— LE TRENTE HEBDO —
L'infolettre de la FPJQ
À LA UNE
Conseil d'administration de la FPJQ
En préparation de la prochaine rencontre
Le conseil d'administration de la FPJQ va se réunir virtuellement d'ici la mi-juin pour le bilan des premiers mois de l'année 2022 et pour amorcer la préparation de son plan de match pour l'automne.
Les sujets à l'ordre du jour seront nombreux et le conseil devra se pencher sur différents dossiers. La réforme de la Loi sur l'accès à l'information sera l'un des chevaux de bataille de la Fédération en prévision des élections provinciales de l'automne.
Si vous désirez proposer des sujets de discussion ou de réflexion, merci de nous écrire à info@fpjq.org, au plus tard le vendredi 3 juin avant 17h, afin de les ajouter à l'ordre du jour.
Des membres recherchés pour participer au comité du congrès 2022
L'équipe de la FPJQ va amorcer dans les prochaines journées la préparation de son congrès 2022, qui se tiendra au Marriott Mont Sainte-Anne du 4 au 6 novembre prochain. Le comité devra se pencher rapidement sur les propositions d'activités, de conférences et de formations en plus de déterminer la thématique générale du congrès. La recherche de panélistes et de formateurs sera aussi l'une des tâches du comité.
Si vous souhaitez y participer, merci de contacter Valérie Gendron à valerie.gendron@fpjq.org.
Vous devez être disponible pour des rencontres virtuelles sur l'heure du dîner ou en début de soirée. Au moins deux réunions seront prévues d'ici la fin du mois de juin. De plus, si vous avez des suggestions pour le congrès 2022, n'hésitez pas à nous les envoyer par courriel à info@fpjq.org.
Magazine Le Trente 2022
Vous désirez contribuer ou annoncer dans le prochain numéro ?
L'équipe d'Atelier 10 s'applique en ce moment à concevoir le prochain numéro du magazine Trente, et recherche des journalistes intéressé.e.s à y participer ! Pour manifester votre intérêt à écrire dans Le Trente ou pour soumettre vos idées, écrivez au rédacteur en chef, Nicolas Langelier à nicolas@atelier10.ca.
Pour placer une publicité dans le prochain numéro, vous pouvez contacter directement Josée Poirier au (514) 273-5002 ou par courriel à l'adresse suivante : josee@atelier10.ca.
Plus que quelques jours pour y répondre
Sondage concernant la Loi sur l'accès à l'information
L'année 2022 marque le 40e anniversaire de la Loi sur l'accès à l'information. Son utilité n'a plus à être démontrée, mais elle a grandement besoin d'être ajustée pour que son esprit soit respecté, plutôt que d'être utilisée pour mettre des bâtons dans les roues de tous ceux et celles qui font des demandes.
Dans ce cadre, la FPJQ a lancé un sondage auprès de ses membres afin d'obtenir un portrait plus exact de la situation. Vos réponses nous permettront d'effectuer les représentations adéquates auprès du gouvernement du Québec.
Nous vous invitons à répondre à ce court questionnaire, qui nous donnera l'heure juste et qui nous aidera à mieux vous représenter. Le sondage ne prendra que quelques minutes à remplir et a été envoyé par courriel à tous les membres à la fin du mois de janvier. Si vous n'avez pas reçu le lien, merci d'écrire à info@fpjq.org pour nous aviser.
Nous vous remercions pour votre précieuse collaboration !
Adhérez dès maintenant à la FPJQ
Vous êtes journaliste, photographe de presse, pupitre, graphiste, professeur.e, retraité.e des médias, étudiant.e ou finissant.e dans un programme de journalisme, joignez-vous à la FPJQ en adhérant dès aujourd'hui par l'entremise de notre site web. Quatre options vous sont offertes, selon votre statut professionnel.
En adhérant à la FPJQ, vous profiterez de multiples avantages en plus de soutenir la liberté de la presse et le droit du public à l'information.
La carte de presse est valide pour un an à partir de la date de la transaction. Le délai pour l'impression et l'envoi de la carte varie entre deux et quatre semaines.
Pour renouveler ou une première adhésion |
Jurys demandés pour les bourses du Fonds CDPQ 2022
Nous recherchons actuellement trois juges bénévoles qui détermineront les cinq lauréats et lauréates des bourses 2022 du Fonds de la Caisse de dépôt et placement du Québec pour la relève journalistique. Les jurys devront avoir des disponibilités entre le 7 et le 12 juin pour la délibération.
Si l'expérience vous intéresse et que vous êtes membre professionnel, retraité ou enseignant en journalisme, écrivez à valerie.gendron@fpjq.org en motivant brièvement votre intérêt. Les situations de conflit d'intérêts doivent être évitées.
