejetée par les deux réseaux sociaux, car il ne s'agissait pas de leur contenu original, a rapporté la Presse canadienne.

La Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada aurait considéré, selon des documents, que l'article contenait « de graves erreurs de fait risquant de miner la confiance du public dans l'indépendance de la Commission ainsi que dans l'intégrité du système de détermination du statut de réfugié ».

Ni la Commission ni le Toronto Sun n'ont répondu aux questions de l'agence de presse sur la question. D'autres exemples d'interventions du gouvernement canadien sont également indiqués dans les documents, qui rapportent 214 demandes de suppression de contenu sur les médias sociaux, entre janvier 2020 et février 2023. Toutefois, près de la moitié de celles-ci étaient en lien avec des violations de droits d'auteur ou de l'usurpation d'identité.

Le gouvernement doit s'excuser pour cette façon d'agir, estime Paul Knox, professeur émérite à l'école de journalisme de l'Université métropolitaine de Toronto. « Vous ne pouvez pas seulement avoir la liberté de la presse pour les personnes que vous approuvez et les personnes que vous considérez comme ayant raison », a mentionné le professeur.

L'opposition conservatrice a également réagi, mardi, dans un communiqué. « Aucun gouvernement ne devrait pouvoir exiger que l'information soit effacée de l'histoire simplement parce qu'il n'aime pas les faits. Il est extrêmement préoccupant que le gouvernement Trudeau ait cherché à censurer la liberté de la presse par le biais de demandes secrètes adressées à de grandes entreprises technologiques » y indique la députée Rachael Thomas.

EN SAVOIR PLUS

Prix Écrans canadiens

Pierre Bruneau récompensé pour sa carrière

Le chef d'antenne retraité de TVA Nouvelles, Pierre Bruneau (à gauche sur la photo), a été honoré, mardi soir, pour l'ensemble de sa carrière journalistique dans le cadre de la cérémonie de la remise des Prix Écrans canadiens à Toronto.

Cette distinction est remise à une personnalité canadienne pour souligner une « carrière exceptionnelle » et son « impact significatif » sur l'industrie audiovisuelle au pays ou ailleurs dans le monde. « Ce prix représente beaucoup pour moi, mais aussi pour mes équipes, j'en suis certain. Au fil des années, ils ont effectué un travail très professionnel et toujours avec passion. Merci beaucoup parce que cette reconnaissance vous revient en très grande partie, a-t-il mentionné, en s'adressant directement aux téléspectateurs. Vous m'avez suivi jour après jour, année après année, génération après génération. »

Une vidéo des moments marquants de sa carrière a été diffusée lors de la soirée. M. Bruneau a œuvré pendant 50 ans dans le milieu journalistique, dont 46 ans au poste de chef d'antenne pour le réseau TVA. « Vous savez, quand on commence dans ce métier tout jeune, la tête pleine de rêves, et avec beaucoup de détermination, on n'a pas idée que ça va durer 50 ans. Et, voilà, dans mon cas c'est fait », a ajouté celui qui a couvert, au cours de sa carrière, 40 soirées électorales, dont celle du 3 octobre dernier.

Depuis son départ à la retraite, il « profite de la vie au maximum » avec sa conjointe Ginette St-Cyr (à droite sur la photo). M. Bruneau, qui était en voyage en Afrique, est d'ailleurs revenu au Canada expressément pour recevoir la distinction remise par l'Académie canadienne du cinéma et de la télévision. « On était en safari lundi matin au Botswana. On a fait aussi le Zimbabwe et l'Afrique du Sud au cours des deux dernières semaines. Ça fait partie du grand voyage au tour du monde qu'on fait présentement », a mentionné l'homme de 70 ans à l'Agence QMI.

Le départ à la retraite n'a pas été trop difficile pour M. Bruneau, se disant surpris de la rapidité de son « sevrage » après une si longue carrière. « Je m'attendais à ce que ce soit plus long ! Le travail, je ne veux pas m'en ennuyer, je suis rendu ailleurs », précisant que ses enfants et petits-enfants lui ont manqué davantage pendant son périple en Afrique.