Le Fonds CDPQ pour la relève journalistique permet à cinq boursiers d'effectuer un stage rémunéré de trois à quatre mois dans un média d'information. Chaque bourse est d'une valeur de 9 000 dollars.
Reportage international
Nouvel appel à candidatures du FQJI
Le Fonds québécois en journalisme international (FQJI) lance un nouvel appel à candidatures de son programme régulier de bourses de reportages à l'étranger. Pour connaître les critères d'admissibilité, les composantes d'un dossier de candidature, les critères de sélection qui guideront les membres du jury indépendant, ainsi que les obligations des boursiers et boursières, vous êtes invité à consulter cette page.
La date limite pour soumettre un projet de reportage est le 15 juin 2022, à 23h59. Les candidats dont le projet n'a pas été retenu lors des appels précédents sont invités à tenter leur chance à nouveau .Les conditions et mesures spéciales des appels à candidatures précédents en lien avec la COVID-19 ne s'appliquent plus désormais.
Si vous avez des questions, nous vous invitons à contacter le FQJI par courriel.
Grand Prix Stratégies de l'innovation média 2022 en France
Le journal Libération choisi éditeur de l'année
Le journal français Libération a été récompensé, la semaine dernière, pour son redressement, sa dynamique d'audience, son audace et ses éditoriaux en recevant le prix de l'éditeur de l'année, décerné en France par le magazine Stratégies.
Cette récompense est une première pour la rédaction de Libé. « En 2021, le journal créé par Jean-Paul Sartre et Serge July affiche une progression de 18,47 % avec 90 354 exemplaires vendus chaque jour en moyenne, dont 60 000 abonnements numériques. Soit la plus forte progression de tous les titres de la presse quotidienne française. Et l'ascension, nourrie par une forte dose de journalisme, se poursuit », a indiqué Stratégies lors de la remise du prix.
Le directeur général, Denis Olivennes, a reçu la distinction au nom de Libération et de toutes ses équipes. « Une rédaction réorganisée, renforcée par de nouveaux recrutements journalistiques comme techniques, de nouveaux formats attirant des abonnés numériques, des enquêtes saluées, des outils digitaux renouvelés et une stratégie d'abonnements repensée… Tout cela permet aujourd'hui à Libération d'être sur le chemin de l'équilibre», a-t-il indiqué. « Et nous avons fait tout cela à partir de nos valeurs et de nos engagements, car c'est cela qui nous distingue. Les combats du Libé d'aujourd'hui – l'environnement, le féminisme, la lutte contre les discriminations et pour l'égalité – sont de nouveau en raccords avec notre époque ».
PLUS D'INFORMATIONS |
CONFÉRENCES, PANELS ET FORMATIONS
Le journalisme de solutions, pourquoi, pour qui et comment ?
Mardi 31 mai 2022 à 19 h
Sur Zoom
INFORMATIONS ET INSCRIPTION
Le photoreportage à l'international
Mercredi 1er juin 2022 à 19h30
Sur Zoom
Comment couvrir les enjeux autochtones ?
Mardi 14 juin 2022 à 19h
Sur Zoom
DERNIÈRE HEURE
Bulletin Le fil 17 de Noovo Info
Marie-Christine Bergeron prendra le relais de Noémi Mercier
À la suite de l'annonce du départ de Noémi Mercier à la tête du bulletin Le fil 17 de Noovo Info, les spéculations étaient nombreuses sur l'identité de la personne qui allait la remplacer. Noovo Info a mis fin au suspense, hier, en annonçant la venue de la journaliste Marie-Christine Bergeron comme cheffe d'antenne du bulletin d'information de 17 heures, dès le 29 août prochain.
Mme Bergeron était lectrice de nouvelles à LCN jusqu'à l'an dernier, avant de prendre une pause professionnelle pour s'occuper d'autres projets et de ses enfants. Elle avait également été journaliste et animatrice à TVA ou elle a, entre autres, animé l'émission J.E. pendant un peu plus de deux ans, jusqu'en décembre 2020.
« C'est un immense privilège d'avoir été choisie comme cheffe d'antenne pour piloter Le fil 17. Je ne pouvais pas laisser passer cette [occasion] d'effectuer ce retour aux sources. L'actualité au quotidien, c'est ce qui me fait vibrer. J'ai très hâte de retrouver ce contact privilégié avec le public de Noovo et d'aller à sa rencontre dans le contexte d'une émission d'information menée par une équipe professionnelle, jeune et dynamique », a précisé par communiqué Mme Bergeron lors de l'annonce de sa nomination.
L'équipe de chefs d'antenne de Noovo comprendra aussi à la rentrée Michel Bherer, Lisa-Marie Blais et Meeker Guerrier.
(Photo courtoisie Bell Média)
LA NOUVELLE |
Il retournera travailler à Radio-Canada cet été
Florent Daudens quitte Le Devoir
Après six années au poste de directeur de l'information du quotidien Le Devoir, le journaliste et membre de la FPJQ Florent Daudens (photo) écrira un nouveau chapitre de sa carrière professionnelle.
« Après six années exaltantes, je quitte mon poste au Devoir. Cette équipe. Ce projet éditorial. Tout ce que nous avons accompli ensemble. Il y a quelque chose de grand au 1265 Berri. Merci, collègues, du fond du cœur », a-t-il annoncé ce matin sur son compte Twitter.
M. Daudens quittera Le Devoir au début de l'été pour se joindre à l'équipe de Radio-Canada à titre de directeur de la cueillette et du déploiement des nouvelles internationales et nationales. « Après une période de transition, je partirai au début de l'été vers un autre port d'attache, que j'ai déjà connu, mais qui a lui aussi beaucoup évolué : Radio-Canada ».
Le directeur du Devoir, Bryan Myles a commenté la publication de M. Daudens pour le remercier de son travail accompli dans les dernières années. « Au revoir Florent et merci d'avoir cru en notre projet de transformation numérique à une époque où il fallait du courage pour sauter dans le train du Devoir ».
(Photo courtoisie)
Menace d'expulsion des médias et des journalistes occidentaux en Russie
Le chantage YouTube de Moscou
Maria Zakharova, la porte-parole de la diplomatie russe, a brandi ce matin la menace d'expulser des médias et des journalistes occidentaux du pays, si la plateforme YouTube empêchait à nouveau la diffusion en direct de ses conférences de presse hebdomadaires. Les conférences n'ont pas été systématiquement bloquées, mais le géant américain de la vidéo en ligne l'a fait à quelques reprises depuis le début du conflit.
Après le début de l'offensive de la Russie en Ukraine, de nombreux sites, plateformes et réseaux sociaux ont choisi de bloquer des médias prorusses et des pages officielles du gouvernement de Vladimir Poutine en justifiant qu'ils tombaient sous le coup de sanctions ou qu'ils pratiquaient la désinformation. Des situations dénoncées par Moscou, qui les qualifient d'actes de censures russophobes.
Selon l'agence TASS, Mme Zakharova a avisé la plateforme que si la situation se reproduisait, la conséquence serait qu'un journaliste ou qu'un média américain rentrerait à la maison. « Encore un blocage de breffage, et, on donnera un nom concret, un média concret. Vu la position de la Pologne (vis-à-vis de la Russie), on ne va peut-être pas limiter (les représailles) aux Américains », a-t-elle ajouté en référence à Susan Wojcicki, la patronne de YouTube.
(Photo courtoisie Wikipédia)
EN SAVOIR PLUS |
EN MANCHETTE
Santé mentale des journalistes canadiens
Un rapport alarmant dévoilé hier
Selon un tout nouveau rapport, qui a été présenté hier sur la Colline du Parlement à Ottawa, les travailleurs de l'industrie de l'information au Canada sont exposés à des niveaux alarmants de stress et de blessures professionnelles qui amènent des problèmes de santé mentale à des taux supérieurs de la moyenne canadienne.
Basée sur les réponses de 1251 répondants, des pigistes comme des patrons de presse, des journalistes au pupitre comme des reporters terrain ou encore des vidéos journalistes, Prenez soin de vous: Un rapport sur la santé mentale, le bien-être et les traumatismes chez les travailleurs des médias canadiens est la première étude nationale en son genre. La consultation en ligne a été menée du 1er novembre au 18 décembre 2021.
Le rapport démontre comment le harcèlement croissant des travailleurs des médias, la COVID-19, la charge de travail, l'insécurité de l'emploi et une certaine culture du travail entraînent des taux élevés d'anxiété, de dépression, d'épuisement professionnel et de blessures liées à des traumatismes.
« Les résultats du sondage confirment nos pires pressentiments au sujet de notre industrie », observe Matthew Pearson, professeur de journalisme à l'Université Carleton, et l'un des deux responsables de la consultation. « Il est maintenant de la responsabilité des dirigeants des salles de rédaction, des cadres et des professeurs de journalisme de saisir la gravité de cette situation et d'y remédier de manière significative pour mettre fin aux préjudices que subissent les travailleurs des médias canadiens au travail ».