(Photo de courtoisie : Facebook)

les détails

Détecteur de rumeurs

Une baladodiffusion se consacre à la vérification des faits

Animé par la journaliste scientifique Eve Beaudin, le balado du Détecteur de rumeurs de l'Agence Science-Presse se consacre à la vérification des faits et cherche à mieux comprendre les phénomènes entourant la désinformation.

Dans le dernier épisode disponible en ligne, Olivier Bernard (photo), mieux connu sous le pseudonyme du Pharmachien, revient sur son parcours, explique sa méthodologie pour déboulonner les fausses informations et évoque les impacts de son travail de vérification des faits.

Depuis une dizaine d'années, il s'est attaqué à la désinformation en santé par le biais de bandes dessinées, d'une émission de télévision, de ses réseaux sociaux et d'une série en baladodiffusion. Son but est d'informer sur des sujets controversés en santé, tout en démystifiant les idées fausses grâce à des preuves scientifiques.

L'idée de déboulonner des mythes pour le grand public lui a traversé l'esprit en 2012, alors qu'il pratiquait comme pharmacien clinicien. « J'avais remarqué sur le terrain la quantité de fausses croyances qui existaient déjà, à l'époque. (…) Je me demandais si je pouvais être plus efficace qu'en rejoignant une seule personne à la fois et j'avais envie d'essayer à plus large échelle, en rédigeant un blogue », a expliqué M. Bernard.

« Dans ma pratique de pharmacien, on est des influenceurs, on a des gens face à nous, on veut leur faire changer certains comportements, que ce soient des habitudes de vie ou les inciter à prendre une médication. Je voulais utiliser l'humour, les émotions, des anecdotes que j'ai vécus, comme véhicule pour amener de l'information factuelle », a-t-il ajouté.

(Photo de courtoisie : Wikipédia)

écouter l'intégral du balado

Balado Le métier d'informer de Projet J

L'art de couvrir les faits divers

Les faits divers sont au cœur de l'information québécoise. Lors d'un événement tragique, les médias se retrouvent rapidement sur les lieux du drame pour rapporter un maximum d'information à la population. Les journalistes tentent de recréer le fil des événements, d'en connaître les causes, de contacter des proches ou des voisins, d'en savoir plus sur les victimes et les personnes suspectées, mais comment y parvenir sans tomber dans le sensationnalisme ?

La couverture des faits divers n'est pas toujours évidente pour les journalistes. Ça leur demande un certain détachement pour rapporter objectivement un drame humain. Ils ont une certaine responsabilité sociale et doivent se questionner sur la manière de parler d'un tireur fou, par exemple, sans inciter d'autres personnes à l'imiter.

Dans le cadre du balado de Projet J, Le métier d'informer, l'animateur Steve Proulx s'est entretenu sur le sujet avec Mayssa Ferah, journaliste depuis trois ans aux actualités générales à La Presse, et Marie-Michelle Lauzon, journaliste spécialisée en affaires policières à Noovo Info.

Lors de la couverture de certaines tragédies, le défi pour les journalistes affectés à leur couverture est de réussir à garder un certain détachement à propos des événements. « Il faut que tu restes en maitrise de tes émotions, sinon après tu ne peux plus offrir une couverture efficace. Moi je suis juste la journaliste qui rapporte les faits, je ne suis pas une partie prenante de cette histoire-là », précise Mayssa Ferah. Un avis partagé par Marie-Michelle Lauzon. « Il faut être impartial, on ne peut pas tomber dans l'émotivité. On couvre tellement d'histoires troublantes ou tristes qu'on n'a pas le choix d'être détachée. Cela dit, c'est extrêmement difficile, ça m'arrive de pleurer avec des victimes que je rencontre, je ne suis pas insensible », indique la journaliste de Noovo Info.

LE BALADO SUR LE SITE DE PROJET J

Le 23 avril, Journée mondiale du livre et du droit d'auteur

Une fête de la créativité

Depuis 1995, la date du 23 avril est l'occasion de célébrer la Journée mondiale du livre et du droit d'auteur. Elle permet notamment de mettre en valeur la créativité et la diversité des artisanes et artisans du livre.