Parmi les principales constatations du rapport :
- Les travailleurs des médias sont confrontés à des taux élevés d'exposition aux traumatismes (reportages portant sur des décès, des blessures, de la souffrance).
- Les travailleurs des médias subissent du harcèlement en ligne et sur le terrain (56% ont rapporté être victimes de harcèlement et de menaces en ligne et 35% ont été victimes de harcèlement sur le terrain).
- 46% considèrent leur consommation d'alcool comme étant problématique et 25% déclarent être de gros buveurs.
- 53% ont demandé de l'aide médicale en lien avec le stress au travail ou la santé mentale.
- 85% disent n'avoir jamais reçu de formation sur la santé mentale et les traumatismes au travail.
« Ce que cela nous dit, c'est que beaucoup de gens aiment leur travail, mais que leur travail les fait souffrir. C'est un signal d'alarme », analyse Dave Seglin , journaliste d'enquête à CBC News également co-responsable principal du sondage. « Il y a énormément de stress dans tous les secteurs de l'industrie et quelque chose doit être fait. Ce n'est pas seulement une question de gestion; tout le monde dans l'industrie - des premières lignes aux affectateurs, en passant par les responsables de salle de rédaction, les dirigeants d'entreprise, les syndicats et les associations - nous avons tous un rôle à jouer pour changer cette culture d'entreprise ».
Le rapport complet fera l'objet de deux sessions bilingues organisées par le Forum des journalistes canadiens sur la violence et le traumatisme, lors de la Conférence nationale de l'Association canadienne des journalistes qui sera présentée à Montréal demain et samedi.
LE RAPPORT EN FRANÇAIS |
Selon le Centre d'études sur les médias de l'Université Laval
La situation des médias s'améliore, mais demeure préoccupante
Malgré les programmes d'aides financières gouvernementales, qui ont aidé à mettre fin aux coupures massives dans les salles de rédaction québécoise, et même, pour certains médias d'embaucher à nouveau, la situation actuelle est loin d'être rose, en particulier pour la presse écrite.
C'est ce que rapporte le troisième état des lieux des médias d'information québécois, qui propose une synthèse des connaissances actuelles à propos de l'évolution récente et prévisible de l'écosystème médiatique québécois et canadien. Selon cette analyse de Daniel Giroux du Centre d'études sur les médias de l'université Laval, intitulée Les médias québécois d'information, état des lieux en 2022, les revenus des quotidiens continuent de diminuer et le lectorat est en baisse.
Depuis dix ans, les médias empochent 85 millions de moins en abonnement et pour la vente de leur numéro. De plus, les annonceurs ont diminué de 375 millions leur placement publicitaire dans les médias d'information, généralement au profit des plateformes numériques. La baisse du lectorat s'observe également partout dans la province, autant dans les grands centres qu'en région en plus de toucher tous les groupes d'âge, révèle l'analyse.
Les hebdomadaires sont également durement affectés avec la perte de la moitié de leur revenu publicitaire et la fermeture de près de 90 publications depuis 2012. Le lectorat y est également en diminution.
La télévision généraliste souffre aussi de cette crise. Depuis 2012, les budgets qu'y consacrent les annonceurs ont diminué de 190 millions. Considérées dans leur ensemble, ces chaines accumulent les déficits depuis sept ans. Le centre des médias s'inquiète de cette situation, surtout que la télévision représente encore, de nos jours, la source privilégiée d'information sur l'actualité au Québec.
De nouveaux revenus pour les médias d'ici découleront du projet de loi C – 18, Loi sur les nouvelles en ligne, mais il faudra du temps avant que les mécanismes qui y sont prévus débouchent sur des ententes. Ses accords devraient éventuellement permettre aux médias d'information de toucher des droits sur les nouvelles partagées par des moteurs de recherche et divers services de réseautage social.
Étude Journaux 24/7 : 2022 de Médias d'Info Canada
Une nouvelle fiche d'information publiée
Médias d'Info Canada a publié récemment une deuxième fiche d'information en lien avec l'étude Journaux 24/7 : 2022, publiée en mars dernier. Destinée à être utilisée comme document ou matériel de suivi de présentation, cette fiche d'information expose les points saillants du rapport paru au printemps 2022.
Selon les résultats, les lecteurs de journaux régionaux imprimés recherchent des informations locales (éditoriaux, événements, divertissements, sports, actualités) pour rester branchés sur leur communauté. De plus, la moitié de ceux-ci s'intéressent aux publicités publiées dans leur journal.
LES PRÉCISIONS |
Le TVA Nouvelles de 22h
Sophie Thibault célèbre ses 20 ans à la barre du bulletin
Il y a 20 ans, le 27 mai 2002, TVA innovait en nommant une première femme, Sophie Thibault, au poste de cheffe d'antenne d'un important bulletin d'information télévisée en Amérique du Nord. Une annonce audacieuse pour une époque pas si lointaine où les hommes occupaient systématiquement ce type de fonction dans les différentes rédactions télévisées. « Bon sang, 2002, il était temps », avait-elle déclaré lors de sa nomination qui avait été saluée par plusieurs.
Mme Thibault succédait alors à Simon Durivage au bulletin TVA Nouvelle de 22h en semaine (nommé à l'époque le TVA Édition Réseau). Vingt ans plus tard, la journaliste d'expérience est fière du chemin parcouru, selon ses propos rapportés par Le Journal de Montréal. « C'est un rendez-vous pour les gens, à 22 h, car peu importe l'émission qui nous précède, on fait de bons chiffres. C'est le public qui me porte depuis le début de ma carrière », souligne la cheffe d'antenne.
Fille de Marc Thibault, qui a été réalisateur et directeur de l'information à Radio-Canada, la journaliste d'expérience s'orientait vers la psychologie. Une courte formation en journalisme à l'Université de Montréal après son baccalauréat en pycho lui a toutefois donné la piqure du métier.
En 1988, elle débutait sa carrière journalistique à TVA en étant affectée à la couverture de la Santé. Lors de la crise d'Oka, deux ans plus tard, elle vivait ses premières expériences comme cheffe d'antenne. « Ç'a été important pour moi, mais c'est aussi la crise d'Oka qui a révélé TVA et c'est à ce moment-là que les cotes d'écoute se sont inversées. On avait Gaétan Girouard, Alain Gravel et Réjean Léveillée sur le terrain, on avait toute une équipe ! ».
Elle a toutefois attendu plus de dix ans avant d'obtenir le poste de cheffe d'antenne pour le bulletin du midi. Les attentats du 11 septembre ont été un tournant pour elle. « Ç'a changé complètement ma carrière, ç'a été un tremplin de faire le midi ».
Avec l'annonce de nombreux départ à la retraite depuis le début de l'année 2022, Mme Thibault assure qu'elle sera de retour à l'automne. « Il me reste quelques bonnes années, je me sens au sommet de ma forme ».
(Une du magazine Le Trente de juillet-août 2002)
LES DÉTAILS |
Huit stagiaires se joignent à La Presse
Après l'appel d'offre de stage lancé en mars dernier, La Presse accueille huit étudiants sélectionnés en journalisme et photojournalisme pour une période de deux mois. En plus de cette cohorte, des journalistes-camelots et un chargé de projet du magazine L'Itinéraire, étaient récemment de passage à La Presse pour un stage au cœur de la plus grande salle de rédaction francophone indépendante en Amérique du Nord.
Ces stagiaires, provenant de divers horizons, couvriront l'actualité lors de la saison estivale et leurs articles et photos seront publiés sur les plateformes du quotidien montréalais. Les journalistes Josée Lapointe, Marc-André Lemieux et Simon-Olivier Lorange seront leurs maîtres de stages.
« Plusieurs des journalistes, chroniqueurs et photographes de notre salle de rédaction ont commencé leur carrière avec nos stages et sont maintenant reconnus pour leur travail. Nous nous efforçons d'offrir une expérience unique à ces jeunes professionnels, afin qu'ils puissent vivre et mieux comprendre le métier au sein d'une équipe hors du commun. De cette manière, nous contribuons au développement de la relève en laissant place à de nouveaux points de vue et idées pour nos lecteurs », a mentionné Jean-François Bégin, directeur principal, Information, lui-même issu du programme de stage de La Presse.
Des stagiaires de L'Itinéraire
Du 16 au 20 mai dernier, Agathe Melançon, Mathieu Thériault et Gabriel Lavoie, journalistes-camelots et Simon Bolduc, chargé de projet de L'Itinéraire, ont aussi fait un stage à la rédaction de La Presse. Les journalistes Alexandre Sirois, Valérie Simard, Pierre-Marc Durivage et Éric-Pierre Champagne les ont supervisés et leur ont transmis leurs connaissances non seulement sur la profession, mais également sur leur sujet de prédilection. Les trois camelots ont publié plus d'une dizaine d'articles traitant de sujets variés.
« J'ai trouvé ça merveilleux. Il n'y a pas une minute de la semaine que je n'ai pas aimée. J'ai une formation en électromécanique et je suis peintre, mais j'ai tellement aimé le stage que ça m'a fait choisir le journalisme comme métier. Normalement, le matin, j'ai de la difficulté à me lever. Cette semaine, mon réveil sonnait et j'étais au garde-à-vous. Je ne voulais pas arriver en retard. C'était extraordinaire », a expliqué Gabriel Lavoie, réjoui par son expérience.