Selon Mélissa Verreault, présidente de Copibec, cette Journée mondiale est également l'occasion de remercier les usagères et usagers qui déclarent l'utilisation qu'ils font de leurs œuvres. Un geste qui a permis de verser 13,6 millions de dollars aux créatrices et créateurs du milieu du livre québécois, et ce, pour la seule année 2022. Ce montant peut paraître élevé, mais demeure modeste par rapport à l'usage réel des œuvres, car ce ne sont qu'une partie de celles-ci qui sont déclarées, précise la présidente.

Copibec rappelle que toutes les œuvres sont protégées par la Loi sur le droit d'auteur et qu'il existe de nombreuses manières d'honorer le travail des autrices, auteurs, journalistes, artistes en arts visuels et maisons d'édition. Pour ce faire, Mme Verreault invite à prendre l'habitude de demander la permission aux titulaires de droit lors de l'utilisation de contenu protégé par la Loi.

Les DÉTAILS

À L'INTERNATIONAL

Journaliste du Wall Street Journal arrêté en Russie

Evan Gershkovich formellement accusé pour espionnage

Le journaliste américain Evan Gershkovich (photo), arrêté par les autorités russes il y a deux semaines, a été officiellement accusé « d'espionnage pour le compte de son pays », vendredi dernier, selon une source interne des forces de sécurité citée par l'agence russe Tass. La date du début de son procès n'a pas encore été annoncée.

Cette accusation a été rejetée du revers de la main par le journaliste de 31 ans et son employeur actuel, The Wall Street Journal. « Il [Gershkovich] a catégoriquement nié toutes les accusations et déclaré que ses activités en Russie étaient d'ordre journalistique », a rapporté l'agence de presse d'État.

Dans un communiqué, The Wall Street Journal a également réagi à l'inculpation de son journaliste. « Comme nous l'avons dit depuis le début, ces charges sont totalement fausses et injustifiées, et nous continuons d'exiger la libération immédiate d'Evan Gershkovich. »

Le journaliste est passible d'une peine de 20 ans d'emprisonnement, en vertu de l'article 276 du Code pénal en Russie, a spécifié l'agence de presse Interfax. Le reporter, qui avait été appréhendé par les services de sécurité russes lors d'un reportage à Ekaterinbourg, dans l'Oural, est soupçonné d'avoir obtenu des informations sur l'industrie russe de la défense.

Le président Joe Biden, son secrétaire d'État Antony Blinken et des membres du Sénat américain, dont le démocrate Chuck Schumer et le républicain Mitch McConnell, ont aussi demandé au Kremlin la libération du journaliste. Messieurs Schumer et McConnell ont dénoncé conjointement une « détention arbitraire » et ont exigé la « libération immédiate de ce journaliste indépendant, respecté dans le monde entier ».

Moscou a répliqué, jeudi dernier, en mentionnant à Lynne Tracy, nouvelle ambassadrice américaine en Russie, que toute pression serait infructueuse. « Le battage médiatique autour de cette affaire […] dans le but de faire pression sur les autorités russes et sur le tribunal qui devra décider du sort d'Evan Gershkovich est inutile et insensé », a confirmé par voie de communiqué le ministère des Affaires étrangères de Russie.

(Photo de courtoisie : evangershkovic.com)

LES DÉTAILS

Les dirigeants de la Campagne Press Emblem sont préoccupés par la situation

Les journalistes afghans dans la mire des talibans

La Campagne Press Emblem (PEC), organisme mondial de défense des droits et de la sécurité des médias, a exprimé ses préoccupations à la suite de l'arrestation, la semaine dernière, de trois journalistes afghans par les forces talibanes.

Les deux reporters de Radio Television Afghanistan, Safiullah Wafa et Noor Agha, et un journaliste de TV Tanwir, Ghulam Ali Wahdat, ont été arrêtés par les services de renseignement dans la localité de Pule-e-Khumri.