Parution d'un livre historique pour le centenaire du quotidien
Un siècle raconté par Le Nouvelliste
Un livre historique sera lancé à l'automne 2022 pour marquer le centenaire du quotidien Le Nouvelliste qui a été célébré en octobre 2020. Le lancement de l'ouvrage avait été reporté en raison de la crise sanitaire.
« Parce que ça a été mis de côté pendant la pandémie, on a l'impression qu'on peut concrétiser cet anniversaire. Le livre sera représentatif de ce qu'est Le Nouvelliste pour sa communauté », a mentionné Kim Alarie, directrice de la section des arts et présidente de la Coopérative Le Nouvelliste.
La page couverture du livre de 300 pages a été dévoilée la semaine dernière en collaboration avec Appartenance Mauricie Société d'histoire régionale, qui a collaboré pendant près de trois ans avec Le Nouvelliste sur le contenu de l'œuvre. Intitulé Le Nouvelliste au cœur de notre histoire depuis 1920, l'ouvrage contient des articles, des photos et des caricatures racontant l'histoire de la Mauricie et d'une bonne partie du Centre-du-Québec depuis un siècle. Des événements marquants comme la Deuxième Guerre mondiale, la Révolution tranquille et la vie économique d'ici y sont relatés.
« Le livre a six chapitres. Le premier est consacré à l'histoire du journal. Ensuite, on aborde comment Le Nouvelliste a traité l'information en Mauricie. C'est l'histoire de la région vue à travers Le Nouvelliste. On va voir comment la région a évolué », a déclaré Mario Lachance, président d'Appartenance Mauricie.
« Je le dis sans exagération: Le Nouvelliste a changé ma vie ! », s'est exprimé sans détour Daniel Lamarre, vice-président exécutif du Cirque du Soleil, qui a accepté le rôle de président d'honneur avec joie. « Ils m'ont donné la chance d'être journaliste-pigiste. Ça m'a permis de gagner mes études et ça a surtout été une école incroyable. J'ai côtoyé des journalistes chevronnés qui m'ont appris beaucoup. Ça a été le tremplin qui m'a permis de réaliser mes ambitions de carrière ».
Il est possible de commander le livre en prévente sur le site d'Appartenance Mauricie.
plus d'informations |
Des nouvelles de nos membres
Un nouveau rédacteur en chef pour le magazine Esquisses
Titulaire d'une maîtrise en communications/journalisme de l'UQAM, Stéphane Desjardins (photo) est journaliste au Québec depuis près de 30 ans. En avril dernier, il a été nommé rédacteur en chef du magazine Esquisses de l'Ordre des architectes du Québec, quelques semaines après la parution d'une édition améliorée de son guide Le Courtage en ligne (Éditions du Journal).
Il a également rédigé un récit historique sur la famille Fermanian, du Cinéma Pine de Sainte-Adèle, qui sera publié en septembre par les Presses de l'Université d'Ottawa.
Ce membre de la FPJQ est aussi chroniqueur pour Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec, section Argent, en plus d'avoir fondé le réseau de nouvelles hyperlocales Pamplemousse.ca. Auparavant, il a collaboré à de nombreux médias, dont Le Devoir, Autofocus.ca, Virage, Protégez-Vous, L'Actualité, Le Soleil, Le Droit, La Tribune et Les Affaires+.
(Photo courtoisie)
GUERRE EN UKRAINE
Travailler comme envoyée spéciale en Ukraine
Deux journalistes répondent aux questions du public
Les journalistes Tamara Alteresco (photo) et Céline Galipeau ont répondu aux questions des auditeurs et auditrices, vendredi dernier, sur leur travail d'envoyées spéciales en Ukraine, dans le cadre de l'émission Midi info, présentée sur la chaine ICI Première de Radio-Canada.
Dès le début du conflit, Mme Galipeau a manifesté son intérêt pour couvrir sur le terrain l'invasion de l'Ukraine. Habituellement à la barre du Téléjournal, elle a porté le chapeau d'envoyée spéciale durant une période de deux semaines en mai. « On se préparait à cet événement-là, mais en même temps, on n'y croyait pas. La planète n'y croyait pas. Tout à coup, c'est arrivé, brutalement. C'était un moment assez marquant ».
Pour sa part, Tamara Alteresco a été dépêchée en Russie à titre de correspondante. Elle a été témoin des débuts de la guerre du côté de l'envahisseur. « On passait nos journées près de la frontière à espionner les troupes russes, parce que nous n'avions pas le droit de les filmer, mais elles ne se cachaient même plus. On les voyait par centaines, partout, au dépanneur et à l'épicerie. Les villages étaient envahis de soldats ».
C'est avec stupéfaction que les deux professionnelles de l'information ont écouté le discours de Vladimir Poutine, le 24 février 2022, qui venait de lancer son offensive sur l'Ukraine.
« La nuit après le discours de Poutine, tous les journalistes étrangers ou locaux ont eu des alertes. Ça s'appelait censure de guerre. On nous disait : ''À partir de maintenant, voici les règles, vous ne pouvez pas appeler ça une guerre, vous devez dire opération spéciale'' », a poursuivi Mme Alteresco.
La correspondante qui a quitté la Russie à la suite de la fermeture des bureaux de Radio-Canada tient à préciser que les deux camps tentent d'exercer un contrôle sur l'information. « On a beaucoup de sympathie en ce moment pour les Ukrainiens, c'est un pays en guerre et où il se passe des choses horribles [...], mais l'armée ukrainienne a une machine d'information assez puissante ».
(Photo courtoisie Twitter)
Plus d'informations |
Il quitte aussi son poste au quotidien britannique Independent
Le russe Alexander Lebedev sanctionné par le Canada
La semaine dernière, le nom du russe Alexander Lebedev (photo) a été inscrit sur une liste de 14 personnalités qui auraient « encourager la guerre de Vladimir Poutine en Ukraine en plus d'être responsables de la douleur et la souffrance du peuple ukrainien ». Cette mesure empêche également les particuliers et les entreprises canadiennes de brasser des affaires avec lui ou avec des entités qui sont liées à sa personne.
Dès le lendemain de cette annonce, Alexander Lebedev a aussi démissionné de son poste de président qu'il occupait pour le quotidien britannique The Independent. Cette décision pourrait toutefois protéger le journal de problèmes liés aux sanctions.
Un porte-parole des journaux a minimisé l'importance de la démission du conseil d'administration de l'ancien agent du KGB. « Alexander Lebedev n'a aucun rôle, commercial ou autre, dans la gestion de l'Independent ou de l'Evening Standard », a-t-il indiqué.
Le Russe de 62 ans avait acheté The Independent pour 1 livre sterling en 2010, après avoir pris le contrôle de l'Evening Standard de Londres pour la même somme l'année précédente. Il a ensuite transféré le contrôle des publications à son fils Evgeny, un ami du premier ministre britannique Boris Johnson. Les deux organes de presse ont depuis accumulé les déficits, mais ont donné aux Lebedev une certaine influence dans la société britannique.
De plus, le débat entourant la nomination de son fils Evgeny à la chambre des Lords, sous la recommandation du premier ministre Johnson, a été relancé à la suite des récents événements, a rapporté The Guardian.
Alexander Lebedev s'était fait connaître comme banquier en Russie dans les années 1990 avant de financer le média d'opposition Novaya Gazeta.
(Photo courtoisie Wikipédia)
Lire l'article dans le Guardian |
À L'INTERNATIONAL
Des journalistes palestiniens ciblés par les forces de l'ordre israéliennes
Une conférence de presse fera le point demain
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) se joindra à la conférence de presse internationale du Centre international de justice pour les Palestiniens (CIJP), à Londres demain matin, pour effectuer un suivi sur la plainte déposée auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au printemps dernier.
En avril 2022, d'éminents avocats avaient été mandatés par la FIJ, le Syndicat des journalistes palestiniens (SJP) et le CIJP pour déposer une plainte qui demandait au procureur de la CPI d'ouvrir une enquête sur les meurtres et mutilations de journalistes ainsi que sur la destruction de l'infrastructure médiatique en Palestine.
La plainte décrivait en détail le ciblage systématique des journalistes palestiniens au nom de quatre victimes nommées, Ahmed Abu Hussein, Yaser Murtaja, Muath Amarneh et Nedal Eshtayeh, qui ont été tuées ou mutilées par des tireurs d'élite israéliens alors qu'elles couvraient des manifestations à Gaza. Tous portaient des gilets les identifiant comme des membres de la presse au moment où ils ont été abattus. La plainte détaille également le bombardement des tours Al-Shorouk et Al-Jawhara dans la ville de Gaza en mai 2021.
« Une fois de plus, des journalistes clairement identifiés comme des professionnels des médias ont été pris pour cible par des tireurs d'élite. Le ciblage systématique des journalistes palestiniens ne peut rester impuni. Les journalistes et leurs familles ont droit à la justice. Nous sommes déterminées à faire en sorte que les responsables de crimes contre les journalistes soient tenus responsables », a indiqué Anthony Bellanger, le secrétaire général de la FIJ.