Quelques jours plus tôt, un attentat terroriste meurtrier avait aussi été perpétré au centre culturel de Tebyan en Afghanistan, lors d'une réunion de journalistes, tuant deux professionnels des médias en plus d'en blesser 30 autres.

L'organisation demande aux autorités talibanes d'arrêter de s'acharner sur les travailleurs des médias. La PEC avait déjà appelé les Nations unies et la communauté internationale à prendre acte des menaces croissantes qui pèsent sur la sécurité des journalistes professionnels dans ce pays.

S'adressant à Nava Thakuria, le représentant de PEC pour l'Asie du Sud et du Sud-Est, un journaliste afghan a révélé que la confrérie des médias a déjà perdu la plupart de ses membres féminins en raison des politiques sévères du régime à leur égard. Il a également ajouté que plus de 200 journaux, chaînes de télévision et stations de radio ont été fermés depuis l'arrivée au pouvoir des talibans à la suite du coup d'État.

« Le régime taliban doit respecter la liberté de la presse et assurer la sécurité des journalistes. Il y a quelques jours, la seule station de radio afghane gérée par des femmes, Sadai Banowan, a été fermée par le régime taliban pour avoir diffusé de la musique pendant le mois de Ramadan. Elle a toutefois repris ses activités », a mentionné Blaise Lempen (photo), président de la PEC.

Selon le Centre des journalistes afghans, plus de 236 cas de violations de la liberté des médias ont été recensés dans la dernière année. Environ un millier de reporters auraient également fui l'Afghanistan depuis la prise du pouvoir par le régime taliban à Kaboul, en août 2021.

(Photo de courtoisie : Wikipédia)

LE COMMUNIQUÉ DE LA PEC

EN RAFALE

LE COIN LECTURE

« Les anges oubliés »

Le dernier ouvrage d'André Pratte paraît aujourd'hui

La pandémie de COVID-19 a mis en lumière le dévouement exceptionnel du personnel de la santé au Québec, les « anges gardiens » selon l'expression consacrée du premier ministre François Legault. Il y a pourtant d'autres « anges », plus discrets, mais dont le rôle a également été crucial pour prévenir et endiguer la maladie. Ces derniers sont les protagonistes de ce nouveau livre d'André Pratte, « Les anges oubliés ».

Qui sont-ils ? Les centaines de patrouilleurs qui ont frappé aux portes des plus démunis, les ont écoutés, les ont informés sur les mesures de santé publique et se sont assurés qu'ils ne manquaient de rien. Les organismes communautaires qui ont soutenu ces volontaires à travers des plans d'action mis en place dans l'urgence. Et, enfin, les fondations philanthropiques qui ont lancé et financé ces plans d'action, et qui ont permis le déploiement d'un mouvement d'entraide sans précédent.

En donnant la parole à ces intervenants de l'ombre, André Pratte entend leur rendre le plus vibrant des hommages et souhaite ainsi que le savoir-faire qui a émergé de leur mobilisation ne tombe pas dans l'oubli et serve pour l'avenir. « Ces personnes nous racontent une histoire de générosité, de courage et de détermination. Une histoire d'entraide et d'abnégation. Au cœur d'une période très difficile dans notre vie collective, c'est une belle histoire », a indiqué l'auteur.

Selon la Dre Joanne Liu, qui signe la préface, « quand les gens sont dans l'incertitude, il est contre-productif de leur dire que la meilleure façon de combattre la pandémie, c'est de rester confinés et de s'asseoir devant la télé. Il faut que les hommes et les femmes soient actifs, qu'ils participent. C'est ce que permet le travail communautaire. »

M. Pratte a été journaliste pendant près de 40 ans, dont 14 comme éditorialiste en chef à La Presse. En 2016, il a été nommé sénateur et démissionne du Sénat en 2019. Depuis, il est consultant en communication et continue de participer au débat public par ses interventions dans les médias.

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Les informations doivent parvenir au plus tard le mardi, avant 17 heures, pour la parution du jeudi suivant.

LES INFOLETTRES PARUES DEPUIS JANVIER 2021

À VOS AGENDAS

13 avril 2023

Ouverture des mises en candidature pour le prix Judith-Jasmin et le prix Antoine-Desilets 2022

14 avril 2023, à 12h30

Table ronde « Liberté d'expression et (nouveaux) médias » présentée sur Zoom par le CRIDAQ

19 avril 2023, à 17h

Date butoir pour déposer sa candidature au poste d'administrateur ou d'administratrice région au conseil d'administration de la FPJQ

24 avril 2023

Date butoir pour soumettre un dossier de candidature pour la Bourse Marthe Blouin de la FPJQ section Outaouais

Date butoir pour soumettre un dossier de candidature pour la Bourse de la relève de la FPJQ section Québec

29 avril 2023, de 9h à 17h

Atelier d'introduction aux techniques de prise de son pro par Bruno Carrière et Pierre Bouchard

1er au 31 mai 2023

Les Semaines de la presse et des médias 

2 mai 2023

Annonce des finalistes de la 46e édition des Prix du magazine canadien

3 mai 2023

Journée mondiale de la liberté de la presse

Date butoir pour soumettre sa candidature au Prix Union européenne-Canada pour jeunes journalistes

4 mai 2023

Annonce des personnes lauréates des Bourses du Fonds CDPQ 2023

5 mai 2023

Gala de la remise des prix du Concours canadien de journalisme 2022 à Toronto

7 mai 2023

Fin de l'exposition de photographie de presse de Jean-François Desgagnés présentée à Baie-Saint-Paul

9 mai 2023

Panel « De journaliste à écrivaine » présenté à la Maison du développement durable (informations à venir)

15 mai 2023, à 23h59

Date butoir pour soumettre un dossier de candidature pour le prix Judith-Jasmin et le prix Antoine-Desilets 2022

16 mai 2023

« Au cœur du quotidien de journalistes. Écoute publique et discussion sur le journalisme » avec Chantal Francoeur présentée à la BAnQ (informations à venir)

19 au 21 mai 2023

Festival international de journalisme de Carleton

22 mai 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la Journée nationale des patriotes

24 mai 2023, de 8h30 à 18h

Préconférence internationale « Entre idéaux et pratiques : La performance du rôle journalistique en période de transformation » présentée à l'Université métropolitaine de Toronto

25 mai 2023, de 13h30 à 16h

Panel « Excès de tests et de traitements en santé : vérités et conséquences » au Palais des congrès de Montréal

7 juin 2023

Date butoir pour soumettre un dossier de candidature pour la Bourse de presse écrite de la Fondation Jean-Luc Lagardère

15 juin 2022

Dernière parution de l'infolettre hebdomadaire avant la pause estivale

23 juin 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la Journée de la Fête nationale du Québec

30 juin 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la Confédération canadienne

24 août 2023

Reprise de la parution de l'infolettre hebdomadaire

4 septembre 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la fête du Travail

9 octobre 2023

Fermeture des bureaux de la FPJQ pour la Fête de l'Action de grâce

10 au 12 novembre 2023

Congrès annuel de la FPJQ au Manoir Saint-Sauveur

11 novembre 2023

Gala de la remise des prix Judith-Jasmin et Antoine-Desilets 2022 au Manoir Saint-Sauveur

12 novembre 2023

Assemblée générale annuelle de la FPJQ au Manoir Saint-Sauveur

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OFFRES D'EMPLOI

Journaliste | NousTV Laurentides (Cogeco Connexion)

Statut d'emploi : Permanent

Type d'emploi : Temps plein

Lieu : Sainte-Adèle

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Journaliste | La Terre de chez nous

Statut d'emploi : Temporaire (environ un an)

Lieu : Longueuil (formule hybride)

Date limite : Lundi 24 avril 2023

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Journaliste en santé | Profession Santé et ProfessionSanté.ca

Statut d'emploi : Permanent

Type d'emploi : Temps plein

Lieu : Télétravail

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Envoyé par Yapla