(Photo courtoisie Wikipédia)
Pourquoi la majorité du public refuse-t-il de payer pour les nouvelles ?
Une étude identifie quatre raisons principales
Alors que de nombreux chercheurs s'attardent depuis longtemps à quantifier la consommation de nouvelles (par exemple, le nombre de jours par semaine consacrés aux informations), Tim Groot Kormelink (photo), de l'université Vrije à Amsterdam, a abordé la problématique sous un angle nouveau. Selon lui, il faut comprendre pourquoi les gens paient (ou ne paient pas) pour obtenir des informations afin de trouver des solutions pour renverser la tendance.
Pour les besoins de l'étude, 68 participants et participantes des Pays-Bas ont reçu un abonnement de trois semaines à un journal de leur choix. Par la suite, ils ont été interrogés sur leur expérience. Selon une mesure de base, la plupart n'ont pas été impressionnés par l'essai gratuit et aucun n'avait l'intention de continuer à payer.
Dans un article qu'il a publié récemment, Why people don't pay for news: A qualitative study, l'auteur Groot Kormelink a évoqué les quatre raisons principales pour expliquer les difficultés des médias à rentabiliser les nouvelles, dans le contexte ou les revenus publicitaires déclinent.
Sans grande surprise, le principal argument cité demeure le coût des abonnements. Les trois autres prétextes identifiés sont l'existence d'informations disponibles gratuitement sur d'autres plateformes, les préoccupations relatives à l'engagement (c'est-à-dire le fait de ne pas vouloir s'engager) ainsi que les problèmes techniques ou de livraison.
Concernant le prix, un constat particulièrement intéressant est apparu chez les jeunes participants. Pour eux, les services d'abonnement numériques comme Spotify et Netflix avaient établi un coût de référence pour les nouvelles numériques.
Au niveau de l'engagement, les participants « ne craignaient pas seulement d'être bloqués par des abonnements difficiles à résilier, mais ne voulaient pas non plus s'engager et donc se limiter à un seul média », écrit Groot Kormelink.
Des scénarios futurs ont aussi été évoqués par les participants dans lesquels ils seraient disposés à payer pour de l'information. Parmi eux, la réduction du coût des abonnements de même qu'une plus grande valeur ajoutée, entre autres, par l'entremise de nouvelles fiables et de qualités.
(Photo courtoisie Université de Vrije)
L'analysE COMPLÈTE |
République du Congo
Trois journalistes torturés par une agence gouvernementale
En République démocratique du Congo, les services de l'Agence Nationale de Renseignements (ANR) exercent un contrôle étroit de l'information en ayant recours à des techniques policières d'intimidation graves et des traitements dégradants, dénonce l'organisation internationale Reporters sans frontières (RSF).
Le 18 mai dernier à Boende, ville au nord-ouest du pays, la scène se déroule au siège local de l'ANR, autorité rattachée au gouvernement et chargée de la sûreté du territoire. Les journalistes César Sabiti de Radio Tshuapa, Samuel Mutela de Radio Libéral FM et Junior Batungole de Radio Boende, y auraient été menacés par le directeur local de cette agence, avant d'être déshabillés, placés en détention, torturés et privés de nourriture pendant plusieurs heures.
L'un d'entre eux, Samuel Mutela, a été hospitalisé à la suite de sa libération pour des blessures infligées par les actes de torture.
« Il est hallucinant de déshabiller des journalistes et de les soumettre à de la torture et autres traitements dégradants. C'est un sombre indicateur de l'état déplorable de la liberté de la presse et illustre les risques auxquels les journalistes arrêtés font désormais face aux mains de l'ANR en RDC. Les autorités doivent ouvrir une enquête impartiale et sanctionner les auteurs des actes de torture, et mettre fin aux intimidations des journalistes », a déclaré Sadibou Marong, directeur du bureau Afrique de l'ouest à RSF.
Depuis le début de l'année, au moins une dizaine de journalistes ont été interpellés ou menacés par les services de renseignement, au mépris de la loi, qui exige que seul le procureur puisse constater une infraction et convoquer un journaliste en cas de délit de presse ou de faute déontologique.
RSF s'inquiète de cette situation, d'autant plus que les états généraux de la presse, organisés en janvier dernier, avaient insufflé un vent d'espoir pour une presse plus libre en RDC.
(Photo courtoisie RSF)
LES EXPLICATIONS DE RSF |
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1er juin 2022 à 19h30
